2 octobre 2011 19h55
modifiée 2 octobre 2011 20h16 |
maurice |
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2 octobre 2011 20h20
modifiée 2 octobre 2011 20h21 |
Jean-Pierre ♫ |
La voiture est le cancer des villes. Dans les villes, je suis pour la suppression totale de celles-ci. Place uniquement aux transports en commun, aux vélos et, à l'occasion, aux taxis. Quant à l'électricité française, c'est une énergie aussi propre que le nucléaire dont elle est issue. | |||
2 octobre 2011 22h11
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maurice |
d'ans l'immédiat on peut atteindre une diminution de la pollution et améliorer la qualité de l'air bien sur c'est un moindre mal | |||
2 octobre 2011 22h27
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Jean-Pierre ♫ |
Dans l'immédiat, on peut donner la place que prennent les voitures aux transports en commun, aux vélos et aux piétions. C'est un réel progrès qui ne demande rien de plus qu'une volonté politique et qui est d'ailleurs très largement en oeuvre dans de nombreuses villes suisses ainsi qu'à Strasbourg, ville que j'ai vu littéralement ressusciter. | |||
3 octobre 2011 11h24
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Fabienne ? |
Ah ouais, les transports en commun sauf que dans ma ville : grève, mercredi passé, pas d'école pour S, annulé le rendez-vous pris il y a deux mois chez le Docteur, reporté dans deux mois. grève, vendredi passé, S a pu partir à l'école, en revenir ça a été "la débrouille". grève, aujourd'hui, Maman a payé 30 € de taxi pour ne pas rater les cours importants. Faut pas trop m'en parler des transports en commun. | |||
3 octobre 2011 13h06
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maurice |
tu n'as pas tort Paka cette prise d'otage pour défendre une certaine idée du corparatisme ne fait pas plaisir jp donne la priorité au collectif sur l'individuel écologiquement parlant il a raison enfin mettre tout le monde daccord restera un voeu pieu il faut imaginer cela au paradis | |||
3 octobre 2011 13h16
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Jean-Pierre ♫ |
prise d'otage ??? | |||
4 octobre 2011 10h42
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Fabienne ? |
33 € à mes bretelles, pour avoir envoyé le gamin à l'école !!! Si, il était "bon" à l'école, je m'en serais passée, mais voilà, il a bien besoin de tous les cours pour suivre !!! Bref, ce sont les parents qui regardent à leurs enfants, qui trinquent pour ceux qui laissent tout faire. (Les mômes des cités de la grande ville à côté balancent des pavés sur les bus). |