Contributions appréciées par ♫ Panther ♪ :

10 contributions

30 novembre 2018 11h20

Jean-Pierre ♫
Ayant une sœur alcoolique depuis 25 ans (qui plus est c'est ma petite sœur de 12 ans plus jeune que moi, ce qui accentue l'affection que j'éprouve pour elle), je ne puis qu'approuver pleinement Pépé et n'ai rien d'autre à ajouter concernant les alcooliques en général ce qui inclut Valéry.

30 novembre 2018 10h02
modifiée
30 novembre 2018 10h22

Pépé le Moko
Val et ses démons... tout un poème.
Pour ma part, j'ai pris un recul immense sur son cas, car le retour sur investissement a toujours été désastreux.
Je lui souhaite tout le bonheur du monde et je prendrai plaisir à le lire de nouveau ici. Qu'il sache cependant que je n'aurai aucune pitié pour Mister Hyde. S'il plonge, je le laisserai se noyer... ou remonter (en préférant ce second choix) mais je ne le plaindrai pas ni lui trouverai de circonstance atténuante. J'ai remarqué par le passé que la méthode "Oh mon pauvre. Je te plains. Prends ma main" ne donnait aucun résultat et avait même la tendance inverse de le conforter dans ses addictions ("comme ça, on s'occupe de moi"). Le coup de pied au cul, ne fonctionne pas non plus. Sinon celui de Syl aurait dû le sortir de là plus que tout au monde.
J'opte pour l'observation clinique, sans jugement, sans pathos.
Je ne réponds pas à ses provocations alcoolisées mais interviens si cela va trop loin.
Je n'étais pas encore modérateur lors des précédents échanges houleux (ça ne devait pas être simple de l'être) mais je me souviens cependant d'avoir pris son parti contre Paprika qui ne le supportait plus, à jeun ou saoul. Car j’estimais justement que la distinction avait de l'importance.
Le pire ennemi de Val, c'est Val. Mais paradoxalement, je crois que le seul sauveur de Val ne pourra jamais être quelqu'un d'autre que lui (ou la contrainte physique et le sevrage forcé, ce que je ne lui souhaite pas)
Tout ça n'est finalement qu'une fuite et une déculpabilisation : "Saoul, je ne pense plus ou, au moins, je ne m'en souviens plus" et "Ce n'est pas de ma faute, j'étais saoul"
Mais la vie, ça colle aux basques. Si tu la fuis, dès que tu arrêtes, elle est derrière toi, sans changement, aussi difficile. Il n'y a rien d'autre à faire que de l'affronter. Si on perd, et bien, on recommence et on agit. On est acteur.
J'ai fait du kayak et dans, le courant, si tu te laisses porter (ce qui parait très facile), tu ne vas pas où tu veux et tu te cognes partout et les écueils sont des pièges que tu ne peux éviter. Si tu ralentis ton bateau, tu risques te te faire percuter par l'arrière par les objets flottants dans le courant et l'effort est considérable et l'attention requise est énorme.
La seule solution, c'est de pagayer. Tout le temps. Il n'est pas nécessaire d'aller vite, il faut juste aller légèrement plus vite que le courant. L'effort est finalement minime et tu restes maître de ta direction et tu évites les obstacles.
Inutile de vous dire quelle analogie je vois là dedans...
Val, si tu me lis : Pagaie ! Pagaie tout le temps. Même si tu n'es pas gai, pagaie ! Et n'envisage même pas de rester sur la berge. Ce n'est pas une vie que de laisser les choses se dérouler sans avancer avec elles ni pouvoir interagir. La vie est si belle quand tu regardes autre chose que tes pieds ou derrière toi.

2 mai 2014 09h42

Pépé le Moko
"Passé un certain temps, l'enfant ne peut plus qu'en partir [de la famille] : il lui est devenu impossible de s'y faire entendre - parce qu'on le connaît trop et parce qu'on ne le connaît plus."
Christian Bobin (La folle allure)

18 avril 2014 15h46

Pépé le Moko
On ne les distribue pas, voyons !!!
On les cache (dans le jardin ou dans la maison) et les enfants les cherchent le lundi de Pâques

petit conseil : on n'oublie pas où on les a planqué pour éviter de se faire envahir plus tard par des fourmis qui, elles, les trouveront à coup sûr... ou pour éviter qu'un jour futur, souvent lointain (voire trèèèèès lointain) , tu voies ton gosse en train de manger du chocolat et pour éviter la syncope que tu risques d'avoir quand il te dira "Sous le meuble du salon" quand il répondra à la question : "Mais d'où tu sors ça, toi ?"

5 avril 2014 04h13

Azalée
Que faire de mes nuits d'insomnie ...?

Insomnie

Que faire de mes nuits d'insomnie,
Quand toute la ville est endormie,
Me lever contempler les étoiles,
Ou écrire des vers sur la toile ?

Emplie de rêves inachevés,
Me remémorant les chevauchées,
M'emportant loin de tous ces ennuis,
Qui n'en finissent pas cette nuit.

Entendez-vous ce silence lourd,
Dont le bruit réveillerait un sourd ?
Dans mon coeur et mon corps en détresse,
Seule la musique m'apporte l'ivresse.

Azalée
5 avril 2014

3 avril 2014 18h20

Jean-Pierre ♫



25 mars 2014 09h46

Jean-Pierre ♫
Est-il vraiment si odieux que ça ce connard ?


1er mars 2014 20h58

Emma
Envie de couleur !!?

http://voyagerloin.com/actua...

....

27 février 2014 07h30

Pépé le Moko
J'aime beaucoup

http://dailygeekshow.com/201...


Belle créativité, n'est-ce pas ? Certain(e)s trouvent ça dérangeant il parait, je trouve ça magnifique !

19 février 2014 16h57

Jean-Pierre ♫
Et vous, que souhaitez-vous faire plus tard ?

L'institutrice demande à la classe :
- Que voulez-vous faire quand vous serez plus grand ?

Toto répond aussitôt :
- Moi je veux être milliardaire, fréquenter les plus beaux clubs, trouver la plus belle salope, lui acheter une Ferrari à 1 000 000 €, un appartement à Copacabana, une villa à Paris, un jet privé pour voyager partout dans le monde, une carte de crédit illimitée et lui faire l'amour trois fois par jour !

L'institutrice, complètement choquée par la réponse de Toto, essaie de récupérer la situation et, feignant de l'ignorer, elle demande :
- Et toi, Nabila ?
- Moi j'veux être la salope de Toto !