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| 14 novembre 2012 18h19
modifiée 14 novembre 2012 18h56
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 Emma  |
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14 novembre 2012 20h25
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 R.WOLF |
Il a bien draché* on dirait! Ça va? *plu en belge + nord de la France | |||
| 14 novembre 2012 20h36
modifiée 14 novembre 2012 20h37
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Emma |
Salut Grand loup, ça va! Mais j'éponge la maison!!  Les Tunisiens gardent le sourire!! Mais j'ai vu que l'Italie faisait la Une, pour ses inondations, de certains journaux en Europe, alors que chez nous c'est bien pire... c'est comme ça!! On relativise tout ici!! Et puis demain c'est finalement le "nouvel an"  Comment fêter la nouvelle année 1434!? | |||
14 novembre 2012 20h44
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R.WOLF |
L' année passé on a eu tempête de neige à Noël, ça on a été servi, et puis des - 20 en février. Là on va commencer l' hiver, je déteste cette saison. L' essentiel c' est qu' il n' y aie pas de victimes. Oui, j' ai lu ça, mauvais temps en Italie aussi. | |||
| 15 novembre 2012 10h00
modifiée 15 novembre 2012 10h37
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 Hélène  |
"dictature de l'allaitement", bein merdre alors, moi qui croyaient que les femmes étaient des mammifères... Je suis assez radicale, mais si on veut des enfants, on assume! on les élève! L'allaitement ne doit pas être considéré comme une dictature, il fait partie intégrante des relations humaines, donne à l'enfant tous les anticorps nécessaires pour ces premiers mois de vie et toutes ces défenses immunitaires de l'âge adulte. C'est particulièrement irresponsable de montrer du doigts les femmes qui ont choisi d'allaiter, c'est un rôle de femme tout à fait honorable, absolument féminin. Emma, j'espère que ça va mieux ton inondation! Bon courage! | |||
15 novembre 2012 12h00
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 lurette |
Rien de plus naturel et de plus sain  que l'allaitement maternel, et qui engendre des relations privilégiées uniques mère-enfant . C'est de plus la meilleure prévention pour les maladies infantiles, et aussi maladies pour la mère.Ensuite, il y a des femmes qui ne peuvent allaiter, pas assez de lait ou soucis de santé, ou autres impératifs inévitables, il n'y a pas à les culpabiliser. Mais enfin, tant que c'est possible, c'est la meilleure chose, surtout dans les premiers mois ; c'est un acte faisant partie intégrante de la féminité et maternité. @ Emma, ça va mieux, l'eau chez toi ? pas de dégâts ? | |||
15 novembre 2012 12h15
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Emma |
Salut, merci pour votre soutien!! ça semble vouloir se mettre au beau... on a tout sortit tout javélisé(pas le choix) ça sèche... Bon sinon, concernant le sujet  Il me semble que cela reste une affaire de choix et qu'aucun gouvernent n'a le droit de pousser dans un sens ou dans l'autre... Je me souviens de ce que m'avait dit une pédiatre après la naissance de mon fils "le bon lait! c'est celui qui est donné avec amour" | |||
17 novembre 2012 14h29
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Emma |
Extrait des "15 idées qui dérangent": http://www.rue89.com/2012/11... 7 Allaiter n’a pas les vertus que l’on croit Le sujet provoque toujours des débats passionnés, surtout parmi les femmes. Mais les études ne démontrent aucune différence significative sur le développement des enfants, explique Books, qui n’hésite pas à parler d’« intox ». Et l’allaitement a des effets pervers : même dans le plus heureux des couples, les tâches domestiques échoient peu à peu aux femmes, et l’allaitement y contribue : la mère qui allaite devient souvent le parent privilégié pour consoler l’enfant, lui trouver une nounou, choisir son école... | |||
| 17 novembre 2012 15h54
modifiée 17 novembre 2012 15h57
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Hélène |
Quel est le rôle des femmes exactement? Si quelqu'un pouvait me donner une définition... Parce qu'allaiter et changer un bébé, si on ne veut pas le faire,ou qu'on trouve ça avilissant on ne fait pas d'enfants. Les papas dans tout ça? Il faut peut-être les responsabiliser un peu, non? (pas pour l'allaitement, c'est certain, mais pour le reste). | |||
17 novembre 2012 17h14
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lurette |
la mère qui allaite devient souvent le parent privilégié pour consoler l’enfant, lui trouver une nounou, choisir son école... la mère qui n'allaite pas ne ferait donc rien de tout cela ?  et c'est si pénible, d'avoir à consoler un enfant ? Les arguments présentés dans cette phrase pour justifier le non-allaitement me paraissent plus que douteux. Le partage de l'éducation et prise en charge des gosses, le rôle de chacun, est une question de personnes et d'accords dans un couple ; l'allaitement ou non n'a rien à voir là-dedans. | |||
17 novembre 2012 20h49
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Emma |
(Je me fais l'avocat du diable dans cette question... Parce que... j'aime bien )L'allaitement est, me semble t-il, devenu une mode (tout comme l'allaitement artificiel en a été un, à un moment donné). Les arguments en faveur de l'allaitement étant "le côté naturel" puis les arguments "santé". Pour ce dernier point, soit! peut être!? (en même temps je ne suis pas convaincue qu'une maman totalement stressée, parce qu'elle a mal quand elle allaite, parce qu'elle n'a pas assez de lait, parce qu'elle ne se supporte pas dans ce rôle pour des raisons qui lui sont propres... ne soit pas entrain de foutre en l'air tous les apports physiques par d'autres dégats psychiques... mais bon!) la mère qui n'allaite pas ne ferait donc rien de tout cela ? Le père qui ne peut allaiter ne ferait rien de tout cela? me semble plus proche de la réalité. Mais cela reste une question...  | |||
17 novembre 2012 21h11
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lurette |
Emma, tu détournes la question. Le rôle du père n'a rien à voir avec le fait que sa femme allaite ou non. Il est évident que si pour des questions de santé, ça pose un problème, ou que si elle n'a pas de lait, la question ne se pose pas ! On s'en fout, des questions de mode. Et ce n'est pas "devenu" ! Est-t-on devenu si éloigné de notre propre corps que cela ?  | |||
| 17 novembre 2012 21h27
modifiée 17 novembre 2012 22h08
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Emma |
Bonsoir Lurette Je ne pense pas détourner la question initiale Il me semble que la question de l'allaitement en renvoyant aux premiers moments et aux premiers liens qui se crée avec un enfant mérite d'être posée,quant à la place que l'on va donner au père à ce moment là (si ce n'est pas celui là, il pourra toujours en trouver un autre...) Mais en fait (et c'est ça qui fondamentalemnt me dérange) pourquoi culpabiliser (et mettre des entraves) aux femmes qui pour X raisons ne veulent ou ne peuvent allaiter leur enfant...?? (parce que c'est bien de cela dont il s'agit dans l'article que j'ai partagé la haut ) | |||
| 17 novembre 2012 22h19
modifiée 17 novembre 2012 22h36
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lurette |
pourquoi culpabiliser je te renvoie à mon intervention juste au-dessus, et à celle-là.  Quant au père, que la femme allaite ou non ne l'empechera certainement pas de choisir l'école du gosse ou de le consoler, comme il a été dit dans l'exemple que tu avais donné. Si sa femme allaite, eh bien il ne donnera pas le biberon, il fera autre chose : de plus, l'allaitement ne dure pas forcément des mois et des mois jusqu'au sevrage, et a parfois besoin de biberons pour compléter. Où cela serait-il donc un si grand problème ? Et ne me dis pas que les femmes qui choisissent de ne pas allaiter le font pour permettre au père de donner le biberon. Toutes mes copines qui ont allité leurs gosses ont littéralement adoré, ça a été une source de vrai bonheur et de communion totale. Celles qui ne l'ont pas fait ne sont pas pour autant de mauvaises mères insensibles ! Et le faire ou non n'a pas eu d'incidence sur le rôle et la place du père non plus; Mais réellement, celles qui ont pu allaiter en ont été comblées (malgré la fatigue) et super-épanouies. Les autres ont bien évidement compensé autrement. Mais choisir de ne pas le faire juste parce que pas envie , (et non par santé ou impératif) ou au nom d'un soi-disant féminisme...  | |||
| 17 novembre 2012 22h23
modifiée 17 novembre 2012 22h29
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Emma |
Et ne me dis pas que les femmes qui choisissent de ne pas allaiter le font pour permettre au père de donner le biberon. (Perso ??) ce ne fut pas la seule raison! Mais elle est entrée en ligne de compte! Pas pour "permettre" mais pour que cela "se fasse" et je ne le regrette vraiment pas... Quant au père, que la femme allaite ou non ne l'empechera certainement pas de choisir l'école du gosse ou de le consoler, comme il a été dit dans l'exemple que tu avais donné. Je crois que cet exemple, s'appuie sur des statistiques... Je ne leur accorde pas plus de valeurs que ça, mais quand même... Puis j'en reviens à deux choses: 1) c'est un Choix intime et privé! qui ne devrait pas être dicté par des politiques et encore moins par des phénomènes de mode. 2) On ne m'empêchera pas de penser que l'argument écolo/nature a été bien utilisé à un moment,où en commençait surtout à vouloir renvoyer les femmes derrières leurs fourneaux. (ce que je trouve d'autant plus dégueulasse) | |||
17 novembre 2012 22h50
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lurette |
Chacun et chacune fait ce qu'il veut. Mais en aucun cas, le fait de vouloir renvoyer les femmes aux fourneaux a à voir là-dedans. Ce n'est pas parce que certains vont le proclamer qu'il faut tomber dans ce genre de schémas grossiers. Les femmes ne sont pas assez stupides pour aller galoper dans ce genre de panneaux. Celles qui veulent rester au foyer se fiche bien de donner le sein ou le biberon. Alors oui, celle qui voudra bosser une semaine après l'accouchement, elle va pas allaiter.. mais celle qui allaitera ne va pas se transformer en bobonne à vie ! Il n'y a à tomber dans ces schémas, ni dans un sens, ni dans l'autre. Pas de caricature de bobonne ou de super-woman en rapport avec le biberon ou l'allaitement. qui ne devrait pas être dicté par des politiques là, 100% d'accord. | |||
17 novembre 2012 22h52
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Emma |
Mais choisir de ne pas le faire juste parce que pas envie le "pas envie" peut être plus complexe qu'il n'y parait: Il peut renvoyer à des blocages très nombreux. Il peut être, légitimement, lié au refus d'un retour en force de cette idée qu'une "mère qui n'allaite pas n'est pas une bonne mère" qui sévit depuis les années 2000 (et ce n'est pas, dans ce contexte, "du mauvais féminisme") Il peut être en rapport avec cette blague: "les seins sont comme les trains éléctriques: prévus pour les enfants, mais ce sont les papas qui jouent avec!" ...Des copines qui ont subis le diktat de l'allaitement j'en ai aussi... Bref j'en reviens aussi à ce que je disais au départ: à savoir laisser chacune faire ce qu'elle ressent comme étant le mieux pour elle, son enfant, son couple... Et je ne comprends pas bien le positionnement du gouvernement suédois, sur cette question (cf l'article ) | |||
17 novembre 2012 22h54
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Emma |
(nous avons compléter nos réponses en même temps Lurette et je crois qu'à peu de chose près nous sommes d'accord!) | |||
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