22 mars 2010 11h22

Lalo Skywalker
J'ai pas pu y retourner....

Mon arrêt de travail prenait fin vendredi. Mon médecin m'a prolongé d'une semaine sachant que mon entretien préalable à licenciement a lieu demain.
Je m'étais dit que j'essayerais d'aller au bureau.....me demandez pas pourquoi, je n'en sais rien. Je me suis posée cette question tout le week-end sans trouver de réponse.
Ce matin, à contre cœur, j'y suis allée.... j'ai marché tout doucement.... arrivée en bas de l'immeuble, j'ai eu une angoisse. J'étais oppressée.... J'ai attendu que mon collègue arrive, j'ai discuté quelques minutes avec lui, je lui ai donné mon arrêt de travail et je suis rentrée chez moi.
Il m'a dit que le jeune est prêt à négocier un licenciement mais un le nouveau truc à l'amiable car ça permet d'intenter une action aux prud'hommes et ça ils en ont la trouille..... Il faut donc que je négocie une prime de licenciement "conséquente" en plus de la prime légale..... Je n'ai jamais fait ça de ma vie.....

22 mars 2010 11h32

Segel
Fais gaffe !
Il y'avait un article de Filoche sur ce thème dans le Siné Hebdo de la semaine dernière.
Je vais essayer de te le retrouver.

Un "licenciement à l'amiable" suppose que les deux contractants soient de force égale.
La procédure classique du licenciement est là pour rétablir un désequilibre à ce niveau.

Méfie toi.
Je ne te conseille pas d'accepter sans être conseillée correctement.

22 mars 2010 11h57

R.WOLF
salut Lalo!

j' ai pensé à toi ce matin (ben oui).

et ce que tu racontes ne m' étonnes pas; je trouve cette réaction normale et plutôt saine même.

mais tes droits Lalo; penses à tout tes droits et prends les; donc consacres ton énergie à ceci avant toute chose.
pour ce faire, renseignes toi des démarches nécessaires; j' espère seulement que tu vas trouver sur ton chemin des gens qui te comprendront et t' apporteront aide et assistance.

va falloir penser à te trouver autre chose comme job je crois.

22 mars 2010 11h59

Hélène
Bonjour Lalo et Segel
Lalo, je comprends tout à fait ton angoisse, j'ai vécu ça il y a quelques années, mais je n'avais pas fait de licenciement, j'ai purement démissionné de mon taf (avec les conséquences que je connaissais) j'ai du faire mon mois de préavis, pas facile, mais bon...la liberté au bout.
Dans ton cas, négocier un licenciement c'est, je pense, la meilleure chose, car les carences si tu démissionnes, je ne t'en parle même pas (à moins d'avoir un boulot direct);
Après, niveau lois, je pense que Segel saura mieux te renseigner.
Bon courage, ce n'est qu'un mauvais moment à passer, dans quelques mois, ça te fera sourire!!

22 mars 2010 12h00

R.WOLF
je n' ai pas très bien compris jusqu' où va ton arrêt maladie; si nécessaire le faire prolonger.
n' importe quel toubib (digne de ce nom) peux comprendre tes sentiments.
te forcer peux t' amener à une dépression à plus ou moins brève échéance; et là bonne chance, ce truc est très difficilement gérable.

22 mars 2010 12h04

Hélène
bonjour Red, Lalo a déjà refusé de prendre du xanax, et c'est très très bien....les problèmes de taf doivent toujours être séparés du reste, et en l'occurence, ce n'est pas de sa faute, mais celle du caractère de son cheffaillon....
Alors, oui, trouver un autre taf, une formation intéressante, prendre le temps de réfléchir sereinement.....

22 mars 2010 12h04
modifiée
22 mars 2010 12h05

Jean-Pierre ♫
La rupture conventionnelle de contrat de travail (=licenciement à l'amiable) te permettrait de négocier une date de départ et donc de cesser au plus vite ce qui apparaît comme une souffrance.

Par ailleurs, cette rupture à l'amiable ne t'empêche pas, une fois ton départ et une fois empochées les indemnités que tu auras négocié, de t'engager dans une procédure aux prud'hommes.

Bon courage !!!

22 mars 2010 12h12

R.WOLF
(bonjour à tous).

beaucoup de gens acceptent de prendre des saloperies pour aller bosser.

peux-t-on parler ici d' une solution?

n' est-ce pas la plupart des jobs qui sont proposés qui devraient être remis en question?

perdre sa vie à la gagner est-il un choix de vie digne d' une personne humaine? non, à mon sens.

22 mars 2010 12h15

Segel
Petit exemple :

Rupture conventionnelle : dans l'intérêt de qui ?

Maintenant, quand un employeur veut se débarrasser de l'un de ses salariés, il peut se la jouer "bon prince": il lui propose une rupture conventionnelle. En clair: il lui demande de se tirer avec le minimum et de pas trop l'emmerder. En général, il est prêt, toujours bon prince, à indemniser au potentiel futur ex salarié le préavis que ce dernier aurait fait en cas de licenciement, assaisonne le tout d'un zeste de "c'est bien mieux pour tout le monde que ça se passe dans de bonnes conditions (surtout pour votre carrière)" et... roule ma poule !

Mieux pour tout le monde ? Non, mieux pour LUI.

Le salarié, s'il n'a rien à se reprocher (et dans le cas contraire, ça se vérifie et ça se prouve dans le cadre d'un licenciement), et à moins de pouvoir négocier une indemnisation vraiment conséquente, le salarié donc, n'a rien à y gagner :

- Bien que les indemnités de départ éventuellement négociées avec l'employeur représentent des dommages-intérêts, l'ASSEDIC considère que le salarié doit vivre dessus pendant 2 mois environ (délai de carence). Au final, s'il a touché 3 mois de salaire en guise d'indemnité, il peut faire rapidement le calcul de ce qu'il lui reste....

- La seule indemnité obligatoire est l'indemnité légale (pas grand chose quand on n'a que quelques années d'ancienneté)

- Il n'est pas sûr de toucher les ASSEDICS. Rappelons que ceux qui se sont précipités dès juillet pour quitter leur emploi par le biais des ruptures conventionnelless sont restés plusieurs mois sans aucune indemnisation, soit jusqu'à la signature de la nouvelle convention UNEDIC qui n'est entrée en vigueur, si je me rappelle bien, qu'en avril dernier. Entre juillet 2008 et avril 2009, il y a 10 mois, 10 mois sans aucune indemnisation pour ces personnes.

Et maintenant que la nouvelle convention UNEDIC est entrée en vigueur ? C'est pas gagné pour autant, encore faut-il que la convention soit validée par l'admistration. On apprend ici que sur 81291 ruptures conventionnelles enregistrées par la DDTEFP (Direction Départementale de l’Emploi et de la Formation Professionnelle) depuis juillet 2008, 16 537 (20%) dossiers ont été refusés, dont 2 763 (16%) en avril 2009.

Si c'est vous qui souhaitez partir et que votre décision n'est pas liée à un dysfonctionnement dans votre environnement professionnel, vous êtes libre: il suffit de démissionner.

C'est quand L'EMPLOYEUR souhaite un départ pour une raison ou une autre (de plus en plus économique), que ce dernier proposera une rupture conventionnelle au rabais à son salarié. Il (l'employeur) est alors gagnant financièrement, évite le formalisme (protecteur du salarié) d'une procédure de licenciement, assure ses arrières en se garantissant à l'avance contre l'éventualité d'un prud'homme. C'est tellement tentant qu'il n'hésitera pas dans de nombreux cas à faire pression sur le salarié pour que ce dernier accepte ce mode du rupture sans négocier, ou il essaiera de le pousser à la faute par des procédés souvent insidueux et terriblement perturbants, d'autant plus qu'on n'y est pas préparé. Beaucoup de salariés choisissent alors la fuite en acceptant la rupture conventionnelle proposée (ou démissionnent carrément quand l'employeur, se sentant tout à coup en situation de force, n'est même plus disposé à signer cette convention). Ces salariés, de par leur situation personnelle, financière ou familiale, peuvent se le permettre, et même si on les comprend, ce choix laisse un goût amer et contribue à entretenir les comportements abusifs.

Pour les autres, qui se battent par choix ou par nécessité parce qu'ils se retrouvent dos au mur dans une situation sans issue (pas d'autres perspectives réelles...), ne doivent pas présumer de leurs forces. Les procédés pervers utilisés pour déstabiliser les salariés indésirables sont extrêmement destructeurs. C'est un bras de fer qui s'engage, et la personne a besoin de toutes ses ressources pour y faire face. Elle ne doit pas attendre d'être déjà en état de faiblesse psychologique (et physique) pour réagir et si elle se sent menacée dans son équilibre, a tout intérêt à SE METTRE EN ARRÊT MALADIE et à rechercher les conseils de professionnels. En se ménageant avant si possible le maximum de preuves de ce qui se passe au sein de l'entreprise.

L'intérêt du salarié est d'être licencié en bonne et due forme. Il devra répondre à la lettre de licenciement en dénonçant par écrit de manière précise et circonstanciée les pratiques et pressions dont il a fait l'objet et en expliquant qu'il entend contester le motif réel et sérieux de la procédure. Le but est de pouvoir ensuite transiger en ayant des cartes en main si l'employeur souhaite éviter le prud'homme (et il le souhaite dans la plupart des cas).


Rupture conventionnelle : dans l'intérêt de qui ? - Transition


Sinon tu trouveras des pistes ici:
http://www.google.fr/search?...

Pour ceux qui ne le connaissent pas, Gérard Filoche est un des cadres du PS qui est en même temps inspecteur du travail et rédacteur dans Siné Hebdo.
Malgré tout le mal que je pense parfois du PS, Filoche est un mec bien.
Le lire est très instructif.

22 mars 2010 12h16

Segel
Ceci fait également réflechir :
http://www.dazibaoueb.fr/art...

22 mars 2010 12h28

R.WOLF
elle doit se faire aider de quelqu' un de compétent; chez nous ce sont les syndicats qui conseillent.

impossible de s' y retrouver sinon.

22 mars 2010 12h59

Lili ...
Bonjour tous.
Interessants tes liens Segel.

Lalo, si tu peux, fais toi assister d'un syndicat ... rien ne t'empêche de prendre la carte le temps de ta procédure.

Ca me semble un peu fouillis. Si tu es convoqué à un entretien préalable, le licenciement est quasiment acquis comment peut-il y avoir rupture conventionnelle dans ce cas ?

Regarde sur Q/R, il y a déjà eu des questions posées sur le montant de l'indemnité à demander.

22 mars 2010 13h18

R.WOLF
ceci dit Lalo, dans toute période de changements (quels qu' ils soient) on peut avoir des sentiments contoversés; il vaut savoir (pouvoir) en parler.

ne pas rester seul donc.

sur cet aspect là, je sais intervenir; tout ce qui est technique (voir plus haut), c' est pas mon truc.

mais comment faire quand on a des doutes, etc; je peux aider, oui.

22 mars 2010 13h22

Lalo Skywalker
Bonjour à tous.... et merci....
En fait, je viens de relire mon intervention et je me suis trompée... ne veut PAS d'une rupture conventionnelle. C'est mon collègue qui me l'a dit ce matin. Il l'a lu dans un mail qu'il n'était pas sensé lire....

D'après mon collègue, le jeune aimerait bien que je reste dans l'entreprise. Mais moi, je ne veux pas. Je sais très bien que le gros va se calmer pendant quelques semaines et revenir à la charge. C'est un dingue !!!! Je veux négocier un licenciement.

J'ai posé la question sur Yahoo, mais comme Segel a l'air vachement au courant du droit du travail (ce qui n'est pas mon cas, mais je crois que je vais m'y mettre), je mets le lien de ma question : http://fr.answers.yahoo.com/...

22 mars 2010 13h44

lila
Bonjour à tous,

Lalo, tu peux téléphoner pour prendre conseil auprès de cette association : http://www.hmstop.com/

En fait, ce sont les conditions de travail difficiles avec ton qui t'amènent à quitter l'entreprise, dans tous les cas, ils peuvent te conseiller, ils connaissent la loi par coeur. si tu as besoin d'un conseil, ils vont te répondre.

Pour retrouver du travail, c'est très dur en ce moment, signer un arrangement, ne bénéficierait à terme qu'à ton employeur. Le chômage, c'est 23 mois d'indemnisation point final, pôle emploi va tenir compte de ce que tu as touché et ne t'indemnisera qu'au bout d'un temps T proportionnel à la prime que tu auras touchée.

Le mieux est de les pousser à la faute au niveau de la procédure de licenciement, ils sont tellement sûrs de terrasser le salarié, qu'ils ne prennent plus de précautions et là, c'est toi qui frappe quand ils s'y attendent le moins.

Tiens nous au courant. Bizzzzz

22 mars 2010 14h07
modifiée
22 mars 2010 14h28

Fabienne ?
Bonjour les Gens,

En fait, moi, j'ai négocié mon licenciement. Je devais normalement aller travailler à Liège, à 96 km de chez moi. Mais, j'avais un commerce (petit rikiki, hein) qui fonctionnait bien à l'époque. Mr, ouvrait à 14 heures, quand il rentrait et je prenais le relai jusque 20 heures, quand, je rentrais. Seulement, il y avait toute la partie fabrication et là, je devais tirer dans mes congés payés, pour y arriver. Mais si, j'allais bosser à 100 km, ce n'était plus possible.

Je n'ai pas remis, mon préavis, j'ai "demandé" mon préavis, comme, ils étaient mal barrés avec les finances, ils n'ont pas fait trop de chichis.

La loi prévoyait dans mon cas : 18 mois de préavis au grade que j'avais, à prester.

Ma négociation, a été : 18 mois de préavis, payés, non prestés, au grade supérieur plus
le payement en black (j'avais été à la compta, je savais qu'ils sortaient du black) d'une "prime" de (équivalent) 2500 €, s'ils avaient refusés, je leur envoyais, tous les contrôles imaginables. La prime c'était pour payer mes impôts et j'ai douillé l'année suivante.

Comme dit plus haut, ils ont accepté.

Si, ça peut t'aider.


Ne perds surtout pas tes moyens, au moment de la négociation, c'est primordial.


Red : je n'ai jamais été syndiquée.

22 mars 2010 14h28

Lalo Skywalker
Je serais accompagnée d'un conseiller du salarié que j'ai rencontré samedi matin et à qui j'ai raconté tout ce qui s'était passé...

Je sais qu'il est très difficile de trouver un emploi en ce moment. ça fait des mois que j'en cherche un. Tous les employés de la société et de l'association de la femme de cherchent un autre job.... TOUS sans exception. Mon collègue de Lyon a un entretien d'embauche cet après-midi. J'espère que ça va marcher pour lui....

22 mars 2010 14h36

Fabienne ?
Oui, c'est difficile de retrouver un travail et ils le savent et exercent une forme de chantage, avec ça.

Bosser ou finir malade ?

Niveau "compta", tu ne sais rien sur la boîte ? Si, tu sais des trucs exploite-les, t'inquiète EUX ne s'en priveraient pas.

22 mars 2010 15h39

Hélène
Lalo, je crois que Paka a raison, bosser et finir malade? je peux te dire que la dépression liée au boulot, c'est très dur.....
courage, renseigne toi bien...

22 mars 2010 15h46

Lalo Skywalker
C'est vrai Hélène.. c'est très dur.. je l'ai vérifié ce matin....
Ces "trucs pas clairs" niveau compta.... j'en ai... et ils le savent... c'est pour ça qu'ils veulent négocier.....

J'ai posé la question sur Q/R mais je n'ai eu qu'une réponse : ont-ils le droit de se faire représenter par leur avocat. Car d'après mon collègue, il "serait" possible que personne de la société ne soit "disponible" demain matin pour l'entretien. Le jeune a demandé à mon collègue de s'en charger. Il a refusé...

22 mars 2010 15h46

Fabienne ?
Rouk, ça va plus loin.

Sauf, que quand, tu rentres chez toi, tu n'es pas guéri jusqu'au lendemain, le couple et la famille essuient aussi, les plâtres.

22 mars 2010 15h50

Hélène
Oui, l'entourage trinque aussi, ça je le sais bien....

22 mars 2010 15h56

Lili ...
Lalo,
ce site semble reprendre expliquer la procédure de licenciement.
En plus, il semble fait de pas mal de conseils :
Raphael Jornet: le licenciement vu de l'intérieur... - L'entretien

Pour avoir plusieurs sources, cherche sur le net avec les mots clés : procédure, entretien préalable, licenciement motif personnel, ...
tu peux également consulter là :
http://vosdroits.service-pub...

Désolée de ne pouvoir t'aider plus, je n'ai plus de docs juridiques à dispo ... et suis toujours dans mon problème de relevé d'infractions au repos hebdo pour mon cher et tendre.

22 mars 2010 16h01
modifiée
22 mars 2010 16h03

Fabienne ?
Le signataire du contrat de travail devrait être là !

"L'avocat" ce n'est pas un fondé de pouvoir !
Surtout, si c'est un mec qui ne règle que des divorces, en droit, du travail, il n'en saura pas plus que toi !

Ce n'est pas normal, et tu dois le faire remarquer, qu'aucune personne n'ayant un pouvoir décisionnaire ne soit là, c'est la dirlo, le fondé de pouvoir, un actionnaire majoritaire, un membre du conseil d'administration qui peut "décider" pas un avocat, qui est payé pour mentir !

L'entreprise sera donc demain, laissée à l'abandon ? Joue là-dessus, il faut toujours "un responsable" présent. Limite, si, tu as des sous, fais-le constater par un huissier.

En clair, un client, un membre ou n'importe quoi demande, demain, pour parler à la Direction, il n'y aura personne ?

C'est quoi, ce boxon ?

22 mars 2010 16h24

Segel
Lalo, je ne sais pas où tu habites.
Si tu es sur Paris je connais un bon avocat en droit du travail.
Cher mais bon.

Quand je dis bon, je devrais dire excellent.
Une quinzaine d'affaires gagnées, contre une seule perdue ... mais en tant qu'employeur.

22 mars 2010 16h55

Théodora
Jour

@Lalo : du temps où je traînais chez MacDo , Domil34 (ou 134 , je sais plus) était trés calé pour toutes les questions juridiques . Essaie de lui poser la question directement en mp s'il est toujours sur q/r .
Je suis désolée de ne pouvoir t'aider , c'est un domaine dans lequel je ne connais absolument rien . Le mieux que tu aies à faire , c'est de te faire assister par un pro .
Je penserai bien fort à toi pendant ton entretien , promis

22 mars 2010 16h56

Lalo Skywalker
Merci à tous pour tous vos conseils

Paka, tu parles de "boxon", c'est exactement le mot qui convient. Le vieux est tellement dans le dénie de tout, qu'il ne se rend pas compte de la situation. Le jeune a tellement la trouille du vieux qu'il fait ses 4 volontés.....
C'est bien parce que j'ai refusé de faire les 4 volontés du vieux qu'on en est arrivé là....

22 mars 2010 16h58

Hélène
C'est le délire des "chefaillons" dans toutes les boites...le chef, qui a un autre chef et ainsi de suite....tous veulent le pouvoir, donc c'est sur les plus "petits" qu'ils tapent.....
Je penserai à toi demain....
tu sais qu'ici, on ne te laissera pas tomber....

22 mars 2010 17h19

Fabienne ?
Fais-toi des plaisirs ce soir, ne stresse pas pour arriver demain, gonflée à bloc et sûre de toi.

22 mars 2010 17h20

Hélène
Oui, Lalo, t'es la meilleure!!!
c'est pas un chefaillon de m.... qui sera plus fort que toi....

22 mars 2010 17h29

Segel
Tiens un petit clip sur lequel je viens de tomber ...
Vidéo YouTube

22 mars 2010 17h32

Lili ...
Lalo, le principal est que toi, tu sois accompagnée, et si c'est quelqu'un d'extérieur à la boite, c'est encore mieux.

Dans le courrier de convocation, sauf erreur de ma part, doit être mentionné le lieu du RDV en plus de l'heure et du motif, ainsi que la personne que tu vas rencontrer.

La loi offre la possibilité de se faire assister, tant pour le salarié que pour l'employeur (ou son représentant : responsable rh, responsable direct, directeur, ....), mais n'en fait pas une obligation.

Bon, tu t'appelles pas Pierre, mais, un p'tit coup de peps avant ton entretien :


22 mars 2010 17h38

Hélène
Excellent Stupéflip!!! ça c'est du groupe!! je conseille!!!

tiens...encore un "tube" que tu devrais avoir dans la tête...
Vidéo YouTube

22 mars 2010 17h41

Lili ...
Superflip, un peu trop violent pour moi.
Par contre, ton lien Rouk ... sympa ... j'vais finir par m'imaginer avec une crète sur la tête.

22 mars 2010 17h43
modifiée
22 mars 2010 17h48

Hélène
Celui ci devrait vous plaire, dans un autre style:
Vidéo YouTube

ouais, jolie crête!!! punk is not dead....yeah!!!!
NO FUTUR....

22 mars 2010 17h54

Lili ...
Bon, allez, à + les cigales ... m'en vais pour ce soir ... mon punk de fils a besoin du regard de sa moman posé sur lui.
Bonne soirée à tous.
Et Lalo, te laisse pas embêter !

22 mars 2010 21h19

Hélène
Dans l'ascenceur, faut avoir le temps dis donc!!!

22 mars 2010 23h14

Luna
'soir Lalo,
Ce que tu veux c'est un départ négocié,c'est à dire que les deux se mettent d'accord à l'amiable. Le mieux pour négocier un licenciement est d'en parler directement sans mettre la pression, mais vu les relations que tu as avec ta hierarchie
en général ce genre d'employeur avec qui on négocie un licenciement aime particulièrement la faute lourde puisqu'ainsi il est dispensé de payer le préavis et l'indemnité de licenciement. Je pense que ton problème majeur est de ne pas te retrouver sans Assedic et sans revenus, il faut donc absolument négocier un licenciement qui respecte les formes du licenciement, mais tout est négociable...la seule chose c'est qu'il faut "emballer" l'histoire correctement vis à vis des Assedic. La grande difficulté est qu'il faut bien s'y connaitre en législation sociale, ça rend l'exercice assez périlleux quand on a pas d'assistance. Tu as de bon lien ici pour t'aider... Tiens bon la barre, à bientot

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