5 novembre 2011 09h52

Hélène
Une belle initative pour les femmes précaires.

Bouh, que je n'aime pas ce mot "précaire"...mais bon, initiative sympathique:
http://www.elle.fr/Societe/L...

Les plus démunies ont aussi le droit de se faire belles...de se faire un peu "chouchouter"...non?

5 novembre 2011 10h29

Hélène
Je trouve essentiel, mais si cela parait futile, de prendre soin de soi. C'est aussi possible sans argent ou avec très peu. mais quand tu es raide fauchée, ça se voit et pour se faire "respecter", pour une femme, c'est dur.
Bravo à ce type d'initiatives.

5 novembre 2011 10h41

Hélène
Val, c'était la même pour moi en france, j'avais le rsa. En espagne, je n'ai droit à aucune aide, et je suis dépendante des ventes que nous faisons. Dis toi bien que mes fringues, je ne les achète pas dans des boutiques, mais d'occasion, sur les puces à 1 euro. Je n'ai donc pas froid.
Mes chaussures sont décousues, en attendant de pouvoir m'en offrir d'autres, je les recolle, ni vu, ni connu...
Courage, val, ça fout le bourdon quand tu ne peux rien t'offrir, je connais. Mais il faut essayer de zapper en ce disant que beaucoup de choses ne sont pas essentielles.
Le plus important étant de manger.

5 novembre 2011 11h12

Hélène
Voler, quand c'est pour manger, c'est pas grave; (choisi autre chose que des sandwich...zut!! y'a mieux quand même dans leur hypersuper marchés....
Maintenant, si c'est pour boire, tu connais mon opinion là dessus.
pense à toi en priorité avant de penser que tu veux 3 enfants...rétabli toi, fait toi une bonne vie (pas besoin de beaucoup de fric pour ça tu sais) et après, tu envisageras l'avenir.
Si tu veux te faire couper les cheveux gratis, il y a les écoles de coiffure. Les élèves ont besoin de modèles.

5 novembre 2011 11h21

Hélène
je fais du henné pour cacher mes cheveux blancs....t'inquiète pas! j'ai des potes qui ont à peine 30 ans et qui sont chauves comme des oeufs. C'est pas grave ça!

5 novembre 2011 11h40

Hélène
A toi seul d'en juger!
mais j'aimerais que l'on débatte plutôt des femmes et comment elles sont perçues (ou comment elles se sentent perçues) lorsqu'elles sont démunies.
Je sais qu'il y en a quelques unes ici qui pourraient témoigner.

5 novembre 2011 16h28

Segel
Bouh, que je n'aime pas ce mot "précaire"...mais bon, initiative sympathique:

Je sais pourquoi.

Nous appartenons à une génération qui vit très bien sans cette fiction. Qui n’a jamais compté sur la retraite ni sur le droit du travail, encore moins sur le droit au travail. Qui n’est même pas «précaire » comme se plaisent à le théoriser les fractions les plus avancées de la militance gauchiste, parce qu’être précaire c’est encore se définir par rapport à la sphère du travail, en l’espèce : à sa décomposition.
http://rocbo.lautre.net/pole...

5 novembre 2011 16h34

Hélène
oui, c'est très bien vu comme explication; En ayant vécu avec pas grand chose, je ne me suis jamais définie comme "précaire", parce que je n'estime pas l'être.
Précaire, ça me fait penser à un reportage sur les rmistes qui ont écran plat et I pod....

5 novembre 2011 22h14

maurice
oui je partage vos points de vue sur la précarite
mais bonjour le racisme chez les précaires!!!!

:"il n'y a pas de racisme entre riches:
eux ils produisent éventuellement des doctrines de racisme
mais les pauvres en produisent la pratique,bien plus dangereuse" Umberto Eco

6 novembre 2011 20h21

Hélène
c'est clair, tu as raison, dans la rue, y'a pas d'cadeaux.

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