30 juin 2012 13h15
modifiée
30 juin 2012 13h24

Paddy et maddy
aimez vous cette citation

Il y a assez de tout dans le monde pour satisfaire aux besoins de l'homme,
mais pas assez pour assouvir son avidité.
Gandhi

paddy aime beaucoup elle est pleine de sagesse supprimé l avidité et le monde serait merveilleux

paddy aurait aimez vous mettre le monde des mains voila


30 juin 2012 13h18

gonzo
Et le monde serait encore à l'état de primates dans des arbres sans sont avidité.

il y'a juste équilibre à trouver ...mais ne dénigrer pas comme ça des défaut qui nous ont fait.
au bout du compte ,c'est facile de rejeter la faute sur notre partie "mauvaise" qui nous à fait arriver la

30 juin 2012 13h20
modifiée
30 juin 2012 13h23

TOTOCACA
celle sur la responsabilité de ce qui administre et gouverne je ne me rappelle plus j'ai mal au cheveux est plus d'actualité.
et sinon malheureusement elle n'est plus vrai. on a plus assez de tout. on est 1 milliard de trop pour ce que peut fournir la terre de maniére renouvelable. en gros l'eau potable et la bouffe

30 juin 2012 13h22
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30 juin 2012 13h24

Djabali
tout à fait comme gonzo, si l'homme n'avait jamais cherché qu'à satisfaire ses besoins sans aller au-delà, nous serions encore accrochés aux branches des arbres, je trouve cette citation niaiseuse... Le tout, c'est de trouver un certain équilibre entre nos ambitions et le développement durable... (ici, pas de blocage !)

30 juin 2012 15h48

abra
le monde serait encore à l'état de primates dans des arbres sans sont avidité.
Depuis quand l'avidité est-elle synonyme d'évolution ?
Je crois qu'on peut employer son intelligence de manière plus constructive qu'en marchant sur la gueule des autres.


trouver un certain équilibre entre nos ambitions et le développement durable...
Qu'est-ce qu'ils en ont à faire les maîtres du monde avec leur gros cul assis sur leurs millions ? Tout pendant qu'ils nous dirigeront, leur cupidité provoquera notre destruction.

30 juin 2012 16h03

Mag
Oui je l'aime et la trouve vraie, je fais le distingo entre le désir d'améliorer sa condition et la convoitise servile qui consiste à amasser toujours plus dans un but égoïste aux dépens du bien être général. Je ne me fais pas d'illusion cependant, il en est ainsi depuis la nuit des temps et il en sera toujours ainsi.

30 juin 2012 16h13
modifiée
30 juin 2012 16h14

Djabali
@abracadabra

1) l'avidité, le besoin de vouloir plus que ce qu'on a est un moteur. Il est évident que nos ancêtres, sans ambition, ne seraient pas sortis d'Afrique (la communauté humaine de l'époque ne dépassait pas quelques milliers d'individus, il y avait suffisamment d'espace pour tous) ; sans avidité par exemple, on n'aurait pas observé la hiérarchisation progressive des sociétés du sud de l'Égypte, sans laquelle l'institution royale égyptienne n'aurait pas structuré le pays... Par exemple.

2) c'est qui [ils] ? Je ne parle pas des gens riches, cela vaut pour tout le monde. Les individus les plus riches de la planète le sens parce que nous, les consommateurs, voulons aussi toujours plus : le dernier modèle de téléphone portable, le dernier écran plat pour la télévision, les derniers modèles de voitures, de vêtements... Est-ce que nous avons vraiment besoin de tout cela ?

3) je pense que nous devons être capables de combiner ce moteur extraordinaire qui a poussé les êtres humains depuis les forêts d'Afrique de l'Est jusqu'à occuper tous les écosystèmes ou presque de la planète et, bientôt, partir explorer, exploiter et vivre en dehors de la Terre. Mais il faut le faire de manière responsable, sans détruire notre berceau.

30 juin 2012 16h14
modifiée
30 juin 2012 16h50

Arnaud
On ne peut qu'être d'accord !
C'est du bon sens.

Mais plus que cela, elle nous renvoie à nous même.
Car on peut la commenter, y trouver des coupables mais ce n'est jamais nous, alors que :

-Individuellement combien de nourriture gaspillons nous par an ?
* Mon grand père me racontait que pendant la guerre (14-18), le gamin qu'il était lèchait sa main pour recuperer les miettes du pain que sa mère coupait. Ce scénario est toujours d'actualité dans bcp d'endroits...
-Individuellement combien d'eau gaspillons nous par an ? Entre les douches plaisir, bains à répétitions, piscine, voitures "sur-lavées" .... alors que dans certains pays il y a 5 litres par homme par jour pour boire, se laver et faire à manger !

On peut donc commenter à outrance, trouver des coupables, mais jamais nous individuellement ... donc pourquoi ne pas commencer à vivre avec 5 litres par jour et par personne, et s'interdire de gaspiller une miette de pain. (même une goutte de sauce )

Voilà ce que nous dit cette citation, elle s'adresse à nous et pour action.

30 juin 2012 16h30
modifiée
30 juin 2012 17h04

Mag
ça me fait penser à cette campagne anglaise (j'en ai fait une q sur Macdo) :

Edit : oops l'image est trop grande si l'aubergiste veut la supprimer, je n'ai pas de format moins grand.

30 juin 2012 16h44

lurette
un bon exemple, à mon sens, qui illustre le mot "avidité" de cette citation:
Entrée fracassante en bourse d’un géant de l’huile de palme !

je fais comme abra, le distingo entre "avidite" et évolution. Djabali, les flux migratoires de la préhistoire se faisaient poussés par les changements climatiques. les gens ont migrés, ont commencé à tailler le silex, non par avidité, mais par désir de progres, voire par ambition.

Ensuite, tous les industriels, gros bonnets etc.. nous poussent toujours plus à consommer, parfois à notre insu, comme dans l'exemple de l'huile de palme.
On n'a toujours le pouvoir de s'y soustraire ; mais je suis d'accord, qu'il est de la responsabilité de tous de veiller au non-gaspillage, viser un équilibre durable, faire l'effort de ne pas tomber systematiquement dans le panneau de la consommation.

30 juin 2012 16h59

Djabali
@lurette, nous en savons très peu sur les flux migratoires à l'époque de la Préhistoire. Ce qui est clair, c'est que ce n'est pas pour une raison climatique que le premier groupe a quitté l'Afrique pour longer la côte avant d'atteindre, quelques dizaines de milliers d'années plus tard, ce qui est devenu l'Australie. Tu parles de l'ambition. Mais qu'est-ce que l'ambition ? Une forme d'avidité.

Au sujet de l'huile de palme, il se trouve qu'elle est bonne pour la santé. Pourquoi ne pas en consommer, en théorie ? Évidemment, son exploitation doit se faire dans le respect des écosystèmes de la région c'est-à-dire qu'on ne doit pas détruire la forêt primaire pour le faire. Évidemment, cela demande une certaine planification, une étude de terrain, de faisabilité, AVANT de commencer l'exploitation. Cela demande du temps et donc de l'argent. C'est contre les principes économiques actuels et c'est justement cela le problème. On doit pouvoir consommer de l'huile de palme sans détruire la planète.

30 juin 2012 17h10

lurette
@Djabali, au fond on est d'accord . L'huile de palme n'est en aucun cas mauvaise en elle-même, bien au contraire. Pour moi, dans cet exemple, j'interprète la citation ainsi :
on a assez de moyens pour satisfaire nos besoins en huile de palme, mais l'avidité fait qu'on la sur-exploite au détriment de la planète.

30 juin 2012 17h17
modifiée
30 juin 2012 17h19

gonzo
un exemple d'avidité qui nous à construit, je mettrait bien les colons et la vague européenne de colonisation qui ont construit toute notre société.

Le gros "hic" de ce point est qu'elle nous rappelle que le monde est aujourd'hui limité, petit.
et que notre avidité d'aujourd'hui nous pousse vers la destruction du monde.
nous avons la capacité de destruction de 'masse' à niveau planétaire, et ça, sa change tout.
destruction de "masse" , comportement de "masse".tout ça nous rapelle à la limitation de la terre
quand un homme peut détruire toute une planète avec un bouton rouge ...sa laisse perplexe

30 juin 2012 17h45

Arnaud
Tu sais Gonzo, toute l'histoire humaine est basée sur la colonisation.
Les Européens ne sont pas dépositaires des guerres et des colonisations.

Il y a peut être aussi, dans cette "question", une notion de choix qui n'a pas été abordée.
L'économie mondiale, les climats sociaux, tentent à ne pas laisser le choix d'avoir le choix.

30 juin 2012 17h53

gonzo
c'est exacte ...et souvent entre le voir "positif" et "négatif" dépend des valeurs qu'ont leur attache.
valeurs de civilisations...qui font voir notre avidité d'un point de vue ou un autre.
valeurs, toujours valeurs et encore valeurs.

un monde vaste permettrai un développement sans limite dont les victorieux écrivaient l'histoire, mais qu'aujourd'hui un monde limité rappelle à tout sont monde qu'il à aussi ces propres valeurs à respecter

30 juin 2012 19h04

Djabali
tout ça, c'est une question de mesure

30 juin 2012 19h06
modifiée
30 juin 2012 19h08

gonzo
équilibre ...qui dépend des besoins de l'époque
mais l'homme est'il capable de s'adapter de lui meme ? alors que jusqu'aujourd'hui c'est l'environnement qui le faisait.


une seul explosion de centrale nucléaire et c'est toute la planète qui s'enrhume

30 juin 2012 19h38

Djabali
je ne suis pas d'accord. Un grand nombre de peuples ont vécu jusqu'à l'époque moderne en s'adaptant à leur environnement. Les exemples les plus évidentes sont les peuples d'Amérique du Nord. Chaque peuple vivait en symbiose avec son écosystème, depuis le Saint-Laurent jusqu'à la Californie, de la Floride au Grand Nord.

30 juin 2012 19h43

gonzo
être en symbiose, c'est pas justement accepter que l'environnement fasse ce travail contrairement à nous ?
l'avantages de ces peuple du nord, c'est qu'il n'ont pas eut à avoir besoin de sortir de ce cadre pour pouvoir exister.
ils n'ont pas encore l'arme atomique

30 juin 2012 20h04

Djabali
la symbiose suppose que les activités des différents éléments soient complémentaires... Chez ces peuples, les activités humaines ne détruisent pas l'environnement, elles s'y adaptent afin de perdurer dans le temps

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