6 avril 2016 07h01
modifiée 6 avril 2016 11h03 |
Jean-Pierre ♫ |
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7 avril 2016 09h51
modifiée 7 avril 2016 09h58 |
Jean |
J'ai pas lu tout le blabla vu qu'il tripote ses boutons comme un grand timide mais j'assimile son projet à de l'anarchie raisonnée. Anarchie puisque tout le monde fait ce qu'il veut sans dieu ni maître, raisonnée puisque quand même l'état assure protection et liberté. La devise "vivre et laisser vivre" rappel un film de James Bond « N’attendre de l’Etat que liberté, sécurité. Et bien voir que l’on ne saurait, au risque de les perdre toutes deux, en demander une troisième. » « L’Etat est une grande illusion qui pervertit la loi. » Je vous recommande le livre qui vient de sortit "Les pilleurs d'états" nos propres dirigeants. De mon côté il m'est venu à l'esprit un pays où tous les citoyens devraient consacrer 5 ans de leur vie à toutes les corvées que l'on fait faire aujourd'hui par les immigrés : 1 an éboueur, 1 an maçon, 1 an caissier de super marché, 1 an cantonnier, 1 an a faire le ménage dans les hotels etc. Il doit bien y avoir une cinquantaine de métiers considérés comme des corvées et les gens en choisiraient 5 en fonction de leurs préférences et aptitude dans la mesure des places disponibles. Le but serait pédagogique, que tous les citoyens de plus petit au plus grand sache c'est que la vie des plus humbles. Quand aux plus humble il s'agirait de leur offrir 5 fois dans leur vie 1 mois de vacances de rêve Ok c'est de l'utopie dont personne ne voudra, partager les corvées beurk | |||
9 avril 2016 09h59
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sourire |
Bof, t'es pas drôle Jean! mais c'est une utopie qui tient la route. Souvent quand je vois les gosses travaillant en plein soleil avec des grosses bassines pleines de marchandises sur leur petite tête, ou les manœuvre sous 35° qui portent des charges impossibles, j'ai honte d'être dans la voiture dans la clim et je m'énerve contre tous ces expats qui les méprisent, les trouvent paresseux, lents, et j'en passe. J'aimerais bien les voir à leur place. Tu vois c'est de l'utopie dont personne ne voudra, partager les corvées beurk |