23 novembre 2009 13h30

Rouroux
Moi je suis pour les taloches dans la gueule !!!!!

Aujourd'hui, lors du journal de 13h sur France Inter.

Info: manisfestation d élèves sur Paris, ils proteste contre l'interdiction du telepehone portable en classe. (résumé)

Je sais que le probleme est vaste de part ses implications: education par les parents, emprise des medias et marques sur les enfants, vivre avec son temps, doit à la communication, signe exterieur de richesse, respect du travail des prof et respect des liberté des autres (notament celle de respecter ceux qui veulent etudier).
Malgrais tout le telephon portable allumé, n as aucune place en classe, et ce qui me navre, c est que des élèves osent manifester leur mécontentement...

il y aurais deux solution:

Une presse hydrolique dans chaque etablissement pour regler le probleme du non respect à l'enseignement ou l'enseignant.

Ou une bonne taloche dans la gueule de ces ptits cons !!!!

23 novembre 2009 13h31

gonzo
il est claire que le téléphone n'a pas sa place dans une classe.

je propose également le coup de la taloche , qui me semble bien placé en l'occurence.

23 novembre 2009 13h53

Siberian Khatru
C'est sérieux ? Y'a vraiment des ados qui ont fait cette manif pour de vrai ?...

Bonjour l'idéal des gamins !!!

23 novembre 2009 14h02
modifiée
23 novembre 2009 14h03

Hélène
Bein oui, les parents manifestent aussi d'après ce qu'on a compris......franchement n'importe quoi!!!! ils vont être soutenus par les industriels qui vendent les portables!!!! Les "pôv' z'élèves" déjà qu'on veut les payer pour éviter l'absentéisme, alors on ne va pas leur piquer leur portable...comment vont ils faire pour appeler leur parents (qui s'inquiètent à cause des pédophiles!!)?????
Bein, zut, comment faisions nous dans les années 80? il y avait des cabines dans les bahuts.....et nos parents étaient sans doute beaucoup moins flippés que maintenant!!! vive l'indépendance quand on voit ça.....Au final, on était bien plus peinards!! (et nos profs aussi, du coup, ils pouvaient faire leur taf)

23 novembre 2009 14h06

Siberian Khatru
Heyleyne, j'adhère absolument à ton discours !

23 novembre 2009 14h11

Rouroux
et oui, ça fait 30 ans que l on nous donne l illusion d etre connecté au monde, et que cela nous donne plus de "seccurité"...
Et comme psycologiquement c est un cercle vicieu, des gens reste dans la demande "de se connecter" a tout moment, et où ils veulent.
Qui aujourd hui sort sans son sacro-saint telephon portable ?

Perso je l oubli souvent ces derniers temps

23 novembre 2009 14h13

Siberian Khatru
Je peux pas trop me permettre de l'oublier, ça fait partie de mon boulot, y compris les e-mails qui arrivent dessus...

23 novembre 2009 14h16

gonzo
je le prend uniquement quand je sait que je vais avoir des problèmes.
genre grèves de transports ou autres galères.
sinon, il est toujours éteint.

23 novembre 2009 14h27
modifiée
23 novembre 2009 14h30

Pépé le Moko
C'est hallucinant cette histoire !! Si les taloches dans la gueule ne suffisent pas, ne pas oublier le bon vieux coup de pied au cul !

Difficile d'envisager un avenir serein avec des générations égocentrées et pour lesquelles le confort personnel passera avant tout. Vengeance par procuration de la part des parents ?

ça fout les boules !!!!

Bises à toutes et tous

23 novembre 2009 14h38

Lalo Skywalker
Manquent pas d'air ces petits cons !!!!!!
Ceci dit, ça serait d'abord aux parents de dire à leurs sales gosses de ne pas apporter leurs portables en cours...ne serait-ce que par respect pour les enseignants.....
Comme dit mon vieil anar de père : "Nom de Dieu de Nom de Dieu !!!! Y a des coups d'pieds aux cul qui s'perdent !!!! Putain de bordel de merde !!!"

23 novembre 2009 17h45
modifiée
23 novembre 2009 17h55

DAME Miette
Moi c'est avec le père de LALO que je suis entièrement d'accord,
ben merdre alors

son juron ressemble beaucoup à mon préféré :
Putain de merde de bordel à cul !
un qui fait du bien

23 novembre 2009 19h55

Djabali
Personnellement, je trouve que pour ce « vaste problème », la solution est bien trouvée : des taloches dans la gueule... Si t'a besoin d'un coup de main, appelle-moi !

23 novembre 2009 22h43

Siberian Khatru
Perso, je faisais plutôt dans le "Chier, con, pute et bordel à cul de pompe à merdre !"

23 novembre 2009 22h57
modifiée
23 novembre 2009 23h00

DAME Miette
Si tu peux le sortir sans hésiter sans réfléchir ,en vitesse, c'est bon .

Le mien je le croyais déjà bien long, mais ça va, je l'ai bien assimilé,et bien qu'il ne sorte que dans les grandes occasions, il n'est jamais estropié , il est définitivement immuable
(( depuis le papa de LALO il y a de la surenchère ))

23 novembre 2009 23h02

Cou'cou
Est-ce que le coup de règle sur les doigts est efficace pour se faire obéir ?
A moins que ce ne soit interdit en France ou en Europe ?

23 novembre 2009 23h02

gonzo
c'est interdit ...

23 novembre 2009 23h04

DAME Miette
non : un bon coup de règle sur le portable
si tu es sûre que ce n'est pas ta règle qui va casser

24 novembre 2009 10h12
modifiée
24 novembre 2009 10h15

Rouroux
Dame miette avec une règle en metal et carré, pas de probleme !!!!

et Djabali, va falloir du renfort, parce qu en france, y en a plein des ptits cons, et meme des ptits cons qui sont leurs parents.
de quoi se donner les mains rouge et beaucoup de taloche en perspective !!!!
Encore mieux que les carrottes qui rendent aimable et donne les fesses roses !!!

24 novembre 2009 10h17

DAME Miette
Mouai...
il faut les chercher, les règles qui ne sont pas en plastique,
de nos jours...
Rouroux bonjour !
Tu as fini tes labours ?

24 novembre 2009 11h15

Pépé le Moko
Pour la fessée, et pour nous ménager, je propose l'utilisation d'un battoir

Comment ça violent ? Rien de tel que les méthodes éprouvées pour faire fesse face aux nouvelles technologies

Paix et amour

24 novembre 2009 12h49

Martine
http://www.idiotduvillage.co...

Profitez en bien....la fessée va devenir un délit !

24 novembre 2009 16h16

Hélène
Ah!!!! bientôt tous les gamins seront à l'école devant leur ordi, ça résoudra bien des problèmes......

24 novembre 2009 17h41

Pépé le Moko
...et ça en créera d'autres

24 novembre 2009 22h15

Djabali
bon rouroux j'prends les p'tits cons tu prends les grands ça marche ?

25 novembre 2009 10h02

Hélène
jpeux v'nir????? pour compter les points????

25 novembre 2009 10h08

Martine
Je te donne un coup de main ?....Il faut arbitrer aussi ! ou tous les coups sont permis !

25 novembre 2009 10h15

Hélène
à grands coups de portables dans la tronche!! na!!!!

25 novembre 2009 10h28

Martine
....portable éteint pendant les cours ! ce n'est pas un droit mais un devoir !...

Euh ! vu le prix des babioles ! Ce n'est pas une bonne idée

25 novembre 2009 10h37

Hélène
Pas besoin de portable à 12 ou 13 ans!!! tout simplement! dans les collèges, il y a souvent une cabine téléphonique à dispo et en cas de problème, c'est l'établissement qui appelle les parents....

25 novembre 2009 10h46

Martine
Certains en ont déjà au primaire.... la grande vague après les vacances de noël !

25 novembre 2009 10h53

Hélène
En pleine croissance, les ondes dans le cerveau, c'est bien meilleur!!!! ça nous promet de bons "neuneus" dans quelques années.....qui feront des "neuneus à leur tour......
ça me fait penser à un film très con: Idiocratie.......

25 novembre 2009 15h25
modifiée
25 novembre 2009 15h28

Martine
Je l'ai vu....et j'ai bien peur de le revoir encore et encore !...A quoi cela sert d'informer si personne n'écoute ! Et cède si facilement devant les chiards pleurnichards ! C'est pourtant pas compliqué le mot de 3 lettres : NON...

25 novembre 2009 15h44

Pépé le Moko
surtout qu'un gamin a besoin d'être cadré par les bornes que placent le NON, sinon, c'est lui qui devient borné !
Mon gamin de 11 ans qui est en sixième a déjà tâté le terrain pour savoir s'il pouvait avoir un portable... "J'ai des copains qui en ont"
En plus, les opérateurs cherchent, par des offres alléchantes, à s'attacher très tôt ces petits consommateurs et ce nouveau marché Les grandes surfaces s'y mettent aussi L'autre jour, il me parlait d'une offre Leclerc qui coûte 3 € par mois avec des recharges à acheter quand on en a besoin, bref idéal selon lui.
On n'est pas aidé !!!

Bises

25 novembre 2009 15h52

Martine
Ce sont des consommateurs extraordinaires...ils pèsent des millions d'€....Entre les marques (fringues, chaussures, sacs..etc), les boissons et gourmandises sucrées....ETC...Ils sont des victimes de plus en plus jeunes...Les concepteurs de jeux sur ordinateurs s'adressent de plus en plus aussi aux plus jeunes !...des heures devant Dora et cie....si les parents laissent faire !

26 novembre 2009 10h28

Hélène
les enfants sont les 1ères cibles des industriels.....

26 novembre 2009 10h34

Djabali
les gosses sont effectivement les cibles du marketing, normal, à cet âge on sort difficilement du "je veux ça de suite" ...

26 novembre 2009 11h23

Pépé le Moko
Pour ceux qui n'aurait pas eu les détail de l'info donnée par Rouroux, voici ce qu'il y avait dans le journal ce matin :
http://www.ouest-france.fr/a...

C'est pire que tout vu que c'est dirigé contre une enseignante et non contre une administration. Ce sont vraiment des cons !!!

Bises

26 novembre 2009 12h29

Hélène
Oui, c'est grave.....et après on tape sur les profs......
pauvre éducation nationale qui devrait mettre tout le monde sur le même niveau.....si on ne lui donne pas les moyens de travailler efficacement.....où va t'on???

30 janvier 2010 22h39
modifiée
30 janvier 2010 22h46

♫ Panther ♪
Ah ben, ça y est, j'ai trouvé cette conversation où je voulais faire un copié/collé, finalement ;-)

L'offre d'emploi finira par disparaitre mais je vous met le lien pour prouver que c'est véridique :
http://offre-emploi.monster....
http://www.jobisjob.fr/meudo...

30 janvier 2010 22h40
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30 janvier 2010 22h43

♫ Panther ♪
Recherche Infographiste
Description du poste

CDD 6 mois

LSK est un Studio de Création (petite structure) qui travaille pour de grandes marques telles que Nestlé, Lacoste, UHU, Yoplait dont les cibles sont essentiellement les enfants et les ados…

Nous réalisons de la perturbation packaging, de la plv, de la 3D, des sites web, des gameplay, des bannières web, des argumentaires, des tracts....

Recherche un(e) :Infographiste PAO/exé

Mission : Renforcer l'équipe sur des travaux de création, d'exe et réalisation d’illustrations simples.

Merci de joindre un lien présentant vos réalisations à l’adresse mail suivante : sandrine.sonigo@lsk-creation.com

Profil : Autonome, motivé, connaissant bien la chaine graphique, avec une réelle expérience de la manipulation des docs d'exe packaging et capable de s'adapter rapidement.
L’illustration en 3D et la programmation flash sont des plus très appréciés. Un minimum d’expérience est demandé.
Maîtrise des Logiciels sur Mac : Photoshop, Illustrator, In design, Flash.

Lieu : Basé sur Meudon (92190), limite Issy les Moulineaux, à 1 minutes à pied de la station de Tram Meudon sur seine (T2).

31 janvier 2010 09h52

Hélène
Charles, c'est du boulot pour Rouroux????? il est infographiste.....

31 janvier 2010 09h57

♫ Panther ♪
mdr !!
Ben oui, c'était aussi pour suivre la conversation sur le marketing à destination des enfants. Je me demandais par exemple, ce que c'est que la "perturbation packaging"..... "les cibles sont essentiellement les enfants et les ados…".

Cela dit, si Rouroux a la curiosité de voir comment ça marche à l'intérieur de ce type de boîtes, ben qu'il n'hésite pas, l'annonce marche encore.

31 janvier 2010 10h05

Hélène
Ce sera à lui de voir.....il est sur un truc de création de jeux vidéos sur Bordeaux......mais c'est pas fait....

perturbation packaging, je ne vois pas ce que ça peut être, pourtant, c'est mon domaine....

31 janvier 2010 11h24

Djabali
Bordeaux, quelle chance, mes années de fac !

31 janvier 2010 11h26

Hélène
Je déteste cette ville de bourgeois.......après, d'un point de vue architecture, c'est joli....
Salut Djab!!

31 janvier 2010 20h44

♫ Panther ♪
Salut tous, allez un article pour la forme :

La publicité télévisée captive les enfants

Sur le petit écran, les enfants sont soumis à une pression publicitaire intense. Quel impact a-t-elle sur eux ? Quels stéréotypes, quelles valeurs véhicule-t-elle ? Comment influe-t-elle sur leur représentation du monde ? Est-elle nocive ?

Pour les marques, les enfants sont devenus une cible de choix en raison de leur poids dans les décisions d'achat de la famille et de leur statut de futurs consommateurs. Et pour les séduire, elles ont une arme redoutable : la publicité télévisée. Quel parent ne s'est jamais agacé de voir les programmes destinés aux enfants entrelardés de coupures publicitaires ? Certains vont même jusqu'à parler de «matraquage» visant leur progéniture.

En effet, dès la rentrée, les annonceurs passent à l'offensive : les écrans publicitaires se gonflent de spots pour des jouets ou des confiseries, et la pression ira crescendo jusqu'à Noël. Selon l'institut de sondage Médiamétrie, les 4-10 ans consacrent en moyenne 10,8 % de leur temps d'écoute quotidien à la publicité (1), un pourcentage supérieur à celui des adultes. De plus, comme ils regardent nombre de programmes en famille, ils sont exposés à une vaste palette de messages publicitaires répétitifs qui exercent sur eux un pouvoir de séduction incontestable.

Le monde de la société de consommation apparaît comme merveilleux, accueillant, plein de facilités.
La présence physique ou la voix des enfants est d'ailleurs de plus en plus fréquente, y compris dans des spots pour des produits qui ne leur sont pas destinés (automobile, électroménager, alimentation). Astucieuse, la publicité représente l'enfant tel qu'il voudrait se voir, afin de favoriser le processus d'identification. Il se rêve plus grand ? Elle va mettre en scène des enfants plus âgés consommant des produits qui le concernent directement. Il aspire à plus d'autonomie, de liberté ? Elle va montrer des enfants sans contraintes, tout puissants, qui n'hésitent pas à contester ou contourner l'autorité parentale.

«Pour avoir un impact, les marques ont besoin de miner les repères donnés par les parents», explique Élisabeth Baton-Hervé, docteur en sciences de l'information et de la communication et auteur d'un guide sur les médias à l'intention des parents (2). Selon elle, les spots «véhiculent largement l'image de parents dépassés, déphasés, en retard sur leur temps, face à une image idéalisée d'un enfant qui sait tout, qui a tout compris. Les places de chacun sont inversées et l'autorité parentale est ainsi battue en brèche».

Au fil des décennies, les publicitaires ont acquis un savoir-faire indéniable et leurs stratégies se sont affinées. Pour faire mouche auprès des adolescents, ils recyclent sans cesse leurs codes, références et vocabulaire. Pour s'adresser aux plus petits, ils s'inspirent directement des contes de fées, comme l'a montré l'enseignante-chercheuse Françoise Minot dans ses études (3). Lorsque les publicités ne font pas directement appel aux classiques de la littérature enfantine, elles utilisent les mêmes stratagèmes pour susciter leur intérêt et les séduire. Elles sollicitent leur inconscient et mettent en scène leurs peurs, leurs désirs et les difficultés auxquelles ils sont confrontés au quotidien.

Seule différence, et de taille, le conte met en avant les épreuves successives surmontées par le héros tandis que les spots vont proposer des solutions instantanées, généralement liées à l'utilisation du produit. Le monde de la société de consommation apparaît comme merveilleux, accueillant, plein de facilités. Au final, les enfants, explique la sociologue Monique Dagnaud, «auront tendance à penser que cette féerie de consommation est de l'ordre d'un dû et qu'on peut y accéder de façon magique sans beaucoup d'efforts». La confrontation à la réalité sera d'autant plus difficile.

De la même façon, les publicitaires vont tout mettre en œuvre pour brouiller les repères des enfants dans leur capacité à distinguer la publicité des autres programmes.


Inviter les enfants à faire la différence entre le plaisir procuré par le spot publicitaire et l’éventuel plaisir que procurerait l’achat du produit.
Confectionnés à grand renfort d'effets spéciaux, les spots prennent les mêmes formes que les séries d'animation appréciées des enfants, et intègrent des personnages auxquels l'enfant peut aisément s'attacher, quand ils ne reprennent pas carrément les héros du dessin animé qui suit. «Parallèlement, les ruptures entre les différentes séquences sont gommées. L'habillage des programmes jeunesse tend à se raccourcir et parfois même à servir directement les intérêts des annonceurs», constate Élisabeth Baton-Hervé avant de citer l'exemple des programmes jeunesse de TF1, immédiatement suivis de la promotion des produits dérivés de la Star Academy : se succèdent dans la même demi-heure un dessin animé «classique», une bande-annonce pour l'émission de télé-réalité, un spot faisant la promotion du tapis de danse «Star Party» (fabriqué par Smoby) et une séquence, parrainée par ce jouet, dans laquelle une jeune animatrice donne un cours de danse à plusieurs petites filles. Difficile, dans ces conditions, de différencier les univers et de prendre du recul.

Selon le psychiatre et psychanalyste Serge Tisseron, le rôle des parents est donc crucial. Comme il l'explique dans un Manuel à l'usage des parents dont les enfants regardent trop la publicité (4), les adultes doivent impérativement apprendre à l'enfant dès son plus jeune âge à repérer les entrées qui permettent de définir les différents types d'images : fiction, actualité ou publicité. «Le grand risque de la publicité, assure-t-il, n'est pas de donner à l'enfant envie d'acheter tel ou tel produit mais de créer de la confusion autour des images. Car cette confusion est source d'angoisse».

Il suggère d'ailleurs aux parents de reconnaître le plaisir que procurent les images publicitaires, afin de pouvoir inviter les enfants à faire la différence entre ce plaisir-là et l'éventuel plaisir que procurerait l'achat du produit. «La publicité joue beaucoup de cette ambiguïté et les adultes seront beaucoup plus crédibles s'ils expliquent que les spots sont conçus pour séduire et que ce n'est pas parce que le spot pour telle boisson est génial que la boisson est bonne. Trop de parents disent : "cette publicité est bête ou sans intérêt." Or, si les publicités ne nous plaisent pas, c'est qu'elles ne sont pas faites pour nous.»

Aussi, la sensibilité des enfants et des adultes face à la publicité n'est pas la même. «Les uns et les autres ne sont pas perturbés par la même chose», poursuit Serge Tisseron qui assure que les modèles véhiculés par la télévision ne seront adoptés par l'enfant que si ses parents les entérinent. Le dialogue familial est donc, en ce domaine comme en d'autres, nécessaire.

CÉCILE JAURÈS pour La Croix du 29/09/2004 : http://www.la-croix.com/pare...

31 janvier 2010 21h43

Hélène
Tu as résumé le doc que je t'ai posté? wouah....tu m'épatates Charles!!!

2 février 2010 21h29

Djabali
Pareil, je suis man épaté ! C'est vraiment très intéressant, on devrait diffuser le document dans les écoles

3 mars 2010 17h28

♫ Panther ♪
Bon, j'ai trouvé une école où on refuse les téléphones portables en classe : http://www.lefigaro.fr/lefig...
Voilà un établissement où je vais envoyer mes enfants, en plus ils délivrent une éducation complète.

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