17 novembre 2009 15h00
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♫ Panther ♪ |
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17 novembre 2009 15h05
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Siberian Khatru |
Comme beaucoup d'autrichiens, Popper avait une pensée déviante. Il pensait beaucoup, tout en étant en permanence dans un état quasi oblique. Du reste, "Je penche, donc je fuis (de la cafetière, NDLR)" reste l'une de ses meilleures penchées. | |||
17 novembre 2009 15h06
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♫ Panther ♪ |
mdr.... pas mal celle-là. | |||
17 novembre 2009 15h09
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Siberian Khatru |
Penches tu ! | |||
17 novembre 2009 15h12
modifiée 17 novembre 2009 15h13 |
Lalo Skywalker |
Ben dis donc Siberian....C'est festival aujourd'hui Popper devait pas connaître Sarkozy.... | |||
17 novembre 2009 15h13
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♫ Panther ♪ |
Oui, et je trouve que sa phrase au-dessus est un vrai feu d'artifice de jeux de mots. | |||
17 novembre 2009 15h15
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Siberian Khatru |
Ce bon vieux Karl n'avait pas lu la lettre de Guy Môquet... | |||
17 novembre 2009 22h12
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gonzo |
j'en ai un peu rien à foutre ... je gère bien mieux mon esprit que la plupart des gens. surtout ceux qui sont des optimistes forcés. j'anticipe la ou ils se prennent tout sur la gueule ...des fois , je me dit qu'ils sont un peu con .... doivent aimer se faire mal ... | |||
17 novembre 2009 22h16
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En voiture Simone |
Typique de la pensée libérale ce Popper... malheureusement y'a la réalité Au fait j'ai du poppers, t'en veux ? | |||
18 novembre 2009 00h16
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Martine |
Pour soi-même ?...ou uniquement pour les autres | |||
19 novembre 2009 01h34
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Pépé le Moko |
Salut tout le monde ! Le poppers, j'en ai pris une fois quand j'étais djeun's. J'ai éclaté de rire et fait une tachycardie Pas mon meilleur souvenir. Je préfère les substances végétales Quant à l'optimisme, plutôt qu'un "devoir moral", je verrais ça un peu comme un masque que l'on se met, pour soi et pour les autres. Ce n'est pas une mauvaise chose, loin de là mais c'est une manière de ne vouloir toujours regarder que par le même côté de la lorgnette. C'est une vision faussée. Positive mais faussée. Optimisme et pessimisme ne diffèrent que par la date de la fin du monde. Stanislaw Jerzy Lec (Nouvelles pensées échevelées) Aimer les braves gens qui m'entourent, fuir les méchants, jouir du bien, supporter le mal, et me souvenir d'oublier, voilà mon optimisme. Il m'a aidé à vivre. Puisse-t-il vous aider aussi. André Maurois (Lettres à l'Inconnue) Bises à toutes et tous | |||
19 novembre 2009 09h11
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Martine |
Bonjour L'optimisme c'est aussi de dire qu'il y a de la tristesse dans la vie, du malheur. Dire que tout va bien, que tout va bien se passer, ce n'est pas de l'optimisme, c'est de la bêtise. Cédric Klapisch C'est bien un masque....qui doit tomber pour ouvrir les yeux... Bises | |||
19 novembre 2009 15h33
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♫ Panther ♪ |
Bonjour tous.... J'aime bien vos citations, merci. Mais je dois avouer que celle de Martine me plait particulièrement. Je suis d'accord que l'optimisme, c'est aussi savoir accepter le malheur, accepter la bêtise humaine, les coups bas du hasard... c'est savoir prendre du recul avec tout ça, ou comme le dit André Maurois (dont la citation me plait bien aussi :-), "supporter le mal". Je trouve que l'introspection, mais aussi l'humour, le second degré par exemple, nous aident dans cette petite tâche, et à propos je regrette que personne n'ait souligné le petit jeu de mots de ma citation, avec "moral", et n'ait pris le parti de le commenter. Bises | |||
19 novembre 2009 23h59
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Pépé le Moko |
Bon j'assume ma connerie : C'est quoi le petit jeu de mot avec "moral" ? Je ne vois pas C'est que "être optimiste c'est avoir un bon moral" ou un truc dans le genre ?? Bises | |||
20 novembre 2009 01h54
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♫ Panther ♪ |
Mais non tu n'es pas con, c'est bien ça le jeu de mots : le "devoir moral" c'est un devoir qui n'est pas légiféré mais qui se rapporte à des exigences à soi-même, en lien avec ce qu'on aimerait pour le bien-être commun ou que l'on trouve simplement éthique.... ça n'a donc rien à voir avec le "moral", ce truc qui indique notre niveau de punch/tonus, à un moment donné. Or là on parle d'optimisme donc on retrouve quand-même un peu ce sens, mais à vrai dire je ne sais pas comment (c'était à vous de me le dire, m'enfin). Bises |