2 avril 2010 04h36
modifiée 2 avril 2010 04h38 |
Jean-Pierre ♫ |
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2 avril 2010 08h18
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Djabali |
une sorte de sainte trinité mercantile... | |||
2 avril 2010 09h27
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Segel |
Bonjour, Ben disons que les ententes sont plus difficiles au delà. Car tu ne vas pas me dire que ces situations sont ce qu'on appelle concurrentielles. Ajoutes y donc l'assainissement de l'eau : Bouygues et Véolia. En fait le système utilise la compétition des petits, et la coopération des gros. Et c'est tout l'inverse qu'il faudrait. | |||
2 avril 2010 09h28
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Segel |
Ah j'oubliais, on trouve le même genre de règle dans les "présidentiables" en général. Car pour être sur de récupérer le vote de l'électeur il faut lui laisser un choix. Au minimum qu'il ait l'impression d'avoir une droite et une gauche en face de lui. Mais ce n'est qu'un minimum. Dans tous les cas le capitalisme l'emporte, quel que soit le choix de l'électeur. | |||
2 avril 2010 09h43
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Jean-Pierre ♫ |
Ah oui, j'avais oublié l'eau. Mais c'est un marché captif pour le consommateur. C'est la municipalité qui choisit pour lui. PS : En ce qui concerne l'eau en France, c'est Véolia, La Lyonnaise et Saur (encore 3 !) http://fr.wikipedia.org/wiki... | |||
2 avril 2010 09h48
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Segel |
Pour info : Saur = Bouygues (du moins c'est l'actionnaire majoritaire) | |||
2 avril 2010 09h51
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Jean-Pierre ♫ |
Merci pour l'info. Cela dit, si on commence à citer les actionnaires principaux, la liste risque de se réduire à quelques monstres financiers du genre Goldman Sachs. | |||
2 avril 2010 09h57
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Segel |
Peut-être pas uniquement, mais disons qu'une bonne dizaine de familles à travers le monde tiennent à peu près toute l'économie du monde occidental. Car derrière les monstres financiers il y'a des gens. Il faut tout de même en avoir conscience. | |||
2 avril 2010 14h52
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R.WOLF |
on m' avait prévenu que ce serait comme ça il y a une dizaine d' années; ça faisait déjà bien flipper. des gens, oui, mais avec quelle humanité? parce que, avouons le, il ne faut pas être trop scrupuleux que pour être riche à ce point en sachant le prix à payer par le plus grand nombre. l' argent fait parfois le malheur aussi et tout n' est pas achetable, entre autre le bonheur puisqu' il s' agit de quelque chose affranchi du matériel. | |||
2 avril 2010 15h01
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Segel |
La "libre concurrence" a été instrumentalisée dans l'intérêt des gros. Le retour à l'état de jungle est bénéfique aux plus gros prédateurs. C'est pourquoi il faut lutter contre le libéralisme en l'état. Mais la lutte contre le libéralisme ne doit pas déboucher sur une réduction des libertés individuelles. Un libéralisme "éthicisé" façon Orwell serait la solution idéale. Orwell et la « common decency » - Philippe Sollers/Pileface | |||
2 avril 2010 18h23
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R.WOLF |
je vais lire ton lien. |