4 octobre 2011 13h18
modifiée
4 octobre 2011 14h18

Segel
Quelques citations de celui que Georges Orwell considérait comme équivalant Hitler, seulement dans le

... seulement dans le "bon" camp !


«En avalant les méchantes paroles qu'on ne profère pas, on ne s'est jamais abîmé l'estomac.»

«C'est une belle chose d'être honnête, mais il est également important d'avoir raison.»

«La démocratie est un mauvais système, mais elle est le moins mauvais de tous les systèmes.»

«J’ai retiré plus de choses de l’alcool que l’alcool ne m’en a retirées.»

«Il n'y a rien de négatif dans le changement, si c'est dans la bonne direction.»

«Les chiens vous regardent tous avec vénération. Les chats vous toisent tous avec dédain. Il n’y a que les cochons qui vous considèrent comme leurs égaux.»

«Il ne sert à rien de dire “Nous avons fait de notre mieux”. Il faut réussir à faire ce qui est nécessaire.»

«Sous le capitalisme, les gens ont davantage de voitures. Sous le communisme, ils ont davantage de parkings.»

«Quand on doit tuer quelqu'un, ça ne coûte rien d'être poli.»

«Plus vous saurez regarder loin dans le passé, plus vous verrez loin dans le futur.»

«La vie ? Le voyage vaut la peine d'être fait une fois.»

«Je me satisfais aisément du meilleur.»

«Construire peut être le fruit d’un travail long et acharné. Détruire peut être l’oeuvre d’une seule journée.»

«Il vaut mieux faire l’information que la recevoir ; il vaut mieux être acteur que critique.»

«Si deux hommes ont toujours la même opinion, l'un d'eux est de trop.»

«On ne peut être tué qu’une seule fois au combat, mais plusieurs fois en politique.»

«La grande leçon de la vie, c'est que parfois, ce sont les fous qui ont raison.»

«L’Angleterre s’écroule dans l’ordre, et la France se relève dans le désordre.»

«Je n'ai rien à offrir que du sang, du labeur, des larmes et de la sueur.»
- Extrait d’un discours à la Chambre des Communes - Mai 1940

«Il est toujours sage de regarder en avant, mais il est difficile de regarder plus loin qu'on ne peut voir.»

«En Angleterre, tout est permis, sauf ce qui est interdit. En Allemagne, tout est interdit, sauf ce qui est permis. En France, tout est permis, même ce qui est interdit. En U.R.S.S., tout est interdit, même ce qui est permis.»

«Après la guerre, deux choix s’offraient à moi : finir ma vie comme député, ou la finir comme alcoolique. Je remercie Dieu d’avoir si bien guidé mon choix : je ne suis plus député !»
- Extrait d’une Conférence - Mars 1959

«Agissez comme s'il était impossible d'échouer.»

«S’occuper des choses les plus sérieuses du monde n’est possible qu’à condition de comprendre aussi les choses les plus dérisoires.»

«Un pessimiste voit la difficulté dans chaque opportunité, un optimiste voit l'opportunité dans chaque difficulté.»

«On vit de ce que l’on obtient. On construit sa vie sur ce que l’on donne.»

«Ce n'est pas la fin. Ce n'est même pas le commencement de la fin. Mais, c'est peut-être la fin du commencement.»
- Extrait de discours Discours - 10 Novembre 1942

«La critique peut être désagréable, mais elle est nécessaire. Elle est comme la douleur pour le corps humain : elle attire l’attention sur ce qui ne va pas.»

«Un conciliateur c'est quelqu'un qui nourrit un crocodile en espérant qu'il sera le dernier à être mangé.»

«Vous aviez à choisir entre la guerre et le déshonneur ; vous avez choisi le déshonneur et vous aurez la guerre.»
- Extrait d’une lettre à Chamberlain

«Il est une bonne chose de lire des livres de citations, car les citations lorsqu’elles sont gravées dans la mémoire vous donnent de bonnes pensées.»

«Les empires du futur seront spirituels.»

«Le vrai génie réside dans l’aptitude à évaluer l’incertain, le hasardeux, les informations conflictuelles.»

«Quand on obtient d’une chose ce qu’on en attendait, on n’en demande pas plus.»

«Je suis toujours prêt à apprendre, bien que je n'aime pas toujours qu'on me donne des leçons.»

«Un fanatique est quelqu'un qui ne veut pas changer d'avis et qui ne veut pas changer de sujet.»

«Il est meilleur d'être irresponsable et dans le vrai que responsable et dans l'erreur.»

«Quand survient un malheur, il est tout à fait possible qu'il vous évite un malheur plus terrible encore. Et, quand vous commettez une erreur grave, elle peut vous être plus utile que la décision la mieux pesée.»

«La responsabilité est le prix à payer du succès.»

«On considère le chef d'entreprise comme un homme à abattre, ou une vache à traire. Peu voient en lui le cheval qui tire le char.»

4 octobre 2011 15h04
modifiée
4 octobre 2011 15h07

Hélène
Y'en a des biens....y'en a des biens....

«Agissez comme s'il était impossible d'échouer.»

«S’occuper des choses les plus sérieuses du monde n’est possible qu’à condition de comprendre aussi les choses les plus dérisoires.»

«Ce n'est pas la fin. Ce n'est même pas le commencement de la fin. Mais, c'est peut-être la fin du commencement.»



Oh!, celle-ci excellente!
«En Angleterre, tout est permis, sauf ce qui est interdit. En Allemagne, tout est interdit, sauf ce qui est permis. En France, tout est permis, même ce qui est interdit. En U.R.S.S., tout est interdit, même ce qui est permis.»

4 octobre 2011 15h15

Segel
Y'a des perles n'est-ce pas ?

4 octobre 2011 18h40

maurice
je connaissais pas cet écrivain j'aime ces citations

4 octobre 2011 18h46

Segel
Bucaillo ce n'est pas un écrivain, mais un personnage historique.

4 octobre 2011 21h54

maurice
ah bon
George Orwell, de son vrai nom Eric Arthur Blair, est un écrivain anglais né le 25 juin 1903 à Motihari, Inde britannique (aujourd'hui Inde) et mort le 21 janvier 1950 à Londres.

4 octobre 2011 21h56

Segel
Quelques citations de celui que Georges Orwell considérait comme équivalant Hitler

4 octobre 2011 22h31

maurice
qui est donc cet illustre équivalent fureur?

4 octobre 2011 22h38

Segel
Un indice :

Quand on pense à Orwell, on pense évidemment à 1984, voire à Animal Farm.
Dans Animal Farm, Orwell décrit un partage du monde un peu fantastique, dans lequel beaucoup reconnaissent des Staline ou des Hitler.

Mais peu sont vraiment conscients que ce partage du monde eut réellement lieu :


Alors, toujours pas ?

4 octobre 2011 22h47

abra
«La démocratie est un mauvais système, mais elle est le moins mauvais de tous les systèmes.»
Churchill

Il n'aimait pas trop le sport non plus. Je sais ça n'a rien à voir.

4 octobre 2011 22h52

maurice
mouammar el khaddafi?
mais il est trop con pour ces citations
quand même pas mitterrand c'est pas la même génèration?

4 octobre 2011 22h55
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4 octobre 2011 22h57

maurice
bon sang mais c'est bien sûr !
je suis bête pourquoi n'y avais pas pensé plutôt !
staline !La magicienne m'enfin la réponse était dans la photo
tu veillis ma grande

4 octobre 2011 22h59
modifiée
4 octobre 2011 23h20

maurice
un point pour toi segel
elle est ou la morale de cette morale ?
Doublethink

L'hypocrisie, mais avec une torsion. Plutôt que de choisir d'ignorer une contradiction à votre avis, si vous êtes doublethinking, vous avez délibérément oublie que la contradiction est là. Cette subtilité est surtout dominé par des personnes utilisant l'accusation de «double» lorsque vous essayez d'accuser un adversaire d'être hypocrite - mais c'est un mot très populaire auprès des gens qui aiment un bon débat avec leurs pintes au pub Oliver Marre.

4 octobre 2011 23h00
modifiée
4 octobre 2011 23h03

abra
T'es naze Bucaillo, Staline c'est nawak.
Heureusement qu'il n'y a pas Lady Gaga sur la photo !

C'est vrai qu'il ne manquait pas d'humour quand même.
Ma préférée, comme Hélène : «En Angleterre, tout est permis, sauf ce qui est interdit. En Allemagne, tout est interdit, sauf ce qui est permis. En France, tout est permis, même ce qui est interdit. En U.R.S.S., tout est interdit, même ce qui est permis.»

4 octobre 2011 23h03

maurice
pardon magicienne tu as raison c'est moi qui est atteint
c'est bien churchill
mais Orwell détestait Staline apres tout j'était pas là à Yalta
je ne sais même pas si j'étais le spermatozoïde de mon père

4 octobre 2011 23h05

Segel
Orwell détestait Staline

Ca c'est ce que tout le monde sait.
Ce que les gens ignorent en général, c'est qu'Orwell n'en pensait pas mieux de Churchill.
On l'a appris très récemment.

Orwell se méfiait.

4 octobre 2011 23h28

maurice
merci professeur
donc devant ses courtisans il léchait les bottes de churchill
en réalité il le détestait aussi
d'accord c'est du long mais c'est du bon
j'ai enfin compris tu ne m'as pas facilité la tâche
enfin je comprends ce soir c'est un soir vaseu

La liberté d'expression: Comment '1984 'a confié notre culture

L'effet de Nineteen Eighty-Four sur notre paysage culturel et linguistique n'a pas été limitée à l'adaptation cinématographique soit interprété par John Hurt et Richard Burton, avec ses nazie-esque des rassemblements et des BO de refroidissement, ni la précédente, avec Michael Redgrave et Edmond O ' Brien.

Il est probable, cependant, que beaucoup de gens regardent la série Big Brother à la télévision (au Royaume-Uni, a fortiori en Angola, Oman ou la Suède, ou l'un des autres pays dont les réseaux de télévision diffusent des programmes dans le même format) n'ont aucune idée d'où le titre vient d'ou que Big Brother lui-même, dont le rôle dans l'émission de télé réalité est surtout de maintenir la paix entre la mise au rebut, les concurrents en jurant comme un sage oncle, n'est pas si bénigne dans son incarnation originale.

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