28 octobre 2010 22h37
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abra |
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29 octobre 2010 09h50
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gonzo |
il à p'tete pas envie de se faire affubler du surnom de gland. naturel ou pas | |||
29 octobre 2010 11h08
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Hélène |
"Phallus de chien" ou "phallus puant" tout un poême pour ce drôle de champignon!!!! (non comestible!!!) Salut les mycologues!!!! | |||
29 octobre 2010 12h20
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abra |
Salut Hélène mouaff, il a une drôle de...tête | |||
29 octobre 2010 12h21
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gonzo |
euuu qui ça ? | |||
30 octobre 2010 10h39
modifiée 30 octobre 2010 14h12 |
Segel |
J'ai pas eu le temps de regarder ton lien, mais j'y reviens. Je suis en train de regarder ce documentaire très étonnant. 150 yuans le champignon, ça fait 15 euros pièce ... tu m'étonnes que c'est la ruée vers l'or ! Un documentaire intéressant en effet. Je pense que les labos ont tort de vouloir isoler une molécule active dans un médicament naturel composé d'un champignon qui parasite une chenille. Croire que les bénéfices pour la santé seraient résumés dans une seule molécule est un défaut typique de la science au service du profit. Encore une parfaite illustration de gens qui n'ont pas assimilé le concept de pensée complexe qu'a développé Edgar Morin. Merci pour ce moment de voyage au Tibet Abracadabra ! | |||
30 octobre 2010 14h34
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abra |
Un américain aurait mis au point la culture de ce champignon en laboratoire en milieu stérile. Il est en train de se faire un pont d'or, mais après analyses, les molécules présentes et actives du champignon cueilli au Tibet ne se retrouvent qu'en quantité infinitésimale dans sa poudre. Encore une belle arnaque | |||
30 octobre 2010 14h43
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Segel |
Toujours la même logique consistant à vouloir faire un max de profit avec la nature en l'assimilant à un tube à essai de laboratoire, ou vice-versa (dans le cas des Clones Pesticides Brevetés). | |||
30 octobre 2010 16h07
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abra |
Un profit basé sur la crédulité : il affirme que dans un futur proche, sa substance pourra guérir les cancers et le sida. C'est criminel | |||
30 octobre 2010 16h15
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Segel |
Mouais ... si ça se trouve il y croit lui-même. |