29 juillet 2011 13h48
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R.WOLF |
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29 juillet 2011 14h43
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Djabali |
je dirais que si cela inhibe la capture de la sérotonine, un neurotransmetteur important du cerveau, ça doit être positif | |||
29 juillet 2011 14h58
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R.WOLF |
ça doit être positif puisqu' il y a soulagement < un antidouleur classe 2 pour soulager l' hypotension. bienvenue dans la médecine du XXI ème s. | |||
29 juillet 2011 15h57
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Lili ... |
Faut croire que oui : http://fr.wikipedia.org/wiki... A ne pas combiner avec des benzodiazépines, ou à des substances assimilées tel l'alcool : http://fr.wikipedia.org/wiki... | |||
29 juillet 2011 16h18
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R.WOLF |
oui, je sais Lili. le toubib vient de passer, il m' a confirmé. merci. | |||
30 juillet 2011 14h34
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DAME Miette |
au Moyen Âge la dépression et les autres troubles mentaux étaient considérés comme des formes de possession diabolique lu je sais pas où ce matin tiens ! ça existait au Moyen Âge la déprime ?????? . | |||
30 juillet 2011 16h14
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R.WOLF |
Dieu merci la science en a décidé autrement. j' ai déjà assez d' ennuis comme ça. | |||
30 juillet 2011 23h33
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Lili ... |
Les troubles "mentaux" existent depuis très très longtemps semble-t-il : | |||
31 juillet 2011 02h56
modifiée 31 juillet 2011 02h57 |
DAME Miette |
mouai, merci LILI, j'ai tout lu et en lisant il me venait cette réflexion-question : y a-t-il une frontière nette entre la dépression et la "folie" ? ??????????..........??????????........????????? | |||
31 juillet 2011 13h30
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Djabali |
j'irais même plus loin, est-ce qu'il y a une frontière nette entre la folie et la non-folie ? | |||
31 juillet 2011 20h22
modifiée 31 juillet 2011 23h10 |
Lili ... |
Je crois que c'était tout l'objet de l'ouvrage : la frontière entre la normalité et la bonne santé mentale est tellement floue ... la folie ne devrait pas être autant taboue. Je ne sais pas trop pour la dépression. Les troubles bi-polaires ... on appelle bien ça maniaco-depression, et la frontière est tenue avec la schizo. Le manque de sommeil des phases maniaques peut entraîner d'autres troubles (le cerveau peut s'emballer, l'attention modifiée, des angoisses, des absences peuvent apparaître et emmener très très loin le malade). Cela peut également découler de la prise de substances non adaptées (pharmacologiques ou autres). Tant qu'il n'y a pas souffrance, pas besoin d'analyser ou de justifier. On est comme on est epicétou ! |