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| 1er décembre 2012 16h51
modifiée 1er décembre 2012 16h54
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 R.WOLF |
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1er décembre 2012 17h32
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 Segel |
C'est important de se cultiver sur l'histoire des luttes sociales. Merci. | |||
1er décembre 2012 17h58
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 sourire  |
Oui l'histoire des luttes sociales est vraiment intéressante car sans ces luttes nous n'aurions pas tous nos acquis mais les grêves générales à répétition du 21ème siècle, je n'aime pas du tout. | |||
1er décembre 2012 18h21
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R.WOLF |
Chez nous, ça fait plus d' un an que les syndicats n' ont pas donné de consignes de grève ; par contre l' ultra-libéralisme se porte très bien ici. On sait ce que ça vaut! | |||
1er décembre 2012 21h52
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Segel |
Je crois de moins en moins au grand soir, mais aux conquêtes pas à pas d'avantages sociaux. Mais que valent les luttes des travailleurs à l'heure où beaucoup n'ont plus de travail ? | |||
| 2 décembre 2012 11h25
modifiée 2 décembre 2012 11h45
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R.WOLF |
Nous sommes au XXI ème, ce qu' on appelait travailleurs hier pourrait fort bien s' appeler chômeurs demain (ou peut bien s' appeler chômeurs aujourd' hui). Et Troïka pour tous évidemment. Donc soit les gens sont sous le choc de la stratégie du même nom, soit complètement passifs (ils s' en foutent de ce qui leur arrive, arrivent encore à se débrouiller, sont fatalistes, ne croient pas à un changement possible, et), soit impuissants). Il y a deux sortes de gens que je méprise ; les soi-disant élites (et tous ceux qui leur sont satellites), les soi-disant travailleurs et chômeurs qui plutôt que l' action politique préfèrent se faire entuber jusqu' à la .... Je m' en désintéresse et qu' ils se débrouillent ; suis pas témoins de Jéhovah moi. Et ça n' empêchera jamais de me cultiver. Basta! Vivement les vacances!  | |||
2 décembre 2012 12h01
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 gonzo  |
Vivement les vacances! | |||
2 décembre 2012 12h13
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 lurette |
Intéressante, la video des grèves générales. celle de la dette est pas mal, elle a l'avantage de presenter les bases clarement. En France, il n'y a pas comme vraie grève générale depuis, celle de 1995, avec le plan Juppé des retraites à part celles contre le CPE . (39 universités en grève) résultat : retrait des projets de loi dans les deux cas. En 2010, contre les retraites, il y avait eu beaucoup de manifestants, mais pas spécialement de grèves générales. | |||
2 décembre 2012 12h39
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 Paddy et maddy  |
a les greves paddy en a fait des bonnes et des moins bonne mais celle que son pere racontait avec dans ses yeux des etoiles sociale ah ah paddy aurait voulut les vivre voila un lien lisez le les jeunes et moins jeunes ça vaut le coup car cette greve de nos anciens etait la route de la vrais sociale comme on l appelait a cette epoque Les grèves de mai-juin 1936 - Histoire analysée en images et œuvres d’art | https://histoire-image.org/ | |||
2 décembre 2012 12h49
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gonzo |
c'est aussi qu'aujourd'hui les gens ont bien le sentiments que ce n'est pas la politique qui fait la société. y'a un sentiment d'impuissance que meme des grèves n'y feront rien. le problème étant ailleurs  | |||
2 décembre 2012 13h00
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R.WOLF |
a les greves paddy en a fait des bonnes et des moins bonne mais celle que son père racontait avec dans ses yeux des étoiles sociale ah ah paddy aurait voulut les vivre Renoncer à ses rêves est ce à quoi nous avons étés conviés, en échange d' un peu de marchandises. Ça me fait penser aux Indiens qui cédèrent l' île de Manhattan contre quelques verroteries. @ Gonzo ; ailleurs, c' est bien quelque part ça, non? Et si quelque part, c' est où? Ce que soumets la vidéo, c' est entre autres un audit de la dette ; il y a des décisions qui ont été prises un jour, par des gens. Logiquement la réponse est quand et par qui. Mais ça n' a pas l' air d' intéresser personne. Bizarre, vraiment bizarre. @ Lurette ; pension à 65 ans, vu que comme c' est parti, beaucoup de gens n' arriveront pas à cet âge ou dans un drôle d' état, néanmoins ils auront cotisé toute leur vie, et enrichi le capital par leur travail ; j' appelle ça du vol. | |||
2 décembre 2012 13h02
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R.WOLF |
Les grèves de mai-juin 1936 D’une ampleur sans précédent, cette explosion sociale spontanée est le fruit de la conjugaison de plusieurs facteurs: à l’enthousiasme suscité par la victoire électorale des socialistes s’ajoutent en effet la méfiance populaire vis-à-vis de la classe politique, née des frustrations qui suivirent les victoires de la gauche en 1924 et en 1932, et les aspirations révolutionnaires qui animaient une partie de la classe ouvrière. Mobilisant deux millions d’ouvriers, ces grèves revêtent un caractère nouveau, comme le montrent bien diverses photographies de l’époque : d’une part, elles se traduisent par l’occupation des lieux de travail par les ouvriers, destinée à immobiliser les machines et à empêcher le patronat d’employer un personnel de remplacement ; d’autre part, les ouvriers adoptent volontairement un comportement pacifiste exemplaire, évitant tout incident violent ou toute destruction de matériel. Contrairement aux conflits sociaux des années 1920, ces “grèves de la joie” ne furent pas suivies d’une répression brutale. C'est précisément une atmosphère de camaraderie qui émane de cette image de grévistes jouant aux cartes au son de l'accordéon, dans la cour d'une usine occupée en région parisienne au mois de juin. Formant un cercle autour des joueurs de cartes et de l’accordéoniste, les ouvriers, le sourire aux lèvres, expriment ainsi dans cette photographie leur joie devant la victoire des socialistes aux élections de mai. Débordant le secteur de la métallurgie, ces grèves atteignirent d’autres branches de l’industrie et, même, du commerce : pour la première fois, les employés des grands magasins parisiens suivirent le mouvement, notamment aux Galeries Lafayette, qu’un cliché pris en mai 1936 montre occupées par les salariés, rassemblés à cette occasion autour de l’escalier d’honneur pour écouter le discours de Léon Jouhaux, secrétaire général de la C.G.T. (1909-1947). Suspendue au-dessus de la tribune de l’orateur, une banderole porte l’inscription suivante « Restons unis, nous vaincrons ». Figure essentielle de 1936, Léon Jouhaux, rejetant la tradition syndicaliste révolutionnaire, s’efforça de canaliser cette explosion sociale spontanée et négocia avec le gouvernement une solution à la crise. | |||
2 décembre 2012 13h08
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gonzo |
@ Gonzo ; ailleurs, c' est bien quelque part ça, non? Et si quelque part, c' est où? Ce que soumets la vidéo, c' est entre autres un audit de la dette ; il y a des décisions qui ont été prises un jour, par des gens. Logiquement la réponse est quand et par qui. Mais ça n' a pas l' air d' intéresser personne. Bizarre, vraiment bizarre. ailleurs c'est d'autres choix, d'autres besoins. c'est loin , c'est pas définissable dans nos esprit à part à la télé qui n'est pas du ici  il faut une convergence pour de quelque chose ...une étincelle commune | |||
2 décembre 2012 13h45
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R.WOLF |
Comme dans l' ex-URSS (voir H Arendt sur les totalitarismes), ils ont tout fait pour atomiser les populations, on appelle ça aujourd' hui individualisme (ou chacun pour soi). D' où le pari que le système n' explosera pas mais s' effondrera sur lui-même, à force de bidouillages c' est à quoi ils vont arriver. Un peu de patience (ou d' impatience suivant qui on est). | |||
2 décembre 2012 14h20
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Segel |
Les pires collabo ce sont les vieux travailleurs qui arrivant près de la retraite disent aux jeunes "bosse et tais toi" ! | |||
2 décembre 2012 14h56
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gonzo |
oui, j'opte aussi plutot pour une implosion, le systeme est trop gros | |||
2 décembre 2012 18h01
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R.WOLF |
Les pires collabo ce sont les vieux travailleurs qui arrivant près de la retraite disent aux jeunes "bosse et tais toi" ! Ils avaient vingt ans en 68 ceux là si je ne m' abuse ; les mêmes vieux rossignols qu' on voit toujours sur les plateaux tv. Décidément, il n' y a pas que la Tunisie qui a besoin d' une révolution. | |||
2 décembre 2012 20h29
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Segel |
Ils ont existé à toutes les époques ces vieux cons. Et je pèse mes mots.  Vidéo YouTube | |||
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