28 octobre 2011 13h53
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Djabali |
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28 octobre 2011 13h54
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Djabali |
les passages qui sont en italique sont les remarques que je fais lorsque j'écris mes rêves justes après mon réveil, les associations d'idées, les remarques, les explications. | |||
28 octobre 2011 14h03
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Hélène |
Première lecture.... Bein dis donc....t'as une sacrée imagination dans tes rêves. C'est long et je dois le relire plusieurs fois pour tout comprendre!!!! Moi, pas trop de rêves, c'est le problème de la fumette.... | |||
28 octobre 2011 14h10
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Djabali |
en fait ce sont des rêves communs, je suis capable de bien pire ... soit des rêves totalement délirants (j'ai été une blatte de l'espace par exemple), soit des puits d'angoisse sinon, on rêves tous, ce qui est affecté c'est surtout la capacité à s'en souvenir. Pas de miracle, ça s'exerce : j'ai commencé très tôt, en posant systématiquement une feuille et un stylo à côté du lit... | |||
28 octobre 2011 14h14
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maurice |
bonjour Djab c'aurait étè des rêves sur les mystères de l'occulte et de l'étrange j'aurais pu te répondre oui! c'est ma spécialité même j'aurais pu t'aider dans l'interprétation mais là j'avoue tes rêves sont absolument normaux et communs et j'éprouve de la difficulté à te rèpondre ma biche | |||
28 octobre 2011 14h17
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Hélène |
Je me souviens très nettement d'anciens rêves, c'est par périodes en fait, dépend de ce que tu vis. Ces derniers temps, le peu de rêves que j'ai fait dernièrement étaient assez mystiques et positifs, indéfinissables en fait. A la montagne (au dessus de 1000m), les rêves sont souvent différents, j'ai déjà remarqué ça dans l'Himalaya, ça doit être la pression. | |||
28 octobre 2011 14h17
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Djabali |
tous les rêves sont normaux ... cher Maurice ... et je n'attends aucune réponse, je fais juste un cadeau ... | |||
28 octobre 2011 14h18
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Hélène |
C'est cool, ça fait voyager dans ta tête! Chouette délire cette tour! | |||
28 octobre 2011 14h19
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Djabali |
exactement ... j'adore le monde de mes rêves, j'y vis pleinement... | |||
28 octobre 2011 14h23
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Hélène |
Des fois, j'arrive à maitriser des situations, hop, je file sur un autre "plan", c'est marrant. | |||
28 octobre 2011 14h26
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Djabali |
idem ... pour maîtriser les gros moments d'angoisse j'ai développé au cours de mon adolescence des super-pouvoirs Emoticone manga Manga Emoticon Smiley | |||
28 octobre 2011 14h35
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Hélène |
Excellent!! Moi, j'ai tendance à faire du deltaplane! ça me permet d'aller super vite....youpi! | |||
28 octobre 2011 16h50
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Papy-Baby-seaters |
super Djabali, j'ai aimé, étranges histoires, je ne me souviens rarement de mes rêves. Par contre je me souviens d'un personnage, un grand oiseau noir géant qui cachait le ciel. par étrange je ne le vois plus, mais une autre personne m'a avoué hier qu'elle rêvait avec lui, parfois il est blanc comme un grand albatros. Elle est inquiéte et m'a demandé si je savais la signification. je lui ai dit que non, mais que j'avais déjá rêvé avec le noir, mais que maintenant il ne venait plus. C'est elle qui le voit, cette personne est de ma famille. Étrange ? pARCE QUE JE LUI AVAIS DEMANDÉ POURQUOI ELLE AVAIT CHOISI son pseudo sur msn «anjo negro» et elle m'a raconté cette histoire des oiseaux noir et blanc. Je crois que le noir n'est pas dangeureux, ou mauvais présage, par contre le «Blanc» peut l'être. Qui me dira? | |||
28 octobre 2011 20h19
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R.WOLF |
si tu aimes analyser tes rêves, je te conseillerais ce bouquin http://www.amazon.fr/Diction... j' avais un contact sur QR qui faisait ça très bien mais je ne le vois jamais, il existe des gens qui maîtrisent cet art soit par tradition, soit naturellement, et c' est surprenant que les entendre. | |||
28 octobre 2011 22h17
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maurice |
il m'arrive de faire dans la dérision parfois en agacant certains ici mais bon scusi a tous Djab ton 3° rêve m'a interpellé au point que toute mon aprés-midi fut tourmenté ce 3° rêve j'ai analysé détails par détails en ne laissant rien au hasard :le grand poteau qui soutient un objet renversé symbole phallique,les macarons dans les boites la cérémonie etc....... au fur à mesure j'avais l'impression que quelque chose d'irrationelle d'étrange dans ta personalité apporterait un éclairage sur ton coté obscur enfin maintenant je peux te le dire OUf!!! tu es tout a fait normal un peu dérangé mais par rapport à d'autres cigales ça peut aller Vidéo YouTube | |||
28 octobre 2011 22h23
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jamydefix |
Oui super d'écrire ses rêves. J'ai aussi fait cela durant des périodes. En Ardèche ou je fût berger pendant 3,4 mois, il m'arrivait parfois de me rappeler jusqu'à 5 rêves au petit matin. Peut être cela venait du lieu, de l'altitude et aussi beaucoup de ne plus avoir d'images et son artificiel,"genre radio, télé, ordi" et le même rythme de sommeil que mes moutons. C'est un sujet qui m'intérrès beaucoup aussi, tout comme celui des voyages astraux. | |||
29 octobre 2011 03h32
modifiée 29 octobre 2011 03h33 |
Djabali |
Pour le poteau, tout ce qui est érigé n'est pas forcément phallique (et dire que c'est phallique ne fait rien avancer) ... cette image est associée au Conte des 2 frères, l'un d'entre eux, après s'être émasculé (forme inversée d'Osiris qui a été émasculé par Seth), va dans la vallée du pin, pose son coeur sur la fleur au sommet de l'arbre ce qui lui permet de vivre régénéré par les forces de la nature. Le seul moyen de le tuer c'est de couper cette fleur et c'est la femme que lui ont donné les dieux qui va le trahir. Ce conte tourne autour d'images féminines fortement négatives (y sont liées les notions de mensonge et de sang répandu)... voilà la clef de l'image. | |||
29 octobre 2011 09h08
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Segel |
A ceux qui affirment ne pas se souvenir de leurs rêves je voudrais juste dire que c'est un entrainement qui permet de s'en souvenir. Le papier et le crayon près du lit c'est indispensable pour faire cet entrainement. Apparemment le fait d'écrire "fige" les souvenirs. Si on le fait une heure après c'est trop tard. Essayez, c'est marrant à faire. Sinon pour ce qui est de l'interprétation des rêves, il y'a l'approche ésotérique, mais il existe également une approche plus "scientifique", qui est celle de Carl Gustav Jung : http://fr.wikipedia.org/wiki... Disciple de Freud jusqu'en 1913, il s'est ensuite éloigné des idées de Freud, pour développer sa propre approche, celle de l'inconscient collectif, et surtout des archétypes. A ceux qui voudraient s'initier à Jung, je conseillerais : La dialectique du Moi et de l'Inconscient, ouvrage très abordable et très général sur sa théorie. Il a fondé une école de psychanalyse, encore pratiquée aujourd'hui. | |||
29 octobre 2011 09h09
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Segel |
Carl Gustav Jung (prononcé [ˈkarl ˈɡʊstaf ˈjʊŋ] écouter) est un médecin, psychiatre, psychologue et essayiste suisse né le 26 juillet 1875 à Kesswil, canton de Thurgovie, mort le 6 juin 1961 à Küsnacht, canton de Zurich, en Suisse alémanique. Penseur influent, il est l'auteur de nombreux ouvrages de psychologie et de psychosociologie en langue allemande traduits en de nombreuses autres langues. Il est le fondateur du courant de la psychologie analytique. Son œuvre a été d'abord liée à la psychanalyse, de Sigmund Freud, dont il fut l’un des premiers collaborateurs, et dont il se sépara par la suite pour des motifs personnels, et en raison de divergences théoriques. Carl Gustav Jung a été un pionnier de la psychologie des profondeurs en soulignant le lien existant entre la structure de la psyché (c'est-à-dire l'« âme », dans le vocabulaire jungien) et ses productions et manifestations culturelles. Il a introduit dans sa méthode des notions de sciences humaines puisées dans des champs de connaissance aussi divers que l'anthropologie, l'alchimie, l'étude des rêves, la mythologie et la religion, ce qui lui a permis d'appréhender la « réalité de l'âme ». Si Jung n'a pas été le premier à étudier les rêves, ses contributions dans ce domaine ont été déterminantes. Auteur prolifique, il mêle réflexions métapsychologiques et pratiques à propos de la cure analytique. Jung a consacré sa vie à la pratique clinique ainsi qu'à l'élaboration des théories psychologiques, mais a aussi exploré d'autres domaines des humanités : depuis l'étude comparative des religions, la philosophie et la sociologie jusqu'à la critique de l'art et de la littérature. On lui doit les concepts d'« archétype », d'« inconscient collectif » et de « synchronicité ». Père fondateur d'une psychologie des cultures, il a rassemblé autour de ses travaux des générations de thérapeutes, d'analystes et d'artistes. En dépit de la polémique concernant ses relations avec le régime nazi1 (son rôle d'agent secret des Alliés est longtemps resté méconnu), Jung a profondément marqué les sciences humaines au XXe siècle. | |||
29 octobre 2011 09h10
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Hélène |
Oui, Jung est plus intéressant que Freud je trouve. J'ai un bouquin sur l'interprétation des rêves qui fait surtout référence à Jung. L'inconscient collectif, les symboles universels etc... | |||
29 octobre 2011 13h38
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Djabali |
mon analyste est lacanien ... | |||
29 octobre 2011 21h45
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maurice |
Djab Je te remercie sinçèrement Oui tes rêves ont étè un tres bon support pour notre discussion Tu as bien compris que les rêves ne servent à rien Si ce n’est comme dans les moteurs de voiture de bonnes Soupapes d’échappement et ouais Djab grâce à eux on exprime nos refoulements nos émotions nos idées que l'on n'a pas pu exprimer dans notre conscient Quant à moi j’ai pris un réel plaisir Beaumarchais dans le barbier de séville disait ; Je me presse de rire de tout de peur d’être obligé d’en pleurer | |||
30 octobre 2011 00h36
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Djabali |
j'adore les rêves ... c'est un monde où je suis plus libre, moins contraint puisque ce qui me contraint vient aussi de moi ; j'ai donc les outils pour m'en libérer. Ils m'ont souvent aidé à me comprendre, ils m'ont aussi amusé, effrayé, ils m'ont fait vivre des expériences que je ne pourrais pas vivre dans le monde éveillé. | |||
30 octobre 2011 12h21
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Djabali |
La nouvelle du jour, avec un réveil extrêmement désagréable : Je suis dans un jardin. Ce n’est pas le mien. Il y a dans ce jardin des plantes qui m’intéressent pour le mien. Je remarque en particulier les jolis soucis orangés qui, à cause de l’ombre des arbres, poussent extrêmement haut, jusque dans les branches. Même si nous sommes encore à la saison de la floraison, j’essaie de voir s’il n’y a pas quelques têtes dont les graines sont bien sèches et bien noires. En cherchant bien, j’en trouve effectivement quelques-unes. Un ami, un homme, voulant me faire plaisir, me tend un ou deux autres têtes. Je lui montre qu’elles ne sont pas encore totalement sèches en en prenant une pour l’effriter. Les graines noircies sur le dessus mais en dessous sont encore vertes et charnues. Quelque temps plus tard, alors que je veux achever mon travail, récolter ce qui m’intéresse pour mon jardin, je me rends compte que la clôture, la haie et des plantes qui étaient dessus ont été quasiment détruites ! Même la clôture a été défaite pour être reposée ensuite sur des poteaux métalliques plus petits. Je n’arrive plus à retrouver les plantes que j’avais vues. Je ressens de la colère et surtout une effroyable tristesse, j’en pleure très fort. À l’intérieur, le jardin a lui aussi été labouré (par mon père ?). Je m’avance précipitamment à l’endroit où se trouvait quelque chose qui m’intéressait, entre deux rangs de jeunes poireaux. Mes pieds s’enfoncent généreusement dans la terre fraîchement retournée. J’arrive au bout de la rangée, il ne subsiste plus rien de ce qui j’y avais vu, tout le terrain a été bêché. Je m’effondre, je pleure à chaudes larmes. Un moment, je me dis que mon père pourrait ne pas être content de me voir ainsi marcher au milieu de ses cultures, et puis je m’en fous. Un homme, un ami, viens me réconforter, je monte dans une sorte de cabane qui se trouve au-dessus de la clôture, entre les branches d’un arbre. J’ai l’impression d’être brisé par le chagrin. Je vais aux toilettes. Derrière la cuvette, il y a un tas de slips, ce sont ceux de mes amis (hier soir, XXXXXXXXXXX a fait référence au sien lorsqu’il l’a enlevé, il le portait depuis plusieurs jours apparemment ; je lui dis que ce n’était pas grave. Quand il se rhabille, après, il m’a demandé un de mes slips. Je lui en ai donné un, trop petit pour lui. Il a voulu remettre le sien, je lui en ai trouvé un autre, plus grand). De les voir commence à m’exciter. Puis, lorsque j’ai fini de pisser et que je tire la chasse d’eau, je me rends compte que les slips sont dans la cuvette ! Qu’est-ce que j’ai fait ! Je panique. Je me rends compte que je suis gravement atteint, je perds la tête ! Je plonge la main dans la cuvette, je retire les slips qui restent, je les jette à côté. Évidemment, il en manque. Je me dis que je ne vais pas bien. Je retire mon slip, je le jette, je regarde pour me rendre compte que je l’ai jeté, lui aussi, dans la cuvette ! Je suis totalement incohérent ! Je m’effondre à nouveau, convaincu que mon cerveau est gravement touché et que c’est irrémédiable. Je tire encore une fois la chasse, l’eau a beaucoup de mal à s’évacuer, normal, la tuyauterie est bouchée par les quelques slips qui sont passés. Dans l’état où je suis, j’ai décidé d’aller rendre visite à [LE grand A de ma vie] puisque je ne suis pas loin de Gaza. Mon ami ici me le déconseille. Pour m’en dissuader, il me dit qu’en plus de sa femme, il a pris une maîtresse, qu’elle est en ce moment retournée en Afrique. Je suis sûr de moi. Je sais qu’il a pris une maîtresse parce qu’il en a besoin, aucun problème, je n’étais pas là. Il suffit juste que je revienne (Cela ressemble presque à une visite d’adieu). La tension y est plus forte, l'ambiance moins joviale... | |||
31 octobre 2011 22h22
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maurice |
c'est un vrai régal de lecture ça me fait penser un peu à trouby le souci du détail de la précision c'est pittoresque une véritable scène de film et tous ces rêves en couleur génial bravo | |||
1er novembre 2011 00h57
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Djabali |
je pourrais en mettre de temps en temps, en ce moment je m'en rappelle presque tous les jours. Je les note bien consciencieusement sur mon PC. Un jour, pas trop lointain je pense, j'en ferai quelque chose, comme un livre... | |||
1er novembre 2011 15h36
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Hélène |
Tu imagines une machine qui te permettrait de les enregistrer sur vidéo? Un vrai tableau psychédélique.... | |||
1er novembre 2011 16h52
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Djabali |
ce serait fantastique en effet | |||
1er novembre 2011 23h56
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Papy-Baby-seaters |
Djab a raison ça serai gire! RED, merci du conseil mais je crains que ce bouquin n'existe pas dans mon monde.La littérature française disparait au profit de l'anglaise, parfois l'été sur les plages on trouve quelques journeaux en français , mais trés rare suivant les régions. | |||
5 novembre 2011 12h05
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Djabali |
quelques rêves qui ont échappé au naufrage de mon pc ... | |||
5 novembre 2011 12h07
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Hélène |
Ah, zut..... tu ne les écris pas à la main, dans un carnet? Perso, ce que j'écris, c'est toujours sur un cahier, c'est moins "fragile" qu'un ordi. (j'ai conservé des écrits de mes 15 ans de cette façon, ils sont toujours là) | |||
5 novembre 2011 13h02
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Segel |
T'avais un ordi à 15 ans Hélène ? Moi oui. Et j'ai un copain qui les notait déjà sur son ordi. Il a même fait du "automatic writing" dessus, en mode somnambule. | |||
5 novembre 2011 15h45
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Hélène |
Moi non, mais mon père faisait la compta sur un ordi; Il avait appris le basic pour créer ses programmes. à l'époque, je me souviens avoir tapé un jeu qui s'appelait "Mimile le mineur" et qui n'a jamais marché... Tout en // If.....et blablabla... | |||
5 novembre 2011 15h46
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Segel |
10 PRINT "Bonjour" 20 GOTO 10 | |||
5 novembre 2011 15h48
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Hélène |
c'est vrai qu'après, je me suis souvent servi d'ordinateur, dans le travail, en voyage avec le net, et ainsi de suite; C'est comme le minitel en plus coloré maintenant. | |||
5 novembre 2011 15h50
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Segel |
T'avais eu Mimile dans Hebdogiciel ? http://www.hebdogiciel.fr/ | |||
5 novembre 2011 16h37
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Hélène |
Ah, oui, c'était ça!!! | |||
6 novembre 2011 14h06
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Djabali |
depuis que j'ai eu un pc (10 ans après vous) je ne les ai plus notés dans mon cahier, non. D'ailleurs parfois mon écriture est à peine lisible... | |||
8 novembre 2011 12h35
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Djabali |
Nous sommes dans la cour de la maison où j'ai grandi. Mon père est en train d’essayer de faire du feu dans un trou carré dans le sol, un trou de ciment. Soudain, une jeune vache semble prise de folie. Elle commence à charger, comme au ralenti, ma mère, qui arrive à l’esquiver. Elle revient à la charge. Ensuite, elle se dirige vers moi. D’instinct, je la laisse un foncer dans ma direction puis, au dernier moment, je me déplace légèrement pour qu’elle me frôle (je viens de penser que ma mère, une fois dans sa vie, est descendue pour courir devant les taureaux ou devant les vaches dans la rue). J’y suis arrivé ! Cela se répète une ou deux fois, j’arrive à la laisser foncer dans ma direction pour l’esquiver au dernier moment. La vache effectue des mouvements entre les deux entrées de la cour, l’entrée qui mène au jardin, l’autre qui vient du petit couloir entre la maison et celle des voisins (mais que je vois plus au milieu du terrain que dans la réalité – la cour fonctionne comme une sorte d’espace sacré, je pense à la fête Sed de l’Égypte ancienne), personne ne dépasse ces limites. En attendant, je vois mon père se saisir de braises qui sont sorties du foyer. La vache retrouve son calme. En fait, ce sont les braises sorties du foyer qui sont la cause de sa panique ! | |||
10 novembre 2011 12h56
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Djabali |
une petite sensation intéressante cette nuit : Je suis sur une étendue d’eau, c’est une voie de circulation. Plusieurs personnes sont avec moi. Nous devons bloquer la progression d’un sous-marin ennemi. Pour avancer plus vite que les gens normaux, il nous suffit de tendre au bout de notre bras, vers l’avant une sorte de tout petit ventilateur (moins de 5 cm de diamètre). De cette manière, nous glissons sur l’eau assez rapidement. Il faut ensuite slalomer entre les gens pour pouvoir avancer plus vite qu’eux. Le sous-marin dispose de têtes nucléaires. Je sais qu’en face, beaucoup plus loin, nous disposons aussi d’un sous-marin nucléaire mais l’objectif est évidemment d’empêcher la confrontation. Je tends le bras aussi loin que possible devant moi pour avancer, je sais que les autres sont derrière moi et me suive. Un moment, nous entrons dans une sorte de grand tunnel qui recouvre la surface de l’eau. Je suis vraiment très content : le sous-marin ennemi derrière nous avait fini par sortir de l’eau, il s’apprêtait à lancer une ogive, sous la voûte du tunnel c’est impossible, la bombe exploserait au-dessus du sous-marin et le détruirait. En conséquence, ils font glisser l’ogive le long de la coque, avant de la faire retomber dans un tube, retour dans le sous-marin. Pour cette fois, nous avons réussi, mais il faut tenir. |