25 juin 2009 01h33

le persan
On a souvent évoqué la necessité d'une langue internationale mais l'espéranto n'a jamais marché, comment expliquer cet échec


25 juin 2009 01h54

En voiture Simone
L'anglais est devenue la "langue d'affaire" et comme elle domine le monde, difficile d'en changer à court terme. Les langues fabriquées n'ont jamais réussi (à part le Turc). Dommage pour l'esperanto, question de mode sans doute, peut-être reviendra-t-il. Les langues régionales ont bien été réhabilitées.

25 juin 2009 07h37

Jean-Pierre ♫
On a souvent évoqué la nécessité d'une organisation internationale afin d'empêcher toute guerre et toute injustice dans le monde.

L'ONU fut créée à la fin de la seconde guerre mondiale par les cinq principaux vainqueurs de celle-ci : les États-Unis, l'URSS, le Royaume-Uni, la France et la Chine.

A cette occasion, ils décidèrent que cinq pays seraient membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU et disposeraient seuls d'un droit de veto qui permet à ceux-ci de véritablement diriger l'ONU.

Or, comme par hasard, ils choisirent d'attribuer ces places de choix... à eux-mêmes.

Les armes et l'argent dominent le monde, pas les bonnes intentions...

25 juin 2009 10h20

Hélène
je rebondis sur @poil à gratter (t'inquiète pas, ça fait pas mal), c'est vrai que les armes et l'argent dominent le monde, l'espéranto rassemblerait les gens, et ce n'est pas du tout le but des dirigeants et des industriels, qui ont tout intérêt à diviser pour mieux régner....
près, chacun d'entre nous peu aussi faire l'effort d'ouvrir sa porte et son coeur à des gens très différents pour apprendre à se connaître entre humains...pour ça, il ne faut pas avoir peur de tout tout le temps (et se sortir de devant tf1!!)
J'ai la chance de parler 4 langues, ça ouvre des perspectives niveau communication!

25 juin 2009 11h11

Jean-Pierre ♫
Ah oui.
La remarque de roukmoute me fait penser à la parabole de la tour de Babel.

Diviser pour régner, comme disait Machiavel...

25 juin 2009 11h18

Hélène
On nous dit de belles paroles d'un coté, mais d'un autre on nous impose exactement l'inverse...tout comme les religions, les politiques font la même chose...

27 juin 2009 19h00

Djabali
Peut-être tout simplement et de manière paradoxale parce que l'espéranto n'est soutenu par aucune communauté nationale, aucun groupe ethnique, parce que c'est une langue contre laquelle personne n'aurait d'arguments valables !

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