10 décembre 2012 12h32

Paddy et maddy
L ETAT EST MON PROXENETE

paddy et maddy sont consterner quel malheur et c est en FRANCE

Une femme d'une trentaine d'années s'est prostituée afin de financer le traitement de son fils atteint d'autisme sévère jusqu'à ce qu'elle soit menacée de mort, rapporte Europe 1 ce lundi.

Originaire de Nice (Alpes-Maritimes), cette mère de famille et son mari n'avaient pas les moyens de payer la méthode «éducative» de son fils de cinq ans, non remboursée par la Sécurité sociale et pourtant recommandée par la Haute autorité de santé, indique la radio. Ce traitement, qui a déjà obtenu des résultats probants avec son enfant, comprend sa prise en charge par trois éducatrices chaque semaine et représente un coût de 2.000 euros par mois.

«Je me suis dit en fin de compte, c'est ça la solution»

En manque d'argent, la mère de famille, qui a arrêté de travailler depuis la naissance de son fils, décide alors de se prostituer, sans que son mari ne le sache. «Je me suis dit en fin de compte, c'est ça la solution, en attendant que tout s'arrange, on n'a pas d'autre choix», a-t-elle raconté à Europe 1.

La jeune femme obtient 7.000 euros après s'être prostituée cinq fois, mais lors de son dernier rendez-vous, son client la menace de mort dans sa chambre d'hôtel.
«J'ai fait tout ça pour mon fils, ma famille et en fin de compte j'ai failli perdre la vie», déplore-t-elle, accusant l'Etat d'être son «proxénète». Alors que l'autisme a été déclaré grande cause nationale 2012, la mère de famille appelle ainsi les pouvoirs publics à l'aide, persuadée que d'autres femmes comme elles ont franchi le pas.

"L'État a été mon proxénète"

voila dans quel etat sarkozy a laissé la FRANCE

donner aux riches et le peuple de misere creve quel malheur

10 décembre 2012 12h56

Segel
Je ne sais pas quoi écrire.
Bien sur que c'est choquant.

Mais je suis également choqué par le coût de 2000 euros par mois.
Mais on sous-estime toujours ce que coûte réellement la médecine.
La société se donne-t-elle les moyens de prendre en charge de tels coûts ?
Sans tomber dans la concurrence victimaire, combien de personnes on peut faire vivre pour une telle somme ?

Et cette prise en charge, c'est à vie je suppose ?
Qui doit payer pour ça ?

Franchement, Sarkozy ou pas, ce cas soulève beaucoup de questions.
La société c'est nous tous.

Si on divisait le PIB du pays par le nombre d'habitants, il n'y aurait aucun problème pour payer ces coûts.

Mais nous vivons dans une société inégalitaire.
Ce calcul est donc exclu.

Ce type de traitement était-il remboursé avant Sarkozy ?

10 décembre 2012 13h10

Paddy et maddy
il l avait dit dans son entretien contre Segolene vous vous en rappeler Segel mais n a rien fait

L'association Autisme France dépose en 2002 une plainte contre l'État français au conseil de l'Europe, pour défaut de soin, mauvais dépistage et maltraitance des enfants atteints d'autisme.

En 2004, l'État français est condamné par le conseil de l'Europe[10] pour non-respect de ses obligations d'accès à l'éducation à l'égard des enfant atteints d'autisme. Ceci oblige l'État français à mettre en place partout en France des centre de dépistages de l'autisme. Suite à cette action est mis en place dans chaque région un « Centre Ressources Autisme » (CRA).

Le rapport émis en 2007 par le Comité consultatif national d'éthique [11] dénonce la situation dramatique de la France en matière de prise en charge des personnes autistes.

La Haute autorité de santé met à disposition en mai 2010 un guide de bonnes pratiques[12] pour les professionnels de l'autisme. Sa rédaction a été confiée à un comité dont les travaux sont conduits par Charles Aussiloux, qui dirige la Fédération Française de Psychiatrie, et Catherine Barthélémy, qui travaille depuis de nombreuses années sur l'autisme à l'unité INSERM jumelée au CHRU de Tours.

L'ancienne secrétaire d'état à la solidarité Valérie Létard a remis le 12 janvier 2012 au gouvernement un rapport[13] évaluant l'impact du plan autisme 2008-2010.

voila c est tout en 5 ans rien sarkozy a mentit il l avait dit

10 décembre 2012 13h20

Segel
C'est plus généralement la psychiatrie qui a un gros problème dans ce pays.
J'ai des proches qui sont passé en HP.
Dans ce domaine j'ai eu pafois l'impression d'être au moyen-age.

Les patients sont encore trop rares pour que les gens se sentent concernés en masse comme pour le cancer par exemple, et trop peu médiatisés pour qu'on en parle comme de la myopathie.

La psychiatrie est le parent pauvre de la médecine.
Ajoutons y une couche de libéralisme économique et ça donne de telles extrêmités.

10 décembre 2012 13h24

Paddy et maddy
bien sur vous avez pas tord mais quand méme cette mere voulait que son fils est le meilleur

nous sommes effondrés par ce cas mais combien de femmes le font simplement pour donner a manger a leurs enfants voila la FRANCEc est lamentable

hollande et son gouvernement doit reagir et vite car c est effrayant

10 décembre 2012 13h27

Segel
hollande et son gouvernement doit reagir et vite car c est effrayant

Pour ça il faut des moyens.
Pour ça il faut se donner des moyens.
Et dans un monde de libre échange ça devient quasi mission impossible.
L'argent des multinationales est difficilement saisissable pour faire du social.

10 décembre 2012 13h44

Paddy et maddy
Segel il y a de l argent oui deja paddy ne veut plus payer pour la grece la un cheque de 600 millions alors la c est sidérant

quand on veut on peut hollande doit réagir vite

et qu on arrete de soigner gratis les presidents dictateurs qui on un pete de travers et viennent en France se faire soigner ça va les degats

la securité sociale doit etre a 100% pour les maladies incurable donc l autisme

10 décembre 2012 13h46

Véro
Pauvreté : «J’arrive tout juste à manger, alors les médicaments...» – Libération

10 décembre 2012 14h03
modifiée
10 décembre 2012 14h04

Paddy et maddy
merci laura oui c est ecoeurant tient comme maddy a qui l ophtalmo a demander 1000 euros de dépassement pour l opérée de son trou maculaire le 10 janvier

maddy a reprit rendez vous a l hopital mais pour le 14 fevrier et avec un autre
et tenez vous bien hein celui qui fait payez 1000 euros et bien chef de service oui dans le meme hopital

maddy ne veut pas ceder elle ne donneras pas les 1000 euros a ce genre de medecin pas question que faire paddy inquiet

10 décembre 2012 14h15

Véro
Certains de "nos chers médecins" ont bien perdu aujourd'hui leur fameux serment...
Le fric est leur principal objectif... et quand on sait tous les avantages qu'ils obtiennent grâce aux labos (séminaires, voyages etc...) alors que tout cet argent pourrait "profiter" aux malades, on se dit que vraiment le système médical est "pourri"...

10 décembre 2012 14h17

Segel
C'est l'échec d'un système.

10 décembre 2012 14h21

Mag
Attérée mais où va-t-on, pauvre femme et son gamin.

10 décembre 2012 14h29

Véro
C'est l'échec d'un système
ça fait bien longtemps que c'est un échec... depuis que je bosse, ce genre de systèmes existent... combien de toubibs sont partis "aux frais de la princesse" en voyage avec leur "maîtresse" pour des soi-disants séminaires, aux USA principalement

10 décembre 2012 14h31

lurette
Quelle tristesse, cette histoire..

Dans ce cas, le sujet n'est pas sur la prise en charge médicale, hospitalières ou de médicaments.
les enfants autistes sont accueillis en hopital (là la prise en charge fonctionne) mais l'accompagnement n'est pas adapté, faute de moyens et de personnel : les enfants attendent souvent seuls des activites, sont reçus en même temps, etc..
C'est au contraire, la méthode non médicale, et avérée la plus efficace, qui n'est pas remboursée. Soit tout le suivi psy et éducatif.
L'autisme n'est pas une maladie incurable, mais une pathologie qui peut évoluer. Son traitement dépasse largement le domaine strictement médical, mais aussi scolaire, éducatif, social et professionnel. Et toutes les prises en charge actuelle sont bien insuffisantes.

10 décembre 2012 14h31

Paddy et maddy
que fait la touraine la ministre de la santé hein ! encore une tete a claques celle la paddy en a marre marre des ministres de la santé de droite et de gauche voila c est dit

10 décembre 2012 14h33

Segel
Son traitement dépasse largement le domaine strictement médical, mais aussi scolaire, éducatif, social et professionnel. Et toutes les prises en charge actuelle sont bien insuffisantes.

On pourrait en dire autant de pas mal de cancers, et d'autres maladies multifactorielles.
L'humain n'est pas qu'un assemblage d'organes.

10 décembre 2012 14h53
modifiée
10 décembre 2012 15h15

lurette
Sauf qu'on ne soignes pas le cancer uniquement avec du psy ! même si ça aide, et beaucoup.
Et que pour les autistes, c'est le contraire ! aucun médicament ne guérit cette maladie ! parfois seulement certains anxyolitiques sont utilisés, en cas d'agressivité notamment, pour réduire les effets.

10 décembre 2012 15h23

Paddy et maddy
paddy ne connait pas d autiste meme dans la famille on en a pas ouf mais quand on a un enfant autiste c est un grand malheur et paddy et maddy sont compatissant pour les parents qui font tout pour l enfant
GUERIR OU NE PAS GUERIR DE L'AUTISME N'EST PAS UNE QUESTION SCIENTIFIQUE.c est financier oui avec de l argent on peut amélioré l enfant et ça coute cher ( Va-t-on discuter de savoir si on guérit ou guérira de la maladie d'Alzheimer, du Sida, de la SEP, de la mucovicidose ??? )

IL FAUT D'ABORD SAVOIR DEFINIR, PUIS SAVOIR DIAGNOSTIQUER ET ENFIN METTRE EN ROUTE UN PROTOCOLE DE SUIVI MEDICAL ET EDUCATIF...
personnel et pas les parqué dans une piece au milieux d autres autiste il y auras aucun progret pour l enfant d ou une prise en charge personnel de l enfant par la ss c est ça que le gouvernement doit faire
MEDICAL PARCE QUE LE SYNDROME AUTISTIQUE EST RECONNU COMME UNE A.L.D ( affection longue durée ) DE FACON INCONTESTABLE ET EDUCATIF PARCE QUE SANS SUIVI PEDAGOGIQUE ADAPTE, PAS DE SOCIALISATION POSSIBLE

10 décembre 2012 19h01

lurette
C'est bien pour cela que c'est pas simple et si cher : l'autisme nécessite pour un véritable progrès de l’enfant un suivi constant et surtout individuel ; par essence, l'autisme se traduit par la non-communication, surtout avec le groupe. dans le contexte de ce dernier, l'autiste se renferme encore davantage voire régresse par source d'angoisse ; le travail avec lui ne peut etre évolutif et concluant que dans un rapport de personne à personne, individuellement.
Pour l'instant, dans le cadre hospitalier ou social (ceux pris en charge) les enfants sont en groupe et les apartés personnels sont rares et trop brefs.
C'est pourtant le seul moyen pour que ces enfants puissent un jour acquerir une socialisation et une autonomie. De plus, outre le mieux-être évident qu'ils en retireront, ils reviendront moins cher que placés en institut toute leur vie. Beaucoup de gens et d'assos se battent pour cela.

11 décembre 2012 01h14
modifiée
11 décembre 2012 01h17

Tinou70
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11 décembre 2012 10h42
modifiée
11 décembre 2012 14h31

Segel
C'est de ça que je parlais Tinou.

11 décembre 2012 14h31

Segel
Un diurétique pour lutter contre l'autisme

Au début de la vidéo, l'enfant de 4-5 ans déambule dans la pièce et geint, indifférent, semble-t-il, aux sollicitations de la psychologue. Dans la deuxième partie, il est assis à côté de la praticienne et participe à un jeu. Entre les deux séquences, ce petit garçon autiste a reçu un traitement par un diurétique, le bumetanide. Cette séquence a été projetée, mardi 11 décembre, lors d'une conférence de presse au siège de l'Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale), à Paris, par Yehezkel Ben-Ari, fondateur et directeur honoraire Inserm de l'Institut de neurobiologie de la méditerranée, et Eric Lemonnier, clinicien spécialiste de l'autisme (CHU de Brest).
Ces deux spécialistes sont venus présenter et expliquer les résultats très encourageants obtenus par cette approche médicamenteuse. Leur essai, qui a inclus au total 60 enfants autistes, âgés de 3 à 11 ans, est publié dans la revue Translational Psychiatry. Parmi ces petits patients, atteints de diverses formes d'autismes, y compris de haut niveau (syndrome d'Asperger), la moitié a été traité par le diurétique (1 mg/jour) pendant trois mois, les autres recevant un placebo.
UNE AMÉLIORATION POUR LES TROIS QUARTS DES ENFANTS TRAITÉS
La sévérité des troubles autistiques a été évaluée par des échelles comportementales au début du traitement, à la fin des trois mois, et un mois après l'arrêt. Au total, plus des trois quart des patients réellement traités ont eu une amélioration significative des symptômes cliniques. Six enfants, traités par le diurétique ou le placebo, sont sortis de l'étude pour des raisons diverses, dont un en raison d'une kypokaliémie une baisse du taux sanguin de potassium qui est classique avec ce type de diurétique.
Commercialisé et utilisé depuis des décennies, notamment pour traiter les hypertensions artérielles, le bumetanide diminue le taux de chlore dans les cellules. Or, souligne le professeur Ben Ari, des études expérimentales (...)
Lire la suite sur lemonde.fr
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15 décembre 2012 18h17

Tinou70
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