Contributions de Pépé le Moko appréciées :

411 appréciations pour 233 contributions - pages 1 2 3

9 mars 2016 14h18
modifiée
9 mars 2016 14h19
J'ai envie d'un café... pas vous ?

à la vôtre !

1er février 2016 15h14
Je trouve que le dénouement de cette histoire correspond tout à fait à ce que j'attendais.

J'aurais été choqué si elle avait été acquittée. Normal : elle a tué un homme et la justice a une procédure pour ces cas-là.

Mais je trouve tout à fait logique, au vu des circonstances, que celui qui avait la possibilité de faire quelque chose le fasse. Et j'aurais également été choqué s'il en avait été autrement.

Un crime a été jugé et personne ne peut dire "je peux tuer et m'en tirer", aucune jurisprudence possible et ça, c'est bien car il ne faut pas couper les ailes de la justice et créer une injustice (ça arrive trop souvent dans les cas "économico-politiques")
Au vu du dossier, c'était cependant humain (on sort du légal pour rentrer dans l'empathie) que cette pauvre femme ne finisse pas ses jours en prison.

La décision de la laisser être jugée et reconnue coupable pour ensuite lui accorder une remise de peine gracieuse me semblait être la seule chose à faire et je suis très content qu'elle ait été faite.

Si victoire il y a, elle est, selon moi, celle de l'humanisme et de l'empathie mais ce n'est pas une victoire "contre". Chacun s'est exprimé et a agit en son âme et conscience et chacun, dans cette histoire a fait son boulot sans qu'on ait quelque chose à lui reprocher.

C'est cool, j'aime bien les histoires qui se finissent bien

25 janvier 2016 19h35
J'ai signé aussi.

18 janvier 2016 09h00
C'est comme le "Un sot fait un saut par dessus un seau. L'étroit seau tombe"
Trop tordu mais le tort dû se doit d'être acquitté. A qui t'es ? à personne !
Signé : Le père vert

15 janvier 2016 09h22
Il y en a un qui aime la bière et les autres qui sont justement dedans

12 janvier 2016 10h02
modifiée
12 janvier 2016 21h21
Trop bien !!!

Mais le Pépé malin connait bien ses limites.
Autant que faire se peut, les flatteries, il évite.
Il reste très critique, selon son habitude.
Quand il s'agit de lui, aucune mansuétude.

Je suis, bien sûr, flatté (qui ne le serait pas ?),
Quand je lis les louanges et ce qu'on dit de moi.
Il serait pourtant bon de s'y laisser tenter,
Mais je me connais bien, je me suis évalué.

Cependant, je reste bien élevé,
Quand on me félicite il me faut remercier.
Question d'éducation, on ne se refait pas.
Mais je sais bien qu'au fond je ne le mérite pas.

J'ai des facilités pour m'exprimer en vers
Cela me vient tout seul, question de caractère.
Mais les vers seuls ne font pas un poème.
L'histoire qu'ils racontent doit avoir un bon thème.

Les sentiments, émotions, tout ce qui fait le beau
Se doivent d'être présents comme des oripeaux
Qui l'habillent et le classent, selon le ressenti
Et font d'un texte simple une vraie poésie.


11 janvier 2016 23h53
Vous me gênez...

...Continuez, c'est très agréable

Merci

11 janvier 2016 15h20
modifiée
11 janvier 2016 15h55
A vous mes frères et soeurs de l'Auberge Espagnole,
Le temps qui passe et fuit en une course folle
Ne doit pas vous faire peur ou bien vous affliger
Car il n'a pas de prise sur les vraies amitiés.

2015 est mort et vive 2016 !
Quoi que balbutiante et encore en genèse,
Elle est porteuse d'espoirs cette nouvelle année,
Car elle reste à écrire, à construire, à élever.

2015 a vécu, apportant des chagrins.
Mais ce qui fut hier, ne reflète pas demain.
Du bonheur, gardons les souvenirs,
Des malheurs, des leçons à retenir.

Nous sommes les acteurs de notre destinée,
Il n’existe pas de voie qui soit déjà tracée.
Face à cette page blanche qui s’appelle 2016,
Ne nous refusons pas les plus folles hypothèses.

On peut s’apitoyer, se plaindre, se lamenter
Sur ce monde injuste, violent et vérolé.
On peut tout aussi bien décider d’avancer
Et le faire changer, et le faire progresser.

"Je suis bien trop petit, ce ne sont que des mots"
Mais si chacun agit, se force à son niveau,
De par la multitude et l’accumulation,
Nous donnerons du poids à toutes nos actions.

Oh, je sais bien au fond que je ne suis qu’un con,
Un clown de bazar, un donneur de leçons.
Mais je n’oublierai pas de dire le principal :
Avec tout mon amour, Bonne Année les Cygales !

21 décembre 2015 19h02
Le métabolise basal est atteint pour une température de 17°C
En dessous, le corps cherche à se réchauffer. Au dessus, à se refroidir.
Un bon repos se fait donc dans une pièce à 17°C

21 décembre 2015 18h46
modifiée
21 décembre 2015 18h58
Jean, jean, Jean...

Tu te plains de l'affront fait aux militants FN en venant ici nous assimiler, nous les "gens de gauche" à ceux qui ont commis cet affront.

Tu nous parles de "maîtres à penser", tu emploies l'ironie et le sarcasme et tu t'étonnes que nous ne compatissions pas à ta détresse.

Dis-toi que si ça avait été n'importe qui d'autre j'aurais demandé : "Qu'est ce qui te gêne dans la comparaison ? Extrémiste ou musulman ?"

Je ne te ferais pas l'offense de t'assimiler à tous les F-Haineux qui pullulent sur la toile mais sache que les pires insultes et ignominies que j'ai pu lire étaient souvent issues de ces derniers.
Quand j'entends Gilbert Groslard jouer les vierges effarouchées, une fois l'envie de vomir passée (comme toujours quand je vois le bonhomme), je me marre quand même doucement.

Sache encore une chose : Quand je lis les insultes qui sont proférées à l'encontre des gens de gauches, des écolos, et toute autre personne partageant un tant soit peu mes valeurs, je ne les prends que pour ce qu'elles sont : des insultes. Je ne me sens jamais visé car je sais que ces gens-là ne me connaissent pas et n'ont donc aucune légitimité pour me dire ce que je suis réellement. Ils conchient ce en quoi je crois ? Et alors. Je ne nourris pas le troll, ce serait lui faire trop d'honneur.

Bien sûr, si je sais que ce qui est dit est vrai ou renferme une part de vérité, ce n'est alors pas vraiment une insulte et même si ça me met en colère je vais quand même y réfléchir. Les oeillères, ça abîme la vue à force.

Pose-toi la question : "pourquoi te sens tu offensé par cette insulte ?" Dis-moi, ça appuie sur quel bouton chez toi ?

Tu cautionnes les photos publiées rageusement par l'autre con et par sa-majesté-marine ? C'est quand même vachement plus trash qu'une déclaration et ça donne le niveau.

Encore une fois, je ne t'assimile pas aux leaders du parti qui a ta préférence (sinon, je ne t'adresserais même pas la parole) mais n'hésite pas à relire leurs tweets, leurs déclarations officielles et autres publications. Si tu ne trouves aucun propos insultant, diffamant, calomnieux, c'est que tu es plus endoctriné que ce que je crois et qu'effectivement, comme tu le souhaites, il ne faut plus te parler du FN car tu as perdu tout libre-arbitre et toute capacité à raisonner par toi-même. Le débat n'est alors plus possible.

Le dormeur doit se réveiller...

15 décembre 2015 17h37
Là où vous dites "se plaindre", j'entends "geindre".
J'entends "plainte" dans sa forme "juridique" de celui ou celle qui réclame justice.
on peut très bien se plaindre, dénoncer une situation et avoir envie d'agir.
C'est même souvent la première étape.
Si ma plainte n'est pas entendue, j'agis.

14 décembre 2015 19h17
ça fait plus de 40 ans que je ne joue plus au "c'est cui qui dit qui y est", je suis un peu rouillé

Juste pour voir si j'ai bien compris ton principe :
Tu n'as plus le droit de te plaindre de la politique française tant qu'il y aura des dictatures dans le monde ? c'est juste pour comprendre, hein ?

Beau principe ! J'attends de voir...

14 décembre 2015 14h38
[désolé d'avance, mais le lundi, faut pas me faire chier...]

Vu des yeux d'un comorien de Mayotte :
Tu grimpes à pourtant son mat mais tu n'as pourtant pas le cul très propre toi-même. (tu reviendras développer.)

C'est marrant (et je te l'ai déjà dit) cette manie que tu as de toujours nous sortir le point de vue du paysan du Laos ou le pousse pousse de Calcutta. On dirait que tu veux nous faire culpabiliser, nous les nantis, en occultant systématiquement le fait que si on compare nos situations, le nanti, c'est toi

C'est tellement bobo !

Je n'ai pas besoin d'adhérer à un parti pour me sentir écolo, moi. Et je n'ai pas besoin d'étiquette pour avoir envie de préserver la nature qui m'entoure. Et ça ne date pas d'hier.
Alors non, ce n'est pas l’apanage d'un parti. On a juste besoin de se sentir humain faisant partie de la nature pour ça. C'est bien parce qu'on a laissé les partis s'en occuper qu'on en est là aujourd'hui. Beaucoup de parlote, d'effet de style et d'emphase et au final ?

Chez moi, je n'ai jamais vu les écolos estampillés organiser autre chose que des discussions sur ce qu'il faudrait faire. En revanche, j'ai vu pas mal d'asso ou de particuliers organiser des opérations nettoyage et de sensibilisation à la préservation de l'espace naturel.

Quand est-ce que les écolos (les purs, les durs, ceux qui ont la carte EELV qui dit qu'ils le sont) agirons vraiment plutôt que d'attendre d'être élus pour le faire ?

Attention, je sais très bien que des asso écolos agissent (et font du bon boulot) mais EELV reste un parti qui agit comme un parti.
Bref, des qu'on parle un peu sérieusement d'écologie, y'a plus personne.
Bizarre, parce que pour ce qui est d'en parler, moi, je vois plein de monde. C'est quand il faut agir qu'il n'y a plus personne. Mais bon, moi aussi J'ai l'habitude.

Sur ce... je vais jeter du cyanure dans la rivière (c'est bien comme ça que tu nous vois, non ?)

11 décembre 2015 12h23
La poésie, ultime propagande ou arme de la raison ?
ni l'une ni l'autre pour moi. C'est, pour moi, complètement gratuit. C'est un partage de sentiments, de sensations et d'images. C'est aussi une musicalité.

Pourquoi y suis-je le plus souvent insensible ?
Prends-tu le temps de bien la lire ? Y mets-tu le ton ? Te laisses-tu imprégner par les mots tels qu'ils viennent, sans chercher à rationaliser et comprendre ?
Tu es musicien. Lis bien le texte pour te l'approprier et laisse tes doigts courir sur ta guitare selon ce qu'ils t'évoquent tout en lisant à voix haute. Je suis sûr que tu en tireras de grandes choses et de belles émotions.

10 décembre 2015 12h23
Segel,

Mon sentiment c'est que c'est la 2ème proposition qui est proche de mon ressenti.

ceci-dit, hitler n'a pas le monopole de la technique. D'autres l'ont fait avant lui et les cibles ont été tour a tour, de religion différentes, de couleur politique différente, etc.

Aujourd'hui, c'est une technique qui a la cote il n'y a qu'à voir l'autre frapadingue de Donald Trump pour s'en rendre compte. On préfère aujourd'hui chercher des coupables plutôt que des solutions. C'est beaucoup plus facile à fabriquer.

Vous noterez comme ses partisans l'appellent tous (ou presque) "Marine" (tout court). On crée une proximité, une intimité qui crée un sentiment de sécurité. "Quelqu'un que je connais suffisamment pour juste l'appeler par son prénom ne peut décidément pas être comparé à un monstre comme Hitler" (notez que personne ne l'appelle "Adolphe", lui)

10 décembre 2015 09h53
modifiée
10 décembre 2015 10h11
[...] le raisonnement, pour établir une vérité, obéit à des logiques, à une rigueur qui ne sont pas du domaine de l'opinion (-Et ton opinion n'est pas une vérité! j'en suis désolée, mais c'est comme ça-) (Pépé le Moko t'expliquera ça mieux que moi, c'est un champion!).

C'est gentil mais c'est faux. Je n'aurais pas fait mieux. C'est clair, concis, le nécessaire et le suffisant sont présents... Top !

Je cite souvent ce proverbe qui dit : "Le sage cherche la vérité toute sa vie. L'imbécile, lui, l'a déjà trouvée" (Aucun rapport avec la discussion, Jean, je ne l'ai pas lue)

Ceci dit, concernant le résultat de ces dernières élections, j'ai quand même mon mot à dire (et désolé si je suis redondant avec ce qui a été écrit. Comme je l'ai dit plus haut, je n'ai pas lu les différents commentaires):

On semble voir la montée du FN comme un symptôme d'une société de plus en plus raciste ou xénophobe. Il faut d'abord relativiser les chiffres. La répartition et le système de vote donnent l'impression qu'il y de plus en plus de gens qui votent FN. Or, si on ramène ça à la valeur absolue du nombre de votants, il n'y en a toujours autant (voire même un peu moins) mais, étant mobilisés, c'est suffisant pour faire la différence.

On serait en Espagne par exemple, beaucoup voteraient sans doute pour Podemos et ce ne serait pas paradoxal.

Le cri que j'ai entendu, c'est "Nous voulons du changement et nous voulons quelque chose qui n'ait pas déjà été tenté". Qui, en France, à part le FN, occupe cette niche ?

Je crois que la plupart des votants (entre autres les jeunes) ne s'imaginent même pas les conséquences d'un FN au pouvoir. Mais, et j'ai entendu un jeune interviewé le dire, il disent : "Les autres partis ont eu leur chance et on voit ce que ça a donné. Laissons une chance au FN, et on verra s'il font mieux ou non"

Toute la campagne de dédiabolisation et de "j'pousse-papy-borgne-vers-la-sortie" n'a eu pour but que de faire oublier les fondamentaux du parti (qui bien que masqués n'en sont pas moins présents) et de ne s'exprimer publiquement que sur les plates bandes des autres.

Le message était clair "On est un parti comme les autres mais vous n'avez jamais essayé. Laissez-nous une chance et vous verrez."

En plus, là où les autres partis n'ont pas de réponse (je parle des causes du malaise social, de la crise, et de tous les problèmes du velgum pecus) eux emploient la technique du bouc émissaire qui permet de toujours trouver un coupable. L'avantage énorme, c'est que si ce n'est pas suffisant, on en trouvera un autre et ainsi de suite.

C'est une technique qui a fait ses preuves et l'Histoire regorge d'exemples.

On sait pourtant où mène cette politique (ou absence de politique). Il faut croire que le lavage de cerveaux opéré par le petit écran a été efficace...

J'aurais aimé dire "Laissons-les nous prouver leur incompétence et leurs véritables intentions" Mais la technique du bouc émissaire a ceci de formidable qu'elle donne de fausses impressions de résultats et quand finalement cela ne marche plus, il est trop tard et il ne reste plus personne. Je ne suis pas prêt à prendre ce risque.

Mais bon... ce n'est que mon avis sur la question...

4 décembre 2015 11h02
Joyeux anniversaire Sourire !!!

Je ne mets pas de gâteau, celui de JP est déjà conséquent

Tout plein de bonnes choses pour toi

[Parenthèse ON]
Segel, je ne savais pas non plus mais je suis allé voir les discussions de l'an dernier à la même date. Le Pépé est un animal malin...
[Parenthèse OFF]

29 novembre 2015 01h31
Je me rends compte que les évènements du 13 novembre m’ont particulièrement choqué.
Bien sûr, pour l’ignominie de l’acte mais aussi et peut-être surtout, pour le présage que cela représente. Voici le monde où mes enfants vont devoir se faire une place et vivre.
Ça m’a terrifié.
Je me dis que peut-être, si je ne rentre pas dans le jeu, je pourrai au moins me dire que je n’ai aucune responsabilité dans cette affaire.
Or jusqu’à présent, ce n’était pas le cas. J’ai laissé faire plein de choses car je ne me savais pas la force de les changer et pire, je les ai répétées en disant : "Oui, je sais…c’est con mais c’est comme ça"
Un peu comme toi, Segel, quand tu dis :
Quand au mot "beur", il désigne exclusivement les personnes d’origine arabe.
Autrement dit Emmanuelle, tes enfants seront considérés comme tels en France, il faut le savoir.

C’est terrible parce que c’est faux. C’est pourtant une évidence n’est-ce pas ? J’aurai pu le dire aussi. Mais si je prends 5 min pour y penser un peu, je vais voir que c’est faux. Je ne considèrerai pas tes enfants comme tels, Manue (et Segel non plus). C’est tellement réducteur que je n’en vois pas l’intérêt. Comme si ça pouvait suffire à les définir.
Donc, un autre mode de comportement existe. Si je ne le dis pas, d’autres ne le diront peut-être pas non plus. Si je laisse entendre qu’il n’y a qu’un mode de comportement parce que je crois ou je sais que la majorité l’adopte, je ne désigne pas la totalité réelle des possibles. Pire encore : ma perception du phénomène est peut-être faussée du fait que les gens n’expriment pas la réalité.
Dans les faits, si je croise tes enfants , Manue (et j’en serai ravi, ils sont plutôt cools), je vais essayer de trouver, pour les comprendre, des ressemblances avec des enfants du même âge que je côtoie et connais. Leur origine n’interviendra que très tard ou pas du tout dans l’équation.
C’est fou le temps qu’on passe et qu’on perd à chercher et à marquer les différences avec les gens alors qu’il est tellement plus simple, plus ouvert et plus productif de trouver les ressemblances. Il y en a tellement plus !
Bon, sinon… le coup du gaulois, j’ai trouvé ça nul. Pourquoi j’en aurai parlé et donné une existence à ça alors que ça se passe en cité et que j’apparente ça à une sorte de patois jeune local. C’est toi qui as parlé de "beurs", pas moi. Moi je n’ai fait que te signaler ce qui me dérangeait.
J’ai quitté ma cité il y a plus de 25 ans. Je ne suis plus jeune et j’ai travaillé dur pour acquérir une certaine éducation et culture. Quel intérêt aurais-je à adopter un langage qui est à des années lumières du mien ? Wech négro ! t’as voulu m’yomb ? Franchement, c’est abusé ! Sale gaulois, va !
-------
Manue, pour répondre à ta question : non, je ne lis pas tout alors je suis désolé si ce que j’écris a déjà été dit ou si je donne l’impression de volontairement occulter ce qui a été dit par d’autres. J’ai tendance à rester sur mon fil de conversation.

28 novembre 2015 19h43
modifiée
28 novembre 2015 20h15
Quand je parle de deux catégories, il s'agit de :
1/ les beurs
2/ les français qui votent FN

Et non de 1/ les beurs 2/ les français ...
Et ça me déçoit qu'on puisse croire que c'est ainsi que je le comprenais.


Tu me déçois si tu penses que j'ai pu penser que tu pensais ça...
Si tu le pensais, je n'aurais pas relevé car chacun est libre de penser ce qu'il veut.
En revanche, comme tu ne le pensais pas, je me suis permis d'intervenir car les mots n'exprimaient pas ce que je savais que tu pensais.
C'est un constat : aujourd'hui, certaines expressions sont passées dans le langage et personne ne se penche plus sur leur sens.
Il en a été ainsi à toutes les époques et quand je lis "nègre" sous la plume de Marcel Pagnol, je suis obligé de le remettre dans le contexte pour ne pas être choqué.
Notre discussion serait orale, je ne relèverais pas de la même manière. Mais là, nous sommes à l'écrit et les écrits restent. J'ai moins de tolérance mais je n'exige pas, de la part des autres, une rigueur à laquelle je ne me soumets pas moi-même.
Qu'est-ce qu'un Beur ? C'est un rebeu, c'est un Arabe. Qu'est-ce qu'un Arabe ?
Un Arabe est quelqu'un originaire de la péninsule arabique et, par extension et communautarisme, on désigne sous le nom d'Arabe, toute personne dont la langue maternelle est l'Arabe.
Un look Sémite ne devrait donc pas suffire à qualifier quelqu'un d'Arabe ou même de beur.
Faut-il adopter (à l'écrit, j'insiste) le langage, non maîtrisé, de la rue et parler de Blacks, de Beurs, de Feujs, de jaunes (je connaissais même des gars, dans ma cité, qui appelaient leur copine, "ma salope") ? Quoi que "black" et "jaune" soient plus en rapport avec la couleur de la peau que de l'origine.
Alors, peut-être que je t'ai fait de la peine en orientant le débat sur les mots. Mais c'est parce que les mots véhiculent des idées. Certains ne sont pas seulement une étiquette pour désigner quelque chose.
La preuve ? Si je dis "Bougnoule", "Melon", "Bicots" à la place de "beurs", ça pourrait être (ça l'est pour certain(e)s) ma façon de dire "Arabe" mais tu y verrais automatiquement la connotation raciste. Pourtant, pour ton interlocuteur, ça ne serait que sa façon de dire "Arabe"
Autre aspect qui me pousse à couper les cheveux en quatre : Même si c'est le terme qu'ils emploient entre eux, je n'aime pas le communautarisme. Soit ils sont français, soit ils sont étrangers résidant en France.
Même "français d'origine maghrébine" est trop pour moi. Ou alors, on parle aussi des français d'origine polonaise, anglaise, belge, chinoise, etc. (et on n'oublie pas d'y inclure la religion vu qu'on nous habitue de plus en plus à mêler l'intime au publique)
Tu vois ce que je veux dire quand je parle d'amalgame qui est déjà là et d'idées inconscientes sous-jacentes ?
On n'y prête pas attention et on banalise des concepts et des idées. Les jeunes qui ne maîtrisent pas vraiment le langage sont à peine excusables alors pour peu que tu aies un peu de culture, ça devient, pour moi, difficile à laisser passer. Je rentre dans le truc à fond.

Les mots ont un sens.

Ce mec-là, c'est un con avant d'être un Arabe ou un Charentais ou un Angoumoisin. Ses propos méritent d'être sanctionnés, mais rajouter que c'est un beur, c'est provoquer l'amalgame. C'est attribuer à une communauté ou à une origine, des propos tenus par un seul individu ou à un groupe d'individus et déclarer ipso facto qu'ils sont représentatifs de ladite communauté. C'est indigne et ça ne devrait pas être relayé tel quel.

Mais sincèrement désolé de jouer sur les mots. Après tout, il n'y a peut-être que pour moi que c'est important et mon côté "donneur de leçon" est juste insupportable. Dis-toi quand même, qu'à l'instar de Manue, je ne suis dur qu'avec ceux en qui je crois et que je sais être capables de penser à ce que je dis de manière intelligente. Je n'aime pas que les gens pensent ou s'expriment en deçà de leurs moyens.

27 novembre 2015 09h41
Des choses sont quand même bien ancrées dans l'inconscient collectif depuis que le Franc a été confronté aux Sarrazins.
Segel, tu dis : "Dis Emmanuelle comprends tu l'attitude des français qui votent FN quand ils voient des jeunes beurs se comporter ainsi ?"
Te rends-tu compte que tu mets dans la balance "les français" d'un côté, et "des jeunes beurs" de l'autre. Comme si ces derniers n'étaient pas français.
C'est surprenant quand même. C'est déjà porter un jugement et orienter le débat.
Tu crées, inconsciemment ou non, une hiérarchie dans la citoyenneté. Ça me fait penser à la dernière grosse connerie de la miss Maréchal (nous voilà) Le Pen :
http://www.lejdd.fr/Politiqu...

L’amalgame est déjà là. Il est sous-jacent et ce n’est pratiquement plus QUE la seule conclusion logique à laquelle nous pouvons arriver en respectant l’orientation de départ.
Comme c’est un discours très (trop) répandu, c’est pour ça et non à cause du fait divers, que je comprends la dérive FN.
Je reste cependant vigilant et j'invite tout le monde à en faire autant. Et ce n'est pas du "politiquement correct", c'est juste du bon sens.

10 novembre 2015 08h52
C'est ce que je voulais dire plus haut avec mon JP, j'aime bien ton choix de chanson. Les paroles de "this world today is a mess" sont très parlantes

Bon choix la verveine... Je te conseille aussi la melisse ou la valériane (qui pue mais dont les vertus ne sont plus à prouver)

5 novembre 2015 09h08
Ma p'tite Tinou...

Puriste, je continuerai à dire "au temps pour moi".
D'autant plus que je reste, en faisant ça, en accord avec l'Académie française (tant qu'à faire...)

http://www.academie-francais...

deux copains dans la rue :
- Je veux deux glaces
- autant pour moi
- oui, mais moi, je parle de miroirs
- au temps pour moi

30 octobre 2015 09h37
Le plasma va nous propulser dans le futur

L'énergie libre, on en parle ?
http://lapressegalactique.co...

26 octobre 2015 11h00
modifiée
26 octobre 2015 11h03
Vous devez être identifié pour voir cette intervention... ou pas... enfin, c'est mieux... mais bon... vous faites ce que vous voulez

26 octobre 2015 00h41
Je ne sais pas ce que tu avais écrit Manue, mais je constate que tu as jugé bon de l'effacer C'est bien, ça veut dire que tu as pris du recul Ne t'inquiète pas, tu trouveras sans doute une autre façon de dire ce que tu avais a dire... Mais peut-être avec moins de passion (ton péché mignon)
Je devine quand même que tu as dû te sentir douchée par la réaction de Segel.
Je la comprends pourtant... (même si j'aurais pas forcément dit : "Ouais... Bof" comme lui )
Mon fils et pas mal de ses copains auraient pu avoir cet échange avec leur prof (le prof de philo leur a aussi donné son adresse mail) .
Donc, je m'imaginais que c'était normal. Cependant, je m'en rends compte, mon échantillon d'adolescents est beaucoup plus réduit que le tien.
Si tu dis que c'est exceptionnel, ben je dois te faire confiance et penser aussi que c'est exceptionnel.
Je dois donc en déduire que mon fils et ses potes sont plutôt cools et ça, c'est bien.
Au fond, je le savais mais quel parent est totalement impartial en la matière ?

Ps : Une heure quand même...

22 octobre 2015 15h02
Quel plaisir de te retrouver !!!

Bonne nouvelle dans cette époque de dingues

19 octobre 2015 17h15
Salut Tinou

1°) Véro, c'est Laura (elle a changé de pseudo)
2°) Ce ne sont pas MES choix qui sont restreints, ce sont LES choix. Il n'y en a pas 36 et on est d'accord, seuls les deux derniers ont faveur à mes yeux. Mais je les respecte tous.

Manue, ma culpabilité est là, pas ailleurs: je n'ai pas envie d'abîmer l'Auberge, telle que je la ressent. C'est louable mais je pense aussi que ne pas dire les choses sous prétexte que ça peut briser l'harmonie peut aussi entrainer une accumulation de griefs. Et ça, c'est explosif. Quand ça sort enfin (car ça sort toujours), c'est souvent disproportionné et forcément mal perçu.
On peut aussi dire les choses en essayant de choisir ses mots plutôt que de réagir de manière impulsive et (je te l'ai dit en MP) je pense aussi que c'est dans la justification que l'on se perd un peu et qu'on se fait dépasser par les évènements. Essayer plusieurs fois de construire son argumentation provoque souvent une déformation du discours initial.
Je le pense sincèrement et donc, je le répète : Quand on doit dire quelque chose qui ne va pas, il faut essayer de rester le plus objectif possible et donc le faire par la raison plutôt que par le coeur. La forme interrogative est également beaucoup moins agressive que l'affirmative. Elle demande à l'autre une réflexion constructive au lieu de simplement "lui mettre le nez dans le caca".

15 octobre 2015 13h23
modifiée
15 octobre 2015 13h39
Ok... Il semblerait que mes propos aient été quelque peu durs.
Je le concède volontiers.
Il fallait secouer (un peu) Manue et Sourire. Pourquoi ? Pas parce qu'elle sont fatiguées suite à leur altercation avec Véro. Ça, c'est tout a fait compréhensible. C'est d'ailleurs pour ça que j'ai préconisé un petit break pour leur permettre de prendre du recul et souffler un peu.
A ce propos, je ne comprends la façon dont tu envisages ce break, Manue. Tu sembles te l'imposer comme une punition pour expier le fait que, selon toi, Véro soit partie.
Ne te fixe pas de délai. Si ça doit être un mois, que ce soit un mois. Mais si ça doit être une heure, et bien, que ce soit une heure. Le temps est déterminé par ta capacité à prendre du recul et te calmer sur cette affaire.
Si j'ai été "dur", c'est pour malmener le sentiment de culpabilité que je ressens chez Manue et Sourire. Je vous arrête. Si Véro est partie, c'est son choix. Vous ne l'avez pas mise à la porte.
J'aurai été content qu'elle reste et prenne, elle aussi, du recul. Mais elle en a décidé autrement. C'est son choix et je le respecte.
Paprika répond à Manue avec son coeur et en s'adressant à son coeur. C'est une belle réponse par laquelle elle prend Manue par la main en lui disant qu'elle est à côté d'elle.
Si c'est vrai, c'est mon avis, que laisser parler son coeur est plus qu'indiqué dans la plupart des cas, lors d'une altercation, c'est plutôt déconseillé. Je pense qu'il vaut mieux, dans ces cas-là laisser parler sa raison.
C'est donc à votre raison que je me suis adressé. Ça manque de sentiment ? C'est normal !
Je ne vous prends pas la main et je ne reste pas à vos côtés. J'ai déjà fait l'aller-retour jusqu'au bout du chemin et je vous donne deux alternatives possibles parmi les possibles :
Faites un break et revenez ou continuez comme s'il ne s'était rien passé et passez à autre chose. Ce sont les deux seules alternatives qui me conviennent.
Le choix est simple :
Vous partez (ce qui est totalement injustifié)
Vous restez et on oublie
vous faites un break et vous revenez

Vous pouvez vous torturer, il n'empêche qu'au final, vous verrez qu'il n'y a que ces choix-là. Je voulais juste vous faire gagner du temps.
Je ne fais pas abstraction de vos sentiments, je cherche à vous faire comprendre qu'ils sont inappropriés.

Vous vous sentez responsables de ce qui s'est passé mais ce n'est pas le cas. Véro, je le répète, a choisi. Sans ça, on peut remonter la chaine des responsabilités :
Je n'étais pas beaucoup présent et cette histoire m'a échappée. J'aurais dû être là et essayer de mettre fin au conflit. C'est donc de ma faute. Pas pareil ? Ben si...
On peut même aller plus loin : dans la chaîne des évènements qui ont amené cette situation, tout au bout, il y a mes parents qui m'ont fait naître. Mais eux-mêmes sont gouvernés par une suite de choix qui remonte jusqu'au big bang. Absurde ? Aaaah... vos voyez que quand la raison prend le pas sur le coeur, les choses paraissent différentes ;)

Vous n'avez pas choisi de vous engueuler avec Véro et vous n'avez pas choisi qu'elle parte. C'est comme ça. Acceptez-le le plus vite possible et on pourra passer à autre chose.
Prendre du recul me semble la meilleure solution. Mais si vous en avez d'autres, faites-le.

Pas facile ? C'est sûr. Il faut arriver à ne plus penser en terme de culpabilité et il faut être capable de regarder tout ça de l'extérieur en essayant de comprendre comment les choses se sont enchainées pour arriver à ce résultat.
Il faut avoir un regard "clinique" et se détacher de la partie sentimentale de l'affaire. Le break permet de contourner un peu ça en "oubliant" plus ou moins que c'est arrivé. Ça permet de laisser le coeur se calmer pour laisser le pas à la raison (on y revient)

On peut faire durer tout ça très longtemps mais je doute que ce soit utile à qui que ce soit, et surtout pas à vous.

Un ami n'est pas forcément quelqu'un qui te dit ce que tu as envie d'entendre. Ça peut aussi être quelqu'un qui te dit ce que tu as besoin d'entendre, même si ça ne te fait pas plaisir.

PS : J'ai quand même laissé parler mon coeur car, finalement, je ne suis pas un monstre. Le "Free Hugs" était sincère.

14 octobre 2015 19h38
Bon... ça y est... on a assez joué là !
On passe à autre chose d'accord ?
Vous êtes là et ça ne dérange personne dans le pire des cas et ça fait plaisir à tout le monde dans le meilleur.

"Un grand Homme n'est pas quelqu'un qui ne tombe jamais, c'est quelqu'un qui se relève toujours"

Prenez du recul !!!!

Soufflez un peu si vous le souhaitez mais pas d'apitoiement.

Il y a eu un problème, certes. Mais il est réglé par la force des choses ("et le combat cessa faute de combattants"...)

Vous avez tou(te)s quelque chose à apporter à cette "communauté" alors, on oublie tout ça et on tourne la page. Ok ?

Free Hugs ?

9 octobre 2015 19h47
Tout cela était-il bien nécessaire ?
Pas de "C'est pas moi, c'est lui/elle". Pour se mettre dans un état pareil, il faut être deux...
Mon conseil du jour : Savoir jusqu'où on peut aller trop loin
Selon moi, ça fait longtemps que vous auriez dû vous éloigner pour souffler un peu (avant de revenir fringantes et calmées)
Trop de passion tue la raison.

Ah... Un autre truc : Si vous voulez du privé, envoyez vous des MP (si vous êtes bloquée, c'est que l'autre dit stop et le combat doit cesser) C'est chiant de devoir se connecter pour finalement voir qu'il n'y a rien de nouveau sous le soleil. Merci.

Ps : Vous pouvez m'engueuler, je ne répondrai pas. J'ai dit ce que je voulais et, dans mon monde, c'est suffisant

Bisous

7 octobre 2015 11h56
modifiée
7 octobre 2015 13h07
Moi, j'aime bien qu'on m'attribue des "j'aime"
entre écrire "j'aime bien ce que tu dis" ou cliquer sur un bouton, mon choix est fait (je suis un fainéant)

exemple : JP, j'aime bien ton choix de chanson. Les paroles de "this world today is a mess" sont très parlantes... heu... c'est moche comme phrase ça.... et qui va le prendre comment... bon... comment dire... ok, je clique sur "j'aime" il comprendra. Gain de temps, efficacité, productivité (mon boss, bizarrement, préfère que je n'en fasse pas des tartines quand je suis au boulot)

7 octobre 2015 11h45
aaaaaah... les filles, les filles, les filles...
au moins, mettez vous à poil dans la boue, ça sera plus marrant

OK... je sors

6 octobre 2015 10h49
[Partage d'expérience ON]
Segel vous l'a dit, on s'est bien pris la tête tous les deux. Ce n'est pas le seul avec lequel je me suis fritté. Il y a eu, avec plus ou moins de force, Jamy, Hélène, Maurice, Gonzo, Paka, Paddy (etc. ai-je envie de dire...)

Et puis un jour, je me suis dit : "Mais qu'est-ce que tu en as à foutre ? Tu ne joues pas ta vie là-dessus. Quelqu'un a dit quelque chose qui te hérisse ? On réagit bizarrement mal à ce que tu viens d'écrire ? Laisse tomber ! Tu n'as pas d'énergie à dépenser pour ça. Qu'importe si, bêtement, l'autre va penser qu'il a raison et toi tort. Tu sais ce que tu en penses au fond et seul ton égo pourrait en prendre un coup. Mais seul un imbécile pourrait penser que 'Pépé le Moko' c'est toi en totalité et non un avatar. Peut-on blesser un égo virtuel ? Seulement si tu le souhaites. Il suffit juste de prendre du recul et tout ça ne t'atteint plus."

Ça parait con comme ça, mais ça marche. Il y a toujours des sujets (ou des façons de les aborder) qui me mettent en colère. Je peux répondre, mais une fois seulement et, j'essaye, sans agressivité de ma part. Si ça part en cacahuète, je fuis. Lâche ? Hypocrite ? Vous pouvez le penser. Pour moi, c'est de l'adaptabilité au milieu et une volonté de me plier aux règles de vie en collectivité.

Je ne fuis pas le débat. Je fuis les dialogues de sourds. Je fuis les conflits personnels, les batailles d'égo, le "oui ben moi je...". Mais je peux éventuellement défendre une personne que je juge agressée sans raison. Mais je le fais qu'après avoir constaté que l'agressé(e) est débordé(e) par la situation. J'essaye de ne pas rajouter de tension à celle qui existe déjà. D'autant que, souvent, la personne qui se retrouve alors en infériorité numérique a tendance à claquer la porte.

Je ne m'en porte que mieux. Je ne laisse plus parler ma colère (enfin, disons que je me soigne). J'essaye d'attendre qu'elle soit tombée pour éventuellement répondre.

Parfois, quand la colère est très forte, il m'arrive d'ouvrir mon traitement de texte, de taper rageusement une réponse bien sentie. Je l'enregistre et je laisse passer. J'ai dit ce que j'avais à dire et je peux toujours l'envoyer quand même plus tard (ce que je ne fais jamais).

Il paraît que ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort. Il y a quand même des victoires à la Pyrrhus. Ce sont même les plus fréquentes sur le net car on a tendance à aller plus loin que dans la réalité, exacerber ses sentiments. Mais tout ça est tellement futile au fond...
J'ai décidé, et c'est moi seul que ça implique, je ne veux donner aucune leçon, que je n'avais pas à vous plaire ni à vous imposer mon point de vue ou ce qui est du domaine de mes convictions.

L'auberge est un espace de liberté et ça veut donc dire que vous pouvez faire ce que vous voulez : Partez, restez, foutez vous sur la gueule... Vous êtes libres.
Quand ça m'est arrivé, j'ai finalement trouvé ça inutile, dans le meilleur des cas, puéril et ridicule dans le pire (ce qui n'est pas des plus agréable et ne flatte pas l'égo non plus).

Mon conseil (car je voulais finalement en arriver là) :
Respirez un bon coup. Sortez de chez vous faire un tour. Amusez vous. Revenez quand vous êtes calmées et voyez si ça mérite toujours autant de passion. Et si vous avez quelque chose à ajouter, veillez à ce que ce soit constructif et non destructeur. Si vous ne le faites pas pour vous, faites le pour nous.
[Partage d'expérience OFF]

5 octobre 2015 12h03
Merci JP

Puisqu'on est dans le p'tit dej, mes dix thés :

Si l'on se réunit dans un salon, c'est pour s'y délasser des soucis et des devoirs de la vie ; apportez-y donc de l'indulgence et l'abnégation de vous-même ; l'esprit social n'a pas de plus grand ennemi que cette susceptibilité tracassière, fille d'un amour-propre insatiable, et toujours prête à se cabrer au moindre mot qui lui déplaît. Sans le désir de se plaire mutuellement, à quoi bon se voir, à quoi bon se chercher? Mieux vaudrait assurément la solitude.
Goswin Joseph Augustin, baron de Stassart (Pensées, maximes, réflexions, observations - 457 in Oeuvres complètes, Firmin Didot, 1855)

Le but de la dispute, ou de la discussion, ne doit pas être la victoire, mais l'amélioration.
Joseph Joubert (Carnets t.2, p.393, nrf/Gallimard, 1994)

Il est doux de s'entendre, mais il est parfois très sain de se disputer.
Anne Barratin (De Vous à Moi, p.102, A. Lemerre, 1892)

3 septembre 2015 16h05
Allez hop !
faites vous un bisou !!

3 septembre 2015 14h44
Un petit jeu très instructif

Perso, j'ai fini avec 900.000.000 $ nets d’impôts. Mais qu'est-ce que je vais bien pouvoir faire de tout ce fric ?

http://leprixapayer.radio-ca...

26 août 2015 10h11
Jardinage

Et pourquoi pas ?
http://www.demotivateur.fr/a...

19 août 2015 09h26
J'ai vu cet été que Patrick Hernandez se faisait encore 800 à 1500 € avec les rediffusions de son tube "Born to be alive"... par jour !!!!

Il faut croire que les gens n'ont que ces références en matière de tubes festifs. C'est ça ou Patrick Sébastien et ça, les gens l'assument peu.

Il ne faut pas oublier "la chenille", "à la queue leu leu", "la danse des canards (remixée ou non)", "Allez viens boire un p'tit coup à la maison", etc.
J'ai découvert une petite nouvelle qui, je suis sûr, à de beaux jours devant elle : "Les pouces en avant"

Comme c'est, dès sa sortie, kitch, boubourse, sans réelle prétention et populo, c'est donc intemporel et sa explique leur longévité.

Pour ceux que tu cites, ce sont les tubes dansants qui sortaient quand les quadra quinqua étaient jeunes. Quand ce sont des fêtes organisées pour tous les âges, pour cette cible, on passe ces morceaux.

Un "DJ" qui passerait du "Pink Floyd", du "Ange" ou du "Klaus Nomi" par exemple, ne contribuerait pas beaucoup à l'usure du parquet. Pourtant, c'est ce que j'écoutais quand j'étais jeune

19 mai 2015 11h26
Zoé m'a dit que sur ton île, c'était ton anniversaire. Et, comme Robinson, j'ai cru Zoé donc me voilà pour te souhaiter un très bon et très joyeux anniversaire.



11 mai 2015 11h27
Que c'est puéril
Paddy et Maddy, vous noterez que quand vous ne faites pas dans l’extrémisme, vous n'obtenez que des commentaires gentils de personnes qui ne demandent qu'à aider et rendre service. Tirez-en les conclusions que vous voulez, gargarisez-vous de nous avoir trompé. Jubilez si vous le souhaitez, chacun place sa fierté ou il veut (peut ?). Cependant, je vous laisse réfléchir à ceci : Pensez-vous sincèrement que ce genre d'attitude vous rendra meilleurs à nos yeux. Peut-on réellement restaurer une confiance en la bâtissant sur un mensonge ?
Vous me direz que ce n'est que de l'humour mais, selon moi, l'humour qui ne fait rire que son auteur n'en est pas.
C'est sûr, vous nous avez bien eu... honte à vous ! Au final, on risque juste d'être moins spontanés, plus méfiants. On aura un doute en accueillant des nouveaux : "ne seraient-ce pas Paddy et Maddy qui nous font encore une de leurs 'blagues' ?"

En plus, comme toujours, l'innocence trinque. Laura, pleine de doutes en ce moment, se retrouve sur la sellette et éclaboussée par cette 'plaisanterie', obligée de se justifier (en voilà une blague qu'elle est bonne !)

Ce n'est que mon avis, mais je trouve ça petit... très petit.

29 avril 2015 15h58
Corrigé

29 avril 2015 09h59
Désolé pour toi à propos de Coquillette.
Dès qu'on établit une relation, qu'on s'investit, ou même simplement qu'on regarde vivre quelque animal que ce soit, sa perte n'en est que plus grande.

RIP Coquillette. Tu étais une brave poule.

29 avril 2015 09h51
En vrac, à la volée, non exhaustif :

Si tu l'appelles à n'importe quelle heure, et qu'il/elle décroche et t'écoute,
Si tu penses immédiatement à lui/elle quand tu as un truc à raconter,
S'il/elle ne te juge jamais,
Si tu n'as pas peur de lui laisser voir tes défauts,
S'il/elle trouve toujours les mots qui réconfortent ou les silences nécessaires,
Si tu le/la retrouve après une longue absence avec la même complicité que tu aurais si tu l'avais quitté(e) la veille,
S'il/elle connaît tes besoins avant tes envies,
Si tu sais pouvoir tout lui dire,
Si le simple fait de le/la voir soulage tes peines,
Si tu ne te sens jamais seul(e) par le simple fait que tu sais qu'il/elle existe et est là quelque part,
Si tu sais et qu'il/elle sait qu'il n'y a rien à prouver entre vous,
Si ce qu'il/elle te donne, l'est fait sans aucune arrière pensée, ni même espoir de retour,
Si tu le/la considère comme un membre de ta famille,
Si tu le/la considère comme ton égal(e),
S'il y a de part et d'autre plus d'estime que d'admiration,
Si tu sens que vos âmes sont liées mais qu'il ne vous viendrait jamais à l'idée que vos corps le soient,
S'il/elle ne tient aucune comptabilité des faveurs qu'il/elle t'a fait, ou des services qu'il/elle t'a rendu,
S'il/elle sait, sans qu'il soit besoin de le dire, que tout cela est réciproque,

C'est un(e) ami(e).

24 avril 2015 09h19
modifiée
24 avril 2015 09h20
"l'incertitude, l'indécision et le doute, ces trois morceaux de la même croix." disait Georges Picard
Une indécision est toujours mal vécue. Par définition, c'est une torture mentale à laquelle on doit faire face.
Il y a rarement de jugement objectif car les choix proposés dépendent de trop de paramètres personnels.
Comment t'aider ? Prends du recul. Pèse le pour et le contre de chaque possibilité. Pas seulement à court terme. Essaye de voir le plus loin possible.
Un choix peut être très lourd et difficile au début mais ouvrir la voie au bonheur plus tard.
Ramène tes choix à des besoins et non des envies.
Tu nous dis que ton choix repose sur le fait de partir ou rester. Mais d'où ? Tu parles de ton couple, de ta ville/région/pays, de ton boulot ? C'est vague...
Quand tu auras fait passer ton problème au jugement de ta raison, regarde dans ton coeur et vois si le choix n'y était pas déjà présent.
Il arrive qu'une décision paraisse difficile à prendre mais qu'au fond elle soit déjà prise. On s'entête à ne pas vouloir le voir et c'est là qu'est le dilemme.

23 avril 2015 17h47
@Tinou : J'ai mis un "H" à "Homme", c'est donc l'espèce (dont tu fais partie) et non le genre

@Lili : Je ne suis pas complètement d'accord avec le premier lien. La procrastination n'est pas de l'indécision. Je sais exactement ce que je dois faire mais je le ferai demain
http://fr.wikipedia.org/wiki...

@Lalo : ... mais non... t'essayes plein de trucs, c'est différent.

@Fanfan : En tout cas, n'hésite pas à revenir donner plus de détails (surtout, si tu veux qu'on t'aide)

23 avril 2015 13h06
modifiée
23 avril 2015 13h07
La vie est faite de choix.
Si c'était facile, ça se saurait

Je ne suis pas souvent indécis. Il y a toujours un moment où, quoi qu'il arrive, il faut se décider sinon on ne progresse jamais.

Je préfère me tromper et revenir en arrière que de stagner par indécision.

"Un grand Homme n'est pas quelqu'un qui ne tombe jamais. C'est quelqu'un qui se relève toujours."

ps: Ce n'est pas la peine de CRIER

22 avril 2015 08h53
Ça pourrait se faire Val...
Surtout que ça à l'air d'aller beaucoup mieux, toi.
Ça fait super plaisir, on remarque la différence et je préfère largement quand tu laisses parler ta sensibilité plutôt que quand tu cherches à la masquer derrière les vapeurs de CH3-CH2-OH ( clin d'oeil au chimiste que tu es)

PS : Pour les 12 chats, moi, je te crois. Donc "personne" me semble prématuré

20 avril 2015 09h00
Comme les chats ont une certaine tendance à la dégradation de bien privé (tapisserie, rideaux, chaises, etc.), tout cela finit par coûter un peu d'argent en réparations.
Donc, je confirme : Quand le chat n'est pas là, les sous rient.

Bienvenue Nilla (le chat n'est pas ici... ni là )

20 avril 2015 08h55
Bon anniversaire Jean
J'suis en retard mais c'est pas grave, hein, dis ... ?

15 avril 2015 10h48
L'ennui est un luxe que je ne peux pas me permettre

15 avril 2015 10h41
Pensez-vous que je suis encore plus dingue que vous ne le croyiez ??????
Tu nous aurais dit que tu voulais devenir gogo danseuse, j'aurais sans doute dit "Dingue ! Fais toi plaisir mais Dingue !!!"
Mais là...
Tu es cohérente. Tu as acquis de l’expérience et tu veux la valoriser. Je dis Bravo !
Fonce ! C'est cool et je suis content que tu aies pris cette décision. J'ai entièrement confiance en ta capacité à réussir.

14 avril 2015 17h51
J'espère que ce n'est pas mon dernier post qui te fait dire ça.

Bien sûr que tu dois rester ! Tu ne vas quand même pas fuir à la moindre petite contradiction ou opposition ?

Il n'y a pas d'attaque personnelle. Il y a des attaques sur les idées exprimées mais c'est aussi comme ça qu'on progresse.

On dit les choses. Si ça soulève question ou débat, on se justifie (ou pas - on est libre)
Mais on ne joue pas sa vie et ce n'est pas toi qui est jugé, ce sont tes propos. Ce n'est pas pareil.

Pas d'affolement, tu en verras d'autre et on a toutes et tous mangé notre pain noir un jour.

14 avril 2015 11h03
Pas vraiment Ma "ligne idéologique" n'est pas figée. Ce n'est pas elle qui détermine mes convictions mais l'inverse. De plus, elle m'est personnelle et il ne s'agit pas de "la ligne du parti" (j'ai un (petit) rapport conflictuel avec l'autorité et on ne me dicte pas ma ligne de conduite si facilement ).

"Le sage cherche la vérité toute sa vie. L'imbécile, lui, l'a déjà trouvée"

13 avril 2015 14h12
modifiée
13 avril 2015 14h16
Quand on parle de religion ou de politique, on se situe dans l'intime, dans la conviction ou l'idéologie.
Du coup, les gens ont un mal fou à prendre du recul et à simplement analyser ce qui se dit, sans pathos et sans avoir l'impression que tout argument contradictoire est une attaque personnelle.
C'est pour ça que j'interviens rarement sur ce genre de sujet. Mais cela ne m'empêche pas de me renseigner à droite ou à gauche (et je ne parle pas d'hémicycle).

Encore que la religion soit à part car les protagonistes parlent au nom d'entités qui ne s'expriment pas elles-mêmes. C'est la foi. Ça ne se discute pas, selon moi. C'est l'affaire de chacun et ça ne regarde personne (c'est pour cette raison que j'exècre le prosélytisme)

Mais en politique, on a des leaders d'opinions. Ils s'expriment. Ils agissent. Facile dans ces conditions d'argumenter avec des faits.
Si j'argumente en disant qu'un parti défend telle ou telle valeur, je dois pouvoir mettre des faits en face qui le prouvent. Ce n'est pas parce que son leader a dit qu'il les défendait que je peux prendre ça comme argument.
Ce ne doit jamais être suffisant. D'autant qu'en campagne, on a souvent droit à "si je suis élu(e), je défendrai cette valeur". Pipeau ! Si c'est une valeur à laquelle tu tiens vraiment, tu la défends déjà et tes actes sont là pour le prouver.

Malheureusement, la politique est lucrative. C'est la foire aux intérêts, c'est la soif du pouvoir.

J'ai mes valeurs. Elles ne me sont pas dictées par une couleur politique. Je ne me dis pas, par exemple, "je suis de gauche donc mes valeurs sont de gauche".
je les connais et les reconnais quand on en parle.
Certaines sont plus importantes que d'autres. Selon ce que j'y mets, je suis capable de compromis ou non.
Si quelqu'un ne défend pas les mêmes valeurs que moi, je ne cherche pas à lui dire qu'il ou elle à tort. Je peux s'il ou elle le souhaite, lui exposer mes valeurs et écouter les siennes. Je ne cherche pas à lui dire en ça, qu'elles sont meilleures. S'il les juge meilleures et les adopte, je n'en tire aucune fierté. Je laisse le choix au gens de défendre ce en quoi ils croient.

De la même façon, si on m'expose de nouvelles valeurs ou façon de les voir, je peux les intégrer aux miennes si je les approuve. Et pourquoi pas si ça me parle ?
Mes valeurs sont le fruit de ma vie, mon passé, mon présent et mon espérance de futur.

Je ne vis pas à gauche sous un gouvernement de gauche, ni à droite sous un gouvernement de droite. Je vis, tout simplement et, jusqu'à présent, je n'ai pas de difficulté à respecter mes valeurs.

Quand il s'agit d'élire quelqu'un, je regarde ce qu'il propose et si ça ne va pas à l'encontre de mes valeurs. Je ne vous cache pas que je n'ai jamais trouvé un candidat qui les réunisse toutes.
J'en retrouve un peu dans plusieurs candidats. C'est là que les compromis entrent en jeu. Quand vraiment je ne trouve personne, je vote blanc.

Souvent, je trouve des gens qui défendent des choses auxquelles je crois mais si c'est en s'appuyant sur des valeurs qui ne me conviennent pas, je ne les suis pas.

Le front national, puisque c'est le sujet de la polémique et comme l'a déjà dit Segel, pose souvent de bonnes questions. C'est dans les réponses que nous ne sommes pas d'accords.
Quand il obtient les pleins pouvoirs, localement pour l'instant, ses actes ne correspondent pas aux valeurs que je défends. Ils prouvent qu'on ne construit rien de bien solide sur la haine et la peur. C'est du très court terme et un miroir aux alouettes.
Ils occupent la case du "contre" en politique et, de ce fait, récupèrent les voix de celles et ceux qui ne se retrouvent pas dans les autres partis. C'est également dû au fait qu'ils n'ont eux-même, jamais vraiment occupé les places des autres partis et donc montré qu'ils ne valaient pas mieux.
Certaines choses qu'ils disent font extrêmement peur et si certain(e)s sont capables de compromis vis-à-vis de ça, ce n'est pas mon cas.
En conclusion, si certaines choses prônées par le FN sont défendables, d'autres en revanche, sont pour moi rédhibitoires et font que je ne leur laisserai jamais ma voix. Je ne stigmatise pas ceux qui adhèrent à ces idées. Je ne les connais pas. Je ne connais pas leur passé, leur vie et ce qui a forgé leurs convictions. Je ne suis pas d'accord avec eux et alors ?
Je suis prêt à expliquer pourquoi. Je les écoute et s'ils m'écoutent sans chercher à me dire que leurs idées sont meilleures (laissez moi juger par moi-même) et bien, on peut débattre et échanger. Ça m'aidera à mieux les comprendre et vice-versa.

Ne me dites pas, par exemple, "l'immigration est un problème" mais dites-moi ce qui vous a amené à cette conclusion et voyons si au final, j'arrive à la même ou non.

Débattre est échanger des idées et non, comme les débats télévisés nous ont appris à le faire, gueuler plus fort que l'autre.

13 avril 2015 12h13
Mais les gens ne sont ils pas libres de gaspiller ?

Je n'aimerais pas le penser. C'est le rapport que l'on a vis à vis de la ressource et donc vis à vis de la planète qui me gène. Elle ne nous appartient pas.

Gaspiller signifie s'en foutre or c'est une attitude qui conduit à l'impasse (et donc au mur)

Il n'est pas exclu que dans un avenir pas si lointain, les zones disposant de telles ressources soient rares et je préfère me dire que le fait de ne pas avoir gaspillé permettra à plus de monde d'y avoir accès plutôt que de me faire égorger (ou égorger quelqu'un) pour un litre de flotte. L’égoïsme ne fait pas partie de mes défauts et quand je me lave les mains, je ne m'en lave pas les mains.

Gaspiller signifie laisser perdre quelque chose que l'on sait être limité.
Quand l'eau sera devenue (comment ?) une ressource inépuisable, je ne ferai plus attention mais pour l'instant, je sais que ce n'est pas le cas alors je continuerai à faire attention.
D'autant que, je le répète, je ne suis pas propriétaire de la nappe phréatique ou des réserves d'eau douce mondiale. J'ai de la chance de vivre où ça n'est pas encore un problème et si mon comportement peut faire que ça dure longtemps, je n'hésite pas. Surtout qu'il n'y a aucun justificatif, si ce n'est l'habitude, au fait de laisser couler l'eau.

9 avril 2015 08h59
"Entre la violence et la non-violence je choisirai toujours la non-violence. Mais si on n'a plus le choix qu'entre la violence et la lâcheté, je choisirai la violence" - Ghandi

La violence est le premier argument pour les imbéciles et le dernier pour les autres.

30 mars 2015 11h07
Je l'ai toujours su JP...
Tant pis pour ta modestie.
Si tu me dis que tu n'as pas bossé sur les outils, le moteur et les fonctionnalités de l'auberge, je ne te croirai pas.
Il y a eu des périodes plus productives que d'autres mais il y a du boulot de fait, c'est sûr.

Merci JP.

30 mars 2015 09h58
Moi, j'ai trouvé ça plutôt drôle, l'intervention de Mike. Ce n'est pas vraiment agressif. C'est un conseil en passant.
Le mec crée un compte pour dire que le design du site ne correspond pas aux standards actuels.

Bon... à côté de ça, j'ai envie de répondre "Certes... Et alors ?". Il se gourre... il se gourre ! Il ne pouvait pas savoir le pauvre.

Ce site, finalement, est intemporel. Il ne se laisse pas piéger par les diktats d'une mode versatile et contraignante. C'est pire que ce que tu crois Mike : C'est fait exprès.
Ce n'est pas de l'ignorance, c'est du génie. C'est quand même le seul site "monochrome de Klein". Ça en impose si on sait voir. Tu crois que nous ne sommes pas à la page, mais en fait, nous sommes en avance. Tu subis la mode, nous la créons.
Tu arrives, tu jettes un oeil rapide et tu te dis : "Putain... un site frontpage. Il faut que j'aide ces malheureux". En fait, il y a un énorme boulot derrière et le génie réside dans le fait que ça ne se voit pas.

Nous sommes des gens qui attachons plus d'importance au contenu qu'au contenant. Moi, j'en suis fier. Aucune honte.
Ça marche très bien comme ça. Vive le fond ! Rien à foutre de la forme !

Le superficiel domine la toile. Un seul village résiste toujours à l'envahisseur. Une bande d'irréductibles Gaulois gavés de potion magique.

Yeahhhhhh ! C'est nous ça ! Tant mieux pour nous et tant pis pour ceux qui ont besoin d'un emballage plus coûteux que le cadeau pour être heureux.

Mike, reste un peu. Discute. Lis. Participe. Après, et seulement après, tu pourras dire ce que tu penses de l'auberge. C'est comme une géode : Tu ne vois qu'un gros caillou et tu passes à côté du coeur qui brille de tous ses feux.

A bon entendeur...

25 mars 2015 13h18
modifiée
25 mars 2015 13h56
Dis-nous Tinou...

Connais-tu une certaine Annie Versaire ?
Parce qu'il semblerait bien qu'elle ait rendez-vous avec toi aujourd'hui

Gros bisous et joyeux anniversaire jeune fille


19 mars 2015 12h19
Joyeux anniversaire Val

Cette nouvelle année pour toi, c'est celle où tu vas dominer tes vieux démons. On signe pour ça ?

On y croit et c'est tout ce que je te souhaite de plus beau (oui, je sais, c'est é-norme )

17 mars 2015 08h48
Je crois que je parle au nom de toutes et tous ici, pour dire que ce qui est le plus important, ce n'est pas l'étiquette politique (d'autant que certains n'en ont pas vraiment), mais plutôt l'ouverture d'esprit, le respect et l'argumentation.
Si tu possèdes ces trois valeurs, bienvenue ici. On va pouvoir échanger, dialoguer.
Ceux qui viennent ici pour faire du prosélytisme ne restent pas longtemps.
Autant on peut être pugnaces dans l'échange mais ouverts aux arguments de l'autre, autant on peut être butés si on a affaire à un monologue et à quelqu'un qui n'est pas prêt à se dire : "J'ai entendu tes arguments. Ils me font me poser des questions, ils sont justes, ils ne résistent pas à..., je leur opposerais ceux-ci, etc. (rayer la mention inutile)"

Les valeurs auxquelles nous croyons ne sont pas forcément l'apanage d'un parti politique ou d'une religion. ("Vous n'avez pas le monopole du coeur"). On aime les belles gens.

Et toujours ce fameux esprit critique opposé à l'esprit de critique...

Mais ce n'est que mon avis, même si je le crois (et l'espère) partagé.

PS : Sourire, on adore quand tu racontes ta vie. Elle est riche et enrichissante. Ne te prive surtout pas

16 mars 2015 14h07
Je pense que les plus dangereux sont ceux qui font le mal. Car c'est fait sciemment et il peuvent récidiver.
La lâcheté, si elle a des conséquences déplorables, n'est cependant pas vraiment voulue. Mieux, quelqu'un qui a été lâche dans une situation peut s'avérer courageux dans une autre car il n'a pas aimé et a eu honte de son attitude précédente.
En plus, c'est rejeter une faute sur qui n'est pas coupable de l'avoir commise et ce n'est pas vraiment acceptable.

Il y a une étude de psychologie, qui tend à prouver que plus on est nombreux à constater un méfait et moins on agit. On attend plus ou moins qu'un autre intervienne en premier. Au final, personne ne fait rien. C'est ce qui se passe quand quelqu'un se fait agresser dans le métro.

Nous sommes de plus en plus confrontés à ce genre de situations quand elles font la une des journaux. C'est aussi une manière de nous pré-conditionner à l'attitude à avoir le jour où nous-même y serons confrontés. Posons-nous la question : "Et moi, qu'aurais-je fait ?"

Le terrorisme est quelque chose de trop grand pour un seul individu et je pense qu'Einstein sous entendait "ceux qui les regardent sans rien faire et qui pourtant ont le pouvoir d'agir" et tout le monde ne l'a pas ce pouvoir.

16 mars 2015 09h49
modifiée
16 mars 2015 09h52
Les médias nous mentent... certes.
Je pense cependant qu'il faut distinguer les différents types de mensonges. Tous n'ont pas le même but.

Il y a le mensonge par omission partielle. C'est parfois le plus mesquin. C'est celui qui force les gens à avoir un regard particulier sur un fait d'actualité. Il oriente notre jugement et nous trompe pour nous faire adopter un point de vue. On va nous parler de "jeunes de banlieue" mais sans nous dire qu'ils s'appellent Gérard, Patrice et Christophe. L'information est partielle et c'est justement ce qui manque qui fait toute la différence. "Le chauffard a foncé dans la foule en criant 'Allahou Akbar' (mais en fait, c'est juste un mec mentalement dérangé et non un islamiste... mais ça, on ne va pas vous le dire)"

Il y le mensonge par travestissement de la réalité. C'est LE mensonge par excellence. On nous ment purement et simplement et tout ce qu'on nous dit est faux. "Le nuage de Tchernobyl ne passera pas sur la France", la grippe A, etc.

Il y a le mensonge par omission totale. On connait une info mais on ne vous la communique pas pour différentes raisons. On invoque la raison d'état (Tonton et Mazarine), le fait de ne pas perturber une opération de police en cours, etc. Dans certains cas, c'est justifié mais dans la plupart des cas, cela consiste juste à préserver une personnalité d'un scandale dérangeant ou à ne pas faire perdre la confiance qu'on veut que le public ait dans telle ou telle technologie. Ex : on ne parle pas des centrales nucléaires américaines qui partent en couille car on ne veut pas que les gens transposent sur les nôtres.

Il y a le mensonge "à l'insu de son plein gré". On ne vérifie pas ses sources car il faut toujours être le premier à donner LE scoop, le truc qui va faire le buzz. Du coup, on se retrouve à publier, et donc légitimer, une info totalement bidon. Le pire, c'est que l'info va tellement vite que le démenti passera sans doute inaperçu ou ne sera pas forcément cru car l'Homme est ainsi fait : "il n'y a pas de fumée sans feu".

Il y a aussi le mensonge par manipulation de la réalité. Le plus souvent, il est basé sur des chiffres. On peut faire dire ce que l'on veut aux chiffres et en plus, ça fait tellement vrai les chiffres. Ex : La Dette, le déficit de la Sécu, le chômage, etc.

La plupart des mensonges sont partisans car il est, comme tu l'as dit Jean, difficile de dire toute la vérité sur le mec qui signe tes chèques toutes les fins de mois.
Le net permet parfois de trouver des journalistes impartiaux, ayant une vraie déontologie. Le problème est que trop d'info tue l'info et qu'il est difficile de faire le tri dans tout ça.

L'information est une arme et un enjeu. La frontière avec la propagande est très mince. Le pouvoir est indissociable d'une bonne maîtrise de l'information et ça ne date pas d'hier.

Après, on a plusieurs cas de figure pour les gens aussi :

Il y a ceux qui prennent tout pour argent comptant. Le public "idéal". Ils tombent de haut quand un scandale n'a plus le choix que d'éclater. Et encore, ils doutent parce que "Claire Chazal disait le contraire la semaine dernière". Ils ne sont pas faciles à faire changer d'avis et malheureusement, comme ils n'ont souvent qu'une source d'information, c'est du pain béni pour ceux qui veulent les manipuler. En plus, ce sont les plus nombreux. Parfois aussi, c'est par flemme qu'ils ne vont pas voir plus loin. Ils ne se sentent pas forcément concernés et donc acceptent bêtement ce qu'on leur dit parce qu'ils vont s'empresser de l'oublier dès qu'on leur donnera une autre info.

Il y a ceux qui doutent de tout. Ils grossissent les rangs des complotistes. Au final, ils desservent ce en quoi ils croient. La masse de complots ridicules décrédibilise les véritables complots. C'est l'exact contraire du cas n°1. Comme dans bien des cas, les extrêmes le sont justement un peu trop (extrême).

Il y a ceux qui vérifient ce qu'on leur dit. Ils ont plusieurs sources d'information et, in fine, font du boulot de journalisme (du vrai). Le nombre augmente car les outils à leur disposition augmentent aussi. Ce sont souvent des gens instruits. On trouve chez eux des lanceurs d'alerte. Ils peuvent faire peur car leur esprit critique ne se laisse pas manipuler facilement.

Mais bon... ceci est mon analyse personnelle basée sur mon observation. Ce n'est pas exhaustif et ce n'est pas forcément LA vérité. Mais ce sont des cas de figure que j'ai déjà vu et je sais donc qu'ils existent.

13 mars 2015 19h12
Merci pour les infos. Je pensais justement à lui l'autre jour.

A propos de Portugal... quelqu'un a des nouvelles de Gonzo ?

19 février 2015 11h16

7 février 2015 18h39
modifiée
7 février 2015 18h41
Quand tu as effacé des fichiers, tu peux utiliser PC inspector File Recovery pour Windows. Pour un gratuit, il marche plutôt pas mal. Il récupère tous les fichiers sans s'occuper du type.
http://www.clubic.com/telech...

Dans certains cas, recuva marche pas mal aussi mais il a ses limites.
Download Recuva | Recover deleted files, free!

les autres, je ne les connais pas.

Maintenant... je ne te cache pas qu'après un formatage et surtout une ré-installation, c'est trèèèèès compliqué de retrouver quoi que ce soit car la plupart des données ont été écrasées par les nouvelles. Les clusters du disque ont sans doute été réutilisés et les logiciels qui permettent une récup sont payants. Maintenant, comme c'est le "palais du craqué", peut-être que ton gars à aussi une version craquée de ces logiciels. Si ton disque n'était pas défragmenté souvent, il y a plus de chance que certaines données restent accessibles.

Attention, si tu installes ce genre de soft sur le disque, tu vas aussi, avec ce programme occuper des espaces que tu ne pourras plus récupérer. Il faut, pour bien faire, connecter ton disque dur sur un autre ordinateur et installer le programme sur ce dernier. Un must : certains tiennent et se lancent depuis une clé USB

5 février 2015 09h07
Une discothèque plutôt sympa...

SONGSTUBE - Best music video with lyrics and info

Quelques heures d'écoute en perspective

3 février 2015 14h47
"Quelle saloperie d'informaticien" non !!! Quelle saloperie d'amateur !!
Un informaticien, un vrai, aurait sauvegardé en premier ton dossier "mes documents" avant tout autre.

Mais quoi qu'il en soit, pour un connard, c'est un champion !

Si ça se trouve (et c'est presque sûr), il t'a installé, en plus, une version craquée de Windows 7 et il doit aussi manquer un ou deux drivers essentiels.

Je hais cette engeance qui pourrit le métier et se dit informaticien parce que ça fait 10 ans qu'il est inscrit sur Facebook...

Ceci écrit, je compatis...

13 janvier 2015 16h57
L'Islam donne de la voix

Ça c'est un islam qu'un incroyant comme moi ne peut que respecter. Il était temps que l'Islam, le vrai, s'exprime, et certaines idées font plus de bruit que des balles.
Nous sommes Terriens et c'est déjà un premier point commun. Attardons-nous sur nos similitudes plutôt que sur nos différences qui ne devraient être là que pour nous enrichir et non pour nous diviser.

http://www.lemonde.fr/europe...

30 décembre 2014 17h48
"L'autre" est par définition, "celui qui n'est pas moi".
Je ne fais pas de différence entre ceux qui sont "classables ou prévisibles" et ceux qui ne le sont pas.

Je m'adapte, je ne cherche pas à comprendre. Je prends ce qu'on me donne et à moi de me démerder avec ça. Je n'attends rien de "L'autre" car je ne veux rien lui devoir non plus.

deux cas de figure :
1) on communique
2) on ne communique pas

Je chercherai toujours à communiquer mais si je ne suis pas compris ou entendu, je respecterai le désir de "L'autre" de ne pas rentrer dans ce jeu. En revanche, je resterai attentif aux éventuelles tentatives de la part de "L'autre" et je ne fermerai jamais ma porte.

Je n'ai pas douze mille façon de traiter les rapports humains. Dans l'ensemble, je procède toujours de la même façon : Je respecte, écoute et apprends. Ce sont dans les conclusions que s'installent des nuances. Ce sont des conséquences.

Plus je trouve "L'autre" compliqué et plus il m'en apprend sur moi même, sur mes limites, mes peurs et ma perception du monde.

J'aime "L'autre" mais je n'ai pas besoin de lui et c'est plutôt confortable.

Je suis un misanthrope extraverti et ça me convient tout à fait.

PS: si tu as FB, je te mettrai, si tu le souhaites, en relation avec une amie Asperger qui "milite" beaucoup contre les idées reçues et contre l'ignorance qui tourne autour de ce syndrome. C'est très riche d'enseignement.

30 décembre 2014 17h27
Victor Hugo « discours sur la misère » à l’Assemblée Nationale le 9 juillet 1849

«Je ne suis pas, Messieurs, de ceux qui croient qu’on peut supprimer la souffrance en ce monde, la souffrance est une loi divine, mais je suis de ceux qui pensent et qui affirment qu’on peut détruire la misère. Remarquez-le bien, Messieurs, je ne dis pas diminuer, amoindrir, limiter, circonscrire, je dis détruire. La misère est une maladie du corps social comme la lèpre était une maladie du corps humain ; la misère peut disparaître comme la lèpre a disparu. Détruire la misère ! Oui, cela est possible ! Les législateurs et les gouvernants doivent y songer sans cesse ; car, en pareille matière, tant que le possible n’est pas le fait, le devoir n’est pas rempli.

La misère, Messieurs, j’aborde ici le vif de la question, voulez-vous savoir où elle en est, la misère ? Voulez-vous savoir jusqu’où elle peut aller, jusqu’où elle va, je ne dis pas en Irlande, je ne dis pas au moyen-âge, je dis en France, je dis à Paris, et au temps où nous vivons ? Voulez-vous des faits ?

Mon Dieu, je n’hésite pas à les citer, ces faits. Ils sont tristes, mais nécessaires à révéler ; et tenez, s’il faut dire toute ma pensée, je voudrais qu’il sortît de cette assemblée, et au besoin j’en ferai la proposition formelle, une grande et solennelle enquête sur la situation vraie des classes laborieuses et souffrantes en France. Je voudrais que tous les faits éclatassent au grand jour. Comment veut-on guérir le mal si l’on ne sonde pas les plaies ?

Voici donc ces faits :

Il y a dans Paris, dans ces faubourgs de Paris que le vent de l’émeute soulevait naguère si aisément, il y a des rues, des maisons, des cloaques, où des familles, des familles entières, vivent pêle-mêle, hommes, femmes, jeunes filles, enfants, n’ayant pour lits, n’ayant pour couvertures, j’ai presque dit pour vêtements, que des monceaux infects de chiffons en fermentation, ramassés dans la fange du coin des bornes, espèce de fumier des villes, où des créatures humaines s’enfouissent toutes vivantes pour échapper au froid de l’hiver. Voilà un fait. En voici d’autres : Ces jours derniers, un homme, mon Dieu, un malheureux homme de lettres, car la misère n’épargne pas plus les professions libérales que les professions manuelles, un malheureux homme est mort de faim, mort de faim à la lettre, et l’on a constaté après sa mort qu’il n’avait pas mangé depuis six jours. Voulez-vous quelque chose de plus douloureux encore ? Le mois passé, pendant la recrudescence du choléra, on a trouvé une mère et ses quatre enfants qui cherchaient leur nourriture dans les débris immondes et pestilentiels des charniers de Montfaucon!

Eh bien, messieurs, je dis que ce sont là des choses qui ne doivent pas être ; je dis que la société doit dépenser toute sa force, toute sa sollicitude, toute son intelligence, toute sa volonté, pour que de telles choses ne soient pas ! Je dis que de tels faits, dans un pays civilisé, engagent la conscience de la société toute entière ; que je m’en sens, moi qui parle, complice et solidaire, et que de tels faits ne sont pas seulement des torts envers l’homme, que ce sont des crimes envers Dieu !

Voilà pourquoi je suis pénétré, voilà pourquoi je voudrais pénétrer tous ceux qui m’écoutent de la haute importance de la proposition qui vous est soumise. Ce n’est qu’un premier pas, mais il est décisif. Je voudrais que cette assemblée, majorité et minorité, n’importe, je ne connais pas, moi de majorité et de minorité en de telles questions ; je voudrais que cette assemblée n’eût qu’une seule âme pour marcher à ce grand but, à ce but magnifique, à ce but sublime, l’abolition de la misère!

Et, messieurs, je ne m’adresse pas seulement à votre générosité, je m’adresse à ce qu’il y a de plus sérieux dans le sentiment politique d’une assemblée de législateurs ! Et à ce sujet, un dernier mot : je terminerai là.

Messieurs, comme je vous le disais tout à l’heure, vous venez avec le concours de la garde nationale, de l’armée et de toutes les forces vives du pays, vous venez de raffermir l’Etat ébranlé encore une fois. Vous n’avez reculé devant aucun péril, vous n’avez hésité devant aucun devoir. Vous avez sauvé la société régulière, le gouvernement légal, les institutions, la paix publique, la civilisation même. Vous avez fait une chose considérable… Eh bien ! Vous n’avez rien fait !

Vous n’avez rien fait, j’insiste sur ce point, tant que l’ordre matériel raffermi n’a point pour base l’ordre moral consolidé ! Vous n’avez rien fait tant que le peuple souffre ! Vous n’avez rien fait tant qu’il y a au-dessous de vous une partie du peuple qui désespère ! Vous n’avez rien fait, tant que ceux qui sont dans la force de l’âge et qui travaillent peuvent être sans pain ! tant que ceux qui sont vieux et ont travaillé peuvent être sans asile ! tant que l’usure dévore nos campagnes, tant qu’on meurt de faim dans nos villes tant qu’il n’y a pas des lois fraternelles, des lois évangéliques qui viennent de toutes parts en aide aux pauvres familles honnêtes, aux bons paysans, aux bons ouvriers, aux gens de cœur ! Vous n’avez rien fait, tant que l’esprit de révolution a pour auxiliaire la souffrance publique ! Vous n’avez rien fait, rien fait, tant que dans cette œuvre de destruction et de ténèbres, qui se continue souterrainement, l’homme méchant a pour collaborateur fatal l’homme malheureux!»

Victor Hugo

17 décembre 2014 14h28
depuis l'antiquité, tu as deux motivations pour ça :
l'argent
Dieu

je sais, c'est affligeant. Surtout quand c'est Dieu car, quelle que soit la religion, Dieu est censé n'être qu'amour.

Au final, quelle que soit la cause, c'est surtout la bêtise qui l'emporte.

Dieu pardonne. Moi pas.

9 décembre 2014 08h50
Salut,

J'utilise Hubic. https://hubic.com/fr/

l'avantage, c'est que c'est OVH, c'est gratuit, tu as 25 Go et tu peux installer l'appli Hubic sur ton ordi et tu auras tes dossiers hubic à dispo comme si c'étaient des dossiers de ton ordi.

J'aime bien.

13 novembre 2014 12h11
Un truc super sympa et simple à faire

http://bridoz.com/graffiti-m...


30 septembre 2014 09h56
Du street art sympa

La réalité augmentée...
http://zinnart.com/

30 septembre 2014 09h34
Les poissons, on s'en fish ?

De superbes photos de poissons : quand le grand bleu ressemble au grand arc en ciel...

https://500px.com/bluehand

22 septembre 2014 08h58
"Entre minuit et l'aube, quand le sommeil ne veut pas venir et que toutes les vieilles blessures commencent à faire mal, j'ai souvent la vision cauchemardesque d'un monde futur dans lequel il y a des milliards de gens, tous numérotés et enregistrés, sans un éclair de génie nulle part, sans un esprit original, sans une personnalité éclatante, sur l'ensemble de ce globe surpeuplé."
J.B. Priestley

eux aussi sans doute...

18 septembre 2014 11h50
Tu veux nous dictaturer ?
En plus, c'est méchantiser Lili alors qu'elle n'est que gentillattitude.

A moins que ce ne soit qu'une coquinade de plus

18 septembre 2014 09h56
Académifier un mot ne se fait pas comme ça...
Il y a des commissions... et même, selon moi, depuis qu'ils ont accueilli Giscard, on peut même parler de "grosse commission"

Mais tu sais quoi ? On va néologiser à fond et ils seront bien obligés d'en tenir compte.
Si tu veux Petit-Larrousser ton mot, il y a deux critères à remplir :
"Le critère quantitatif -- plus un mot est populaire, ce qui est vérifié par le nombre d’occurrences notamment dans les médias--, et le critère qualitatif: le terme doit coller à l'actualité mais doit aussi pouvoir durer"

Pour la popularité dans les médias, on va faire monter les stats :
néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser, néologiser

5 septembre 2014 14h11
http://www.topito.com/top-ph...

4 septembre 2014 09h01
[erreur]
Certaines évidences méritent parfois d'être rappelées, ne serait-ce que pour rassurer quelqu'un qui, à un moment donné, se pose de légitimes questions.

exemple : Il est évident que l'on vit bien avec un diabète de type 1, aujourd'hui, j'en suis sûr. Mais lorsque j'ai appris que mon fils (6 ans à l'époque) en était atteint, j'ai pleuré et le ciel m'est tombé dessus.

C'est une chose de vivre avec une particularité, c'en est une autre que d'apprendre que l'on en a une.
[erreur]

4 septembre 2014 08h45
No comment

1er septembre 2014 10h02
modifiée
1er septembre 2014 10h03
Emma,

Ce n'est pas une tare !
Ce n'est pas quelque chose dont on doit s'inquiéter. C'est un plus mais ce n'est pas un handicap.
Au contraire. Il ne m'aurait pas déplu de voir les chiffres ou les lettres en couleur.
Mon seul truc à moi, c'est de voir le résultat apparaître quand on me propose un calcul. Ce qui est con, c'est que je ne fais pas complètement confiance à ce truc et je procède au calcul quand même (Toujours cet éternel manque de confiance en moi)

Tu sais, la synesthésie peut même s'assimiler à un un 6ème sens pour certains. En effet, les couleurs sont pour certains, un indicateur dont ils ont appris à tenir compte et qui ne les trompe pas.
Une couleur dérangeante est souvent confirmée par la suite.

Tu sembles presque inquiète de ce qui t'arrive mais je t'assure qu'il n'y a aucune raison de l'être.
D'autant que l'Emmanuelle d'aujourd'hui est la même que celle de la semaine dernière.

Pour ce qui est des tests de ton université US, c'est à toi de voir. Ça peut être amusant et instructif. J'aurai tendance à dire : "Pourquoi pas ?"

Si tu veux échanger avec d'autres personnes qui possèdent cette particularité, tu as le forum Mensa. Je n'y vais plus et je ne sais pas s'il est très actif mais ça peut donner des résultats.
Il y a une partie "non-membre" accessible à tous. http://www.mensa.fr/~forum/

Je peux aussi te donner des contacts FB de synesthètes.

Sinon, un article intéressant sur les gens intelligents : Comment les gens intelligents sabotent leur carrière
Ce n'est pas une généralité mais c'est assez vrai pour certain(e)s.
J'ai lu aussi un article un jour qui disait que les gens intelligents se faisaient souvent griller sur les entretiens d'embauche par des gens parfois même stupides mais ayant un ego et une confiance en eux inébranlables. Ils sont trop modestes et trop conscient de leurs qualités et défauts (et souvent objectifs et honnêtes vis-à-vis de ça) et donc, ils sont désavantagés par rapport à ceux qui se surévaluent.

Segel, je pense que tu n'auras pas trop de difficultés avec les tests Mensa. Pour info, ils ne donnent pas ton QI. Tout ce que tu sais si tu les réussis, c'est que ton QI est supérieur ou égal à 132. Il faut savoir que malgré ça, je ne me suis jamais senti supérieur en quoi que ce soit. Quand tu croises une personne qui a un QI indécent, tu te sens même petit. De la même manière, faisant le distinguo entre intelligence et culture, une personne au savoir immense me fait bien prendre conscience que l'humilité est une grande vertu et que la relativité n'est pas qu'un principe d'Einstein.

29 août 2014 08h37
Ça s'appelle la synesthésie. Je connais quelques personnes qui connaissent ça.
Je pense que Rimbaud en était atteint ce qui explique son poème Voyelles.
http://poesie.webnet.fr/lesg...

définition :
http://fr.wikipedia.org/wiki...

15 juillet 2014 23h48
Je suis un peu ça grâce à Djab (et à toi aussi) sur FB mais je suis tellement systématiquement au bord de la nausée et des larmes et tellement au delà de l'indignation sur ce qui se passe là bas que j'en ai même peur de basculer dans la haine.
C'est pour ça que je prends du recul pour ne pas faire d'amalgames indignes et pour digérer tout ça.
Si j'avais un quelconque pouvoir, je sais dans quel endroit j'aurais envie de l'exercer.

S'il existe un patrimoine mondial de l'humanité, ce qui se passe en Palestine est une honte mondiale de l'humanité.

Celle que devrait ressentir tout Israélien face à cette politique d'extermination et de spoliation et celle (que je ressens) de cette population mondiale qui laisse faire sans ne serait-ce que taper du poing sur la table.

15 juillet 2014 20h40
Moi, si j'étais vous, je commencerais par faire profil bas et je présenterais des excuses à JP (surtout après votre dernière campagne de "JP est un salaud" publiée sur QR)

Mais bon... C'est si j'étais vous. Mais vous n'êtes pas moi et je ne suis pas vous...

Sinon, comme cela a déjà été dit à maintes et maintes reprises, tout le monde peut trouver une place ici. Donc, re-bienvenue.

1er juillet 2014 09h44
Vidéo YouTube



On construit le monde de demain. Mais qui sont les architectes ?

30 juin 2014 11h08
Ligne éditoriale des journaux télévisés français

Intéressant de voir quelles sont les priorités d'actualités traitées par les journaux TV français.


26 juin 2014 09h40
modifiée
26 juin 2014 09h41
Un petit (50 Mo quand même) manuel sympa

20 juin 2014 09h49
modifiée
20 juin 2014 09h50
@Segel,
En même temps, n'est-ce pas un peu dans notre nature ?
Oui et non. L'Homme a une nature grégaire qui devrait le pousser vers les autres quoi qu'il arrive. Or, l'éducation et la culture (la différence de culture plutôt) font qu'il craint et fuit ce qu'il ne connait pas alors qu'il serait beaucoup plus simple et enrichissant que cela le rende curieux (ce qui est aussi dans sa nature pourtant).
Au lieu de voir les différences, on ferait mieux de voir les similitudes qui sont de plus, beaucoup plus nombreuses.

Peux tu attendre d'un bébé autre chose qu'une vision égo-centrée ?
Un bébé ! Un bébé est forcément dépendant et ce sont ses besoins qui le guident. Cependant, les jeunes enfants n'ont aucun souci à accepter l'autre, jusqu'à ce que leurs parents leur disent que c'est mal. Un bébé ne jugera pas une personne sur sa couleur, religion ou lieu de naissance. Tous les Hommes naissent donc égo-centrés car c'est une question de survie mais l’ethnocentrisme vient plus tard par le truchement de l'éducation. Mais c'est justement quelque chose qui peut être changé.

Le problème, à mon avis, est plutôt lié au fait que certains ne savent pas, partant de notre nature intime, construire pour aller au delà.
Ne crois tu pas Pépé ?

Je crois surtout que le connu rassure. Comme je le disais plus haut, notre nature intime nous pousse à rechercher la compagnie de nos semblables. C'est juste une question de perception qui limite notre définition de "semblable" à des détails insignifiants, toujours sur le principe qui consiste à partir du cercle le plus petit pour aller vers le plus grand. Or c'est dans les plus grands que se trouvent nos similitudes.

@Manouchka,
Ce qui pourrait vouloir dire aussi, que pour être ouvert aux autres et à autre chose que son quant à soit, il faut aussi être bien ancré quelque part! Non!?
Non, pas forcément. Gonzo a parfaitement raison. Pas de racine, pas d'attache et il est partout chez lui. Être ancré signifie être immobilisé. Je pense qu'il ne faut pas oublier d'où l'on vient car c'est ce qui nous a construit, mais il ne faut pas perdre à l'esprit que le plus important est où on va.
Mes parents ont déménagé tellement souvent quand j'étais petit qu'ils ont cassé chez moi ce sentiment d'appartenir à un endroit précis. Je n'appartiens à aucun endroit et donc je peux m'approprier tous ceux où je vais.
J'ai de la tendresse pour le marais poitevin d'où je suis originaire mais ça s'arrête là. Je ne me sens pas prisonnier de ce lieu. Il fait partie de ma vie comme d'autres le font aussi. Je cherche à apprendre de l'autre et forcément j'en adopte des comportements qui ne viennent pas remplacer mais compléter ceux que j'avais déjà.
C'est dommage qu'Hélène ne vienne plus car elle a habité tellement d'endroits différents que je suis sûr qu'elle comprendrait ce que je veux dire.
S'intégrer et être ouvert ne veut pas dire perdre son identité, mais plutôt la développer.

Si j'habitais à Dakar, je ferais tout pour être un habitant de Dakar et non un français qui habite Dakar.

Enlevons nos oeillères, on a tout à y gagner.

Mais bon... j'ai peut-être tort mais je ne m'en porte pas plus mal à penser ça, donc, jusqu'à preuve du contraire, je garde cette philosophie de vie.

19 juin 2014 20h35
Un jour nous serons tous citoyens du monde ...

un jour... un jour... Nous le sommes toutes et tous déjà ! Certain(e)s ne le savent pas encore, c'est tout et c'est dommage.

Je ne me considère pas autrement.

pourquoi attendre que ce soit officiel ?

C'est avant tout un état d'esprit et j'y adhère.

Je vois même plus large : je suis avant tout Terrien, comme tout ce qui est vivant sur cette planète.

L'Homme a une vision étriquée, ego-centrée et ethnocentrée. Il commence toujours par de petits cercles qui partent de son nombril avant de les agrandir selon les circonstances alors qu'il serait tellement plus salutaire qu'il fasse l'inverse. Mais non, c'est MA maison, Puis MON quartier, puis MA ville, puis MON département, puis MA région, etc, jusqu'à MA planète qui arrive beaucoup trop loin dans ses priorités pour être préservée.

Comme on fait tout à partir de ce centre de coeur, il est logique qu'on cherche à le recréer dès qu'on s'en éloigne. Du coup, l'intégration est impossible car on ne se sent pas chez soi si tout n'est pas identique à cette vision qu'on a de ce centre.

Tout cela est tellement affligeant.

Par expérience, je sais que même si on garde un attachement particulier à là d'où l'on vient, on est tout à fait capable de faire des racines quelque soit l'endroit où l'on est.

19 juin 2014 16h38
PS: "pourquoi les services publics ne faisaient pas pression sur leur hiérarchie en offrant la gratuité du service aux usagers au lieu de le faire en paralysant tout le système"

Je me doute bien que c'est illégal mais ce serait plus sympa quand même (comme quand les gars lèvent les barrières d'autoroute pour protester)

19 juin 2014 16h14
Moi, vous me connaissez, je suis un peu bête parfois... Je me suis toujours demandé pourquoi les services publics ne faisaient pas pression sur leur hiérarchie en offrant la gratuité du service aux usagers au lieu de le faire en paralysant tout le système.
Le manque à gagner serait beaucoup plus important pour la direction et les usagers seraient du côté des grévistes et non contre eux.

Quant au fait que l'on veuille casser le droit de grève, pour ce qui est du privé, ça fait longtemps que c'est fait. Pour que des salariés du privé se mettent en grève, il faut que la situation soit désespérée et que leurs emplois soient menacés. C'est quand il n'ont plus rien à perdre. Pour que le secteur public se mette en grève, il faut que leurs demandes ne soient pas acceptées par la direction, un truc qui arrive tous les jours dans le privé sans qu'il y ait une grève pour autant.

Le décalage est énorme et cette injustice se rajoute à celle qui fait qu'en plus, ce conflit va empêcher l'usager d'aller bosser et va, soit lui faire perdre du salaire, soit des jours de congés, tout en pensant qu'il n'aura jamais le quart de ce que ces gars qui font grève ont déjà (que de soit vrai ou faux).

Du coup, je réponds à ma première interrogation : Qu'est qui va faire qu'il vont finir par obtenir gain de cause (car ça va finir comme ça) ? Leur voix ou celles des usagers en colère qui exigeront qu'on mette fin à cette grève ? Du coup, il ne proposent pas la gratuité car ils perdraient ces voix et ce levier. C'est donc qu'ils se servent des usagers contre leur gré pour obtenir d'une tierce partie que leurs exigence soient respectées. C'est pas loin de la prise d'otage quand même. Mais aucune chance qu'on assiste au syndrome de Stockholm sur ce coup-là.

17 juin 2014 00h00
modifiée
17 juin 2014 00h03
Pas seulement...
Sans mon téléphone, j'aurais mis plus de temps.

---------
Ben oui Lurette
je voulais changer l' affichage

16 juin 2014 10h23
Laura, je suis sincèrement désolé de ce qui t'arrive. Tu ne méritais pas ça tout comme cet homme ne méritait assurément pas de mourir. Ce n'est pas la vie qui est injuste, c'est la mort. La vie, malgré tout, est belle même si elle est parfois trop courte.

Tout ce que je peux te promettre, c'est qu'avec le temps et l'aide de tes amis, la douleur va s'estomper et les souvenirs vont rester. Le vide créé par l'absence de l'autre, lui, mettra sans doute plus de temps à se combler et peut-être ne le sera-t-il jamais complètement. Mais il est trop tôt pour aborder tout ça. Tu dois laisser parler ta douleur afin qu'elle s'évacue petit à petit. Le chagrin doit s'exprimer et c'est maintenant le temps des larmes. Ne les retiens pas. Nos épaules sont aussi là pour les recueillir.

Difficile de te dire quoi que soit qui ne soit pas prématuré, maladroit et même parfois inapproprié. Nous ne vivons pas ce que tu vis et toi seule sait ce qui te fait du bien en ce moment ou pas.

Mais sache que tout ce que nous disons n'est guidé que par un seul et unique but : te soutenir afin que tu traverses cette épreuve sans jamais te sentir seule avec la douleur qui te ronge.

On t'aime et je suis sûr que nous ne sommes pas les seuls. N'hésite pas à nous solliciter. Tu ne ne nous dérangera pas et même, tu nous feras plaisir car tu nous donneras l'occasion de t'aider et on se demande justement comment le faire de manière efficace.

Un gros câlin.

11 juin 2014 00h09
Toi aussi tu nous manques.
Le problème, c'est que quand tu es là, tu nous manques aussi.
Ça m'ennuie de voir que soit tu énerves, soit tu es ignoré. Je suis sûr que tu peux obtenir mieux que ça.

Ça va comment ce soir ? Tu contrôles ou tu baisses les bras ce soir aussi ?

La fuite et le ménage par le vide ne sont pas des solutions. Tu ne t'attireras que souffrance et solitude, ce qui te feras un prétexte pour baisser les bras encore plus.

Tu prends le mauvais chemin. Fais demi-tour et rejoins les vivants.

Le message de tout le monde est unanime : Aide-toi et tes amis t'aideront.


"Un grand Homme n'est pas quelqu'un qui ne tombe jamais, c'est quelqu'un qui se relève toujours"

10 juin 2014 20h32
Tu as très bien fait.
Comme ça, elle sait que tu maitrise PowerPoint et pas que tu dis maîtriser PowerPoint. C'est ce qu'elle voulait savoir.
en plus, se la péter, en recherche d'emploi n'est pas un handicap, bien au contraire.

2 juin 2014 09h23
Je suis juste assez étrange pour avoir envie de répondre au jeu d'Emma...
Je dirais donc que tu t'es fait un dessin au henné dans la paume de la main gauche.
Mais, soit parce qu'il ne te plaisait pas soit parce qu'il avait fait son temps, tu as voulu l'effacer.
Pour ce faire, tu as frotté très (trop) fort ta paume gauche avec ton index droit. Mais c'est tenace ces petites bêtes...
Il en est résulté une ampoule sur l'index et une autre dans la paume.

Si ce n'est pas ça, ça aurait pu, non ?

28 mai 2014 11h07
Billevesées ! Il eût plutôt fallu que nous déconstitutionnalisassions le terme car c'est bien anticonstitutionnellement parlant qu'on peut l'interdire et constitutionnellement qu'on ne peut le faire.

27 mai 2014 23h16
Donne nous l'adresse du blog Sourire. Ça nous aidera à t'aider