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| 25 avril 2011 09h55
modifiée 25 avril 2011 10h07
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 maurice |
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25 avril 2011 16h40
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 Djabali  |
effectivement, en attendant, le prix à payer est très lourd... La Syrie est moins présent sur les écrans de télévision (je suppose, parce que je n'en ai pas), mais là-bas aussi la répression s'abat lourdement sur les manifestants. | |||
25 avril 2011 18h17
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maurice |
oui Djab .on m'avait dit que le père du président syrien était un odieu personnage maintenant que tu me connais je vais employé le qualificatif de pourri,alors son fils il me sort par les trous de nez pour lui il faut rétablir la peine de mort  il a donné l'ordre de tirer et c'était des gamins .Même les images sont rares en lybie c'est grave le peuple sera plus ou moins tiré d'affaires avec le pétrole et le temps mais en syrie rien ils ont verrouillé le pays | |||
25 avril 2011 19h25
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Djabali |
en Syrie, ça promet d'être dur, d'autant que le Bashar est tout de même mieux en cour au^rès des européens... | |||
25 avril 2011 19h52
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 yv |
en une fois deux poids deux mesures, je te rassure Djab, nous aussi nous avons trés peu d'informations sur la Syrie, encore moins de réactions des politiques . Tiens lis ça, je trouve cet article intéressant: CENSURE • Al-Jazira et les autres médias trop indulgents pour Bachar El-Assad 21.04.2011 | Lee Smith | The Weekly Standard Imprimer Caractère Recommander Commenter 0 Mes dossiersEnvoyer Votre message Partager Facebook Twitter Viadeo Yahoo! Buzz Google Buzz Yoolink Delicious Scoopeo N° 1068 Même sujet SYRIE Appel à manifester pour le vendredi saint SYRIE L’état d’urgence est levéSur le web The Weekly Standard L'article original (en anglais)Dossiers Un dictateur syrien en sursis Fiches pays Syrie Elle ne fait pas la une des journaux occidentaux ni celle des grandes chaînes satellitaires arabes comme Al-Jazira et Al-Arabiya, mais la révolte syrienne enfle rapidement et la répression exercée par le gouvernement de Bachar El-Assad est de plus en plus violente. Les Syriens qui sont dans la rue comprennent très vite que, si les forces de sécurité peuvent tirer, elles le feront. Personne ne les en empêchera, et certainement pas la crainte de répercussions dans la presse internationale. Les médias occidentaux qui ont couvert les soulèvements en Egypte et en Tunisie sont absents en Syrie. The New York Times relate les événements depuis Le Caire, The Washington Post depuis Beyrouth. Reuters a des correspondants à Damas, mais le régime passe son temps à les arrêter et à les expulser. Assad a bien réussi à garder les rideaux baissés sur la situation, de sorte qu’Internet, YouTube, Facebook et Twitter sont presque la seule source d’informations venant de Syrie. Al-Jazira a couvert les premières révolutions arabes et s’est vantée du rôle qu’elle a joué dans la destitution de Ben Ali et de Moubarak. Mais la chaîne de Doha est moins présente en Syrie, comme l’explique Michael Young dans sa chronique pour The Daily Star de Beyrouth. “La Syrie fait partie de ‘l’axe de la résistance’ [contre Israël] et la chute de son régime ne ferait que nuire au Hezbollah et au Hamas. Le même manque d’enthousiasme a caractérisé la couverture par la chaîne de l’Intifada libanaise contre la Syrie, en 2005 [après l’assassinat de l’ex-Premier ministre libanais Rafic Hariri]. Il est facile d’attaquer les présidents yéménite, libyen ou égyptien, qui sont ou étaient tous à leur manière des ‘traîtres’ à la cause arabe. Leur combat ne bénéficiant pas du traitement habituel par Al-Jazira – fort en émotion et électrique dans les slogans de mobilisation –, les Syriens se sentent aujourd’hui abandonnés. Certes, le récit télévisé arabe de la lutte pour la liberté n’élude pas tout à fait la Syrie, mais n’en fait pas une cause à défendre. Les chaînes arabes espèrent peut-être que le sujet de la Syrie va bientôt disparaître, et leur duplicité avec lui. C’est honteux.” Young n’épargne pas non plus Al-Arabiya, la chaîne saoudienne créée en 2003 pour concurrencer Al-Jazira. “Mettre les deux chaînes dans le même panier est ici justifié, parce que l’Arabie Saoudite et le Qatar partagent le même désir d’éviter une crise en Syrie, par crainte du chaos qui pourrait s’ensuivre. Leur position est rejointe par la majorité des Etats du Golfe, dont les dirigeants ont récemment contacté Assad pour lui exprimer leur soutien”, affirme-t-il. Car les Saoudiens, qui sont à couteaux tirés avec la Syrie depuis qu’ils soupçonnent celle-ci d’être impliquée dans l’assassinat de Rafic Hariri, ne veulent pas voir tomber El-Assad. Ils craignent d’être les prochains touchés par la vague de révoltes arabes, et la Syrie est un bon endroit pour la stopper. J’ai entendu au début du mois à Beyrouth une rumeur disant que les Saoudiens avaient demandé aux imams sunnites en Syrie de dissuader les gens de descendre dans la rue. Apparemment, les vœux des Saoudiens ont été balayés par les vents de la révolte. biz yv | |||
25 avril 2011 20h06
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Djabali |
c'est exactement cela, sachant qu'il reste de toute façon un interlocuteur valable pour les occidentaux... Une véritable ordure. | |||
25 avril 2011 20h20
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maurice |
yv ton analyse est pertinente tu as bien contourné les dessous de table j'ajoute juste un détail il y a quatre communautés en syrie les sunnites,les alaouites ,les druzzes,les kurdes si les evenements perdurent en s'amplifiant et dans l'hypothèse ou le pays volent en éclats çà arrangera les affaires des US.A du shin beth et mossad on peut craindre le pire si les apprentis sorciers persistent à à déstabiliser l'équilibre géo-politique de la région. | |||
| 25 avril 2011 21h01
modifiée 25 avril 2011 21h32
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yv |
merci Bucaillo, mais l'article n'est pas de moi. Moi je suis pour tout balayer, même si le bordel va certainement rendre nerveux tous ceux qui ont des intérêts à défendre dans le monde arabe, c'est une occasion unique de reconstruire une nouvelle société, visiblement les religieux sont dépassés et les aspirations profondes du peuples sont plus que légitimes et sont les mêmes d'un pays à l'autre, j’espère encore voire naître quelque part une vraie démocratie, honnête et profondément proche du peuple. Le monde arabe vis une incroyable aventure, fait unique dans l'histoire moderne, c'est aussi une incroyable occasion de se resituer sur l'échiquier mondiale. Même si le plus dur reste à venir; construire une nouvelle société sur des bases inédites, l'aventure vaut la peine de s'engager. Pour la CIA et autres Mossad, ils sont complétements dépassés, d'ailleurs pas une organisation politique ni religieuse n'a encore réussi à récupérer ces mouvements populaires et spontanés, et j'aime ça. NOUS VIVONS UNE EPOQUE FORMIDABLE biz yv | |||
| 25 avril 2011 21h33
modifiée 25 avril 2011 21h37
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maurice |
Une époque formidable c'est le film de gerard jugnot qui m'a le plus marqué .Ce jeune cadre commercial formaté "jeune loup" se retrouve du jour au lendemain S.D.F. Comme quoi l'incertitude de notre époque peut nous donner le pire comme le meilleur.quant à la situation syrienne je suis pratiquement sûr sachant que les pays du monde sont des pions pour les puissants les gens de l'opposition syrienne ont étè approchés par des hyennes.et les transactions pour l'aprés Bachar sont dejà sur le papier. Pour ce qui est de la démocratie dans l'univers musulman .Ce n'est pas une utopie ;Elle a existé mais dans les temps reculés.Pendant que l'occident moyenageux etait encore à guerroyer entre féodaux ignares,le monde Islamique à son apogée a contribué l'avénement de la renaissance | |||
25 avril 2011 21h42
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yv |
exact Bucaillo, le concept même de l'humanisme à été conçu dans le monde arabe. Ils ont besoin de retrouver leur identité, mais des siécles de domination occidentale (colonisation ou économique) ne s'efface pas d'un coup de gomme. Ils vont tous y passer, les saoudiens comme les jordaniens et les iraniens, qui réussirons cette fois ci...et tous les autres TAYO biz yv | |||
25 avril 2011 23h58
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Djabali |
je marche à fond avec yv, c'est une occasion unique de balayer le système des dictatures héritées du colonialisme, alors il faudra sans doute du temps pour reconstruire quelque chose de durable dans certains pays comme la Syrie, mais je leur fais confiance, ils y arriveront ! D'abord, balayer la dictature de Bashar... D'autant que cela ne sera pas forcément le jeu des USA. La Syrie est une retraite pratique pour le Hezbollah ou pour certains membres du Hamas. Une déstabilisation de la Syrie pourrait rendre les choses beaucoup plus complexe qu'elles ne le sont encore aujourd'hui. Rien ne dit que la confusion ne ferait pas le jeu des mouvements opposés à Israël et aux USA... | |||
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