21 février 2012 16h46
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Lalo Skywalker |
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21 février 2012 16h55
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Segel |
La bureaucratie française dans toute sa splendeur. Alors tu comptes faire quoi ? | |||
21 février 2012 17h11
modifiée 21 février 2012 17h22 |
jamydefix |
Folle dingo. Ce Mr Glandu fonctionnnnaire te conseille donc d'être en infraction... Mais c'est qu'il faudrait les enregistrer en douce ces crapules. Histoire de leur apprendre à chanter tous ensemble avec des pétards dans le culte. Ça n'a pas changé en France, faut toujours gueuler et faire des scandales pour qu'ils se bougent le cul et facent leur boulot... J'avais trouvé un truc pas mal: je téléphonais au sinistaire, qu'ils me disent ou m'adresser, sans oublier de noter l'h, la date et le nom du Foooonctionnaire et me pointais avec ces coordonnés à l'administration en question, en précisent bien que c'est ce HHaut Fonctionnaire Mr Duc On, qui m'envoie Le voir personnellement, pour qu'il face Son boulot... Généralement ça les faisait bouger beaucoup plus vite, vue que ça venait d'en Haut et qu'il y risquait leurs avancement dans leur hiérarchie sur le peuple. | |||
21 février 2012 17h53
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Segel |
Dans une vie professionnelle antérieure j'ai eu à gérer des négociations avec les impôts pour ma boite, concernant un étalement de paiement de taxe professionnelle. J'ai eu affaire à un fonctionnaire qui n'a absolument rien lâché, même quand je lui ai fait entrevoir la perspective qu'on puisse fermer la boutique ou quitter le pays ... Bien entendu, j'avais un client à l'époque qui était un patron du CAC40 qui nous racontait comment se passaient de telles négociations à son échelle, directement avec Bercy d'ailleurs. Par la suite, un collègue m'a dit que dans l'administration il existe 3 sortes de fonctionnaires. L'agent de base … est là pour appliquer la loi. Le cadre administratif … est là pour interpréter la loi. Le directeur de département … est là pour vous expliquer comment contourner la loi. A peine caricatural ! | |||
21 février 2012 18h00
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Jean-Pierre ♫ |
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21 février 2012 18h08
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Lili ... |
Bein vous n'avez pas de chance dans vos rencontres ... c'est grâce à un agent de base que la CAF a bien voulu effacer une dette que nous avions contracté suite au versement d'APL versés par erreur à cause d'une situation professionnelle instable. Bon, si les calculs n'étaient pas opaques, on pourrait vérifier nos droits et être prévoyants, mais vu que même les agents ne sont pas en mesure de t'expliquer les calculs effectués, j'ai pas eu de scrupules à demander l'annulation de ma dette. | |||
21 février 2012 18h15
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Lalo Skywalker |
Une des citations de Coluche que je préfère concernant les fonctionnaires : "Dites-nous de quoi vous avez besoin et nous vous expliquerons comment vous en passer"..... Ce que je compte faire ? Ben.... comme je ne suis pas malhonnête, je vais déclarer à la fin du mois que j'ai travaillé tout le mois de février et que je ne suis plus à la recherche d'un emploi..... Et j'espère que cela suffira à la médiatrice de mon ex-banque (car j'en ai changé) pour débloquer ce putain de PERP et que je puisse récupérer MES 2000 euros.... L'espoir fait vivre.... ça... et les rêves.... | |||
21 février 2012 18h43
modifiée 21 février 2012 21h05 |
Arsène Lupin |
Le problème est la personne que l'on rencontre derrière le guichet car les administrations centrales connaissent très bien notre situation. S'ils ont un doute, ils nous envoient un formulaire à remplir et ils recoupent les informations. C'est comme la gendarmerie, ça marche quand même assez bien en France. C'est exactement pareil chez un notaire pour les dossiers qui sont plus ou moins long à nous parvenir. Cela dépend sur qui on tombe. Néanmoins, toutes les institutions publiques et privées nous poussent à ce qu'on n'ait plus directement besoin d'eux, mais que l'on passe par internet pour communiquer et échanger des papiers. | |||
21 février 2012 19h05
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R.WOLF |
c' est pour ce genre de raisons que j' ai toujours un petit comprimé bleu pas loin. mais actuellement j' ai décidé de faire travailler mes esclaves pour moi (assistants sociaux in french in the text) ; qu' ils se démerdent, suis malade. |