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| 17 février 2012 06h30
modifiée 17 février 2012 06h41
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 Arsène Lupin |
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17 février 2012 07h28
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 Jean-Pierre ♫ |
Les mécanismes de solidarité institutionnels, tels que la sécurité sociale ou l'assurance chômage, rendent moins indispensables les solidarités de proximité (familiales et amicales). Après avoir connu un demi-siècle d'une société française avec des solidarités institutionnelles de plus en plus solides (de la sécurité sociale en 1945 à la CMU en 1999), nous allons être obligés de réapprendre les solidarités de proximité. | |||
| 17 février 2012 07h56
modifiée 17 février 2012 08h41
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Arsène Lupin |
Ce n'est pas gagné ! Appel à la commémoration du 60e anniversaire du programme du C.N.R. de 1944 Au moment où nous voyons remis en cause le socle des conquêtes sociales de la Libération, nous, vétérans des mouvements de Résistance et des forces combattantes de la France Libre (1940-1945), appelons les jeunes générations à faire vivre et retransmettre l’héritage de la Résistance et ses idéaux toujours actuels de démocratie économique, sociale et culturelle. Soixante ans plus tard, le nazisme est vaincu, grâce au sacrifice de nos frères et sœurs de la Résistance et des nations unies contre la barbarie fasciste. Mais cette menace n’a pas totalement disparu et notre colère contre l’injustice est toujours intacte. Nous appelons, en conscience, à célébrer l’actualité de la Résistance, non pas au profit de causes partisanes ou instrumentalisées par un quelconque enjeu de pouvoir, mais pour proposer aux générations qui nous succéderont d’accomplir trois gestes humanistes et profondément politiques au sens vrai du terme, pour que la flamme de la Résistance ne s’éteigne jamais : [Fabrique de sens - Erreur 404] | |||
17 février 2012 08h01
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 L'aubergiste  |
Tu peux aussi mettre un lien vers cet appel... Appel à la commémoration du 60e anniversaire du programme du C.N.R. de 1944 - Fabrique de sens Ce qui est amusant, c'est que certaines notes de renvoi se transforment en émoticons...  | |||
17 février 2012 08h37
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Arsène Lupin |
Tu as raison, un lien prend moins de place. « Le besoin supplémentaire de financement nécessaire aux retraites est réalisable puisqu’il a été chiffré en 2007 par le COR entre 1 et 2 points de PIB jusqu’en 2050, à comparer avec la chute de la part de la masse salariale de 8 points au cours des dernières décennies et avec l’explosion correspondante des dividendes, qui sont passés de 3,2 % du PIB en 1982 à 8,5 % en 2007. » L’association ATTAC et la Fondation Copernic récusent le catastrophisme actuel sur la question du financement des retraites. http://contreinfo.info/artic... | |||
17 février 2012 08h48
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 gonzo  |
nous avons perdu nos symboles fédérateurs, et nos totems. nous n'avons plus de valeurs qui rassemblent, mais qui divisent ... il à fallut une guerre pour en avoir sur nos mairies, et elles se sont érodées avec le temps ...attendons le prochain désastre, et nous en trouverons d'autres. l'humanitée c'est comme la marée, sa va, sa vient ...il n'est pas sage de nature et à besoin de se faire taper sur les doigts pour comprendre que taper sur les doigts , sa fait mal | |||
17 février 2012 08h51
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 Pépé le Moko |
Est-ce la conscience citoyenne ou l'humanisme qui disparaît peu à peu de notre société ? On force les gens à "s'égocentrer" sous prétexte, et bien que ce ne soit pas réellement formulé mais plutôt démontré par l'exemple, que c'est par ce biais que l'on peut "réussir". En 74, la gauche n'avait soit-disant pas le "monopole du coeur". Il est apparu clairement que c'était devenu un argument incontournable d'une campagne réussie et depuis, chaque parti a su exploiter son "petit côté social". Mais ce ne sont que des mots. Dans les faits, chacun fait le minimum pour que ça ne se voie pas qu'ils n'en ont rien à faire. La solidarité et l'élan social sont désormais réservés aux associations. L'état à depuis longtemps démissionné. Les réels décideurs de notre société sont désormais des "personnes morales" et rares sont les grandes entreprises encore dirigées par des "personnes physiques". On déshumanise à tout va car c'est une faiblesse dont il faut vite se séparer pour "réussir" : "Ce n'est pas personnel, c'est du business". L'humanisme à tellement disparu de notre société que la moindre histoire qui en fait l'apologie est présentée comme un conte de fées. Ce n'est pas le succès d'Amélie Poulain qui dira le contraire. Regarde ce film (que je n'ai vraiment pas aimé à cause de ça) : Une jeune fille décide d'aider son prochain et ça devient fantastique, exceptionnel. Les gens s'extasient car peut-être sentent-ils au fond d'eux qu'ils ne seraient pas capables d'en faire autant. J'ai trouvé ça d'un pathétique et d'une tristesse sans nom. Malgré tout, je pense que ce sera par des initiatives citoyennes que les choses évolueront dans le bon sens. La multiplication d'élans de solidarité et de rejets du système feront (je l'espère), par la base (j'en suis sûr), changer les choses. On n'a pas vraiment le choix. Le système D devient pour beaucoup une question de survie et il ne peut fonctionner à grande échelle si tu retires l'humanisme de l'équation. | |||
| 17 février 2012 08h54
modifiée 17 février 2012 09h12
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Arsène Lupin |
Par contre, on n'a pas perdu le sens des affaires. La sécurité sociale emprunte en dollars : http://lesmoutonsenrages.fr/... Quoi que : Tout va bien, le dollar est une monnaie qui vaut moins encore que le papier toilette avec lequel on s’essuie suivant certains économistes comme Max Keiser ou Pierre Jovanovic pour ne citer qu’eux, cela n’empêche pas certains d’emprunter dans cette monnaie comme nous l’explique Philippe Herlin (Philippe Herlin est chercheur en finance, chargé de cours au CNAM. Il est l’auteur de France, la faillite ? Qu'est ce que l'on peut faire, nous à notre niveau, pour sauver notre système sociale ? Comment faites-vous pour manifester efficacement votre mécontentement ? Pensez-vous que le pouvoir nous écoute ? Croyez-vous que cela se passe comme ça de nos jours en France ? | |||
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