27 septembre 2010 11h22

Prince des terres de l'est
Cent ans de plus ...........

Bonsoir tout le monde
Aujourd'hui je veux bien provoquer le sujet de l'esclavage moderne ....
Je pense qu'aujourd'hui et après des milliers de révolutions des millions de morts....les milliards de publications et d'histoires .....des témoignages
nous somme encore dans la peau de l'esclavage il ne s'agit pas de la couleur ou de la race ....il s'agit bien d'une loi faite par le plus fort la loi de la peur et le complexe de la supériorité entre les peuples et les nations entre les hommes et les hommes ...même entre les femmes et les hommes .....entre les générations.....
Cent ans de plus quelle honte de voir ces photos ....
Aujourd'hui tous nous sommes des esclaves du dollars ....de l'euro...de l'argent des esclaves a ce nouveau système le capitalisme ..des esclaves de la peur,de l'ignorance oui c'est vrai aujourd'hui la plus part des gens peuvent écrire et lire mais écrire et lire sur un papier ..peu d'entre nous peuvent lire dans les yeux et écrire sur les cœurs.... peu peuvent lire dans les visages et écrire sur les jours et les nuits...oui Francis t'as raison le noir n'est pas une couleur le vrai noir c'est être sans couleur c'est perdre le pouvoir de voir les différences et sentir la joie de vivre avec ces différence

27 septembre 2010 11h26

Segel
Bonjour Prince des terres de l'est.
Oui nous sommes esclaves encore aujourd'hui.
Parce que nous le voulons bien.

Mais la vie en société n'est-t-elle pas la première aliénation à laquelle nous nous soumettons ?

Qu'est-ce que la liberté finalement ?

Au coeur de la pensée anarchiste se trouvent les enjeux du pouvoir, de la hiérarchie, de la domination, qui me paraissent bien plus essentiels que tout autre enjeu.
Mais où se trouve la véritable marge de manoeuvre de l'humanité dans ce domaine ?

27 septembre 2010 12h37
modifiée
27 septembre 2010 12h39

R.WOLF
avant de vouloir il y a savoir, Segel ; et ici se trouve notre responsabilité, soit nous allons vers la connaissance et prenant conscience des faits et désamorçons, piratons, boycottons ou dénonçons le système, soit nous subissons.

quand on voit cette affaire des retraites en France par exemple, c' est un tort que de ne pas se mettre en grève illimitée, car après ça, les riches, traduisez le pouvoir, continuera à en vouloir plus et saborder d' autres acquis ; il n' y a absolument aucune raison qu' il en soit autrement.

à moins que nous sentions solidaires avec les autres esclaves du monde et agissions en conséquence, c' est ce que dit en substance ce texte que personne n' a l' air ici d' avoir lu.

http://infokiosques.net/lire...

ceci dit, bonjour! :-)

27 septembre 2010 12h45

Segel
Bonjour RED,

Merci pour ce texte, qu'en effet je ne connaissais pas.
Je vais tacher de le lire.

La solidarité est précisément ce qui fait cruellement défaut dans nos sociétés.
La classe dominante a parfaitement réussi à atomiser les revendications.
Comment exorciser ce phénomène ?

27 septembre 2010 14h14
modifiée
27 septembre 2010 14h29

Mr Quinn (Le Vrai)
je reviesn, il y a quelque chose qui cloche...

27 septembre 2010 14h20

Segel
Comme quoi il est toujours bon de reformuler les questions.
De quoi parle-t-on exactement ?

Sommes nous bien en train de parler du même esclavage ?

27 septembre 2010 14h22

Mr Quinn (Le Vrai)
Bonjour Prince des terres de l'est !

Je pense pas que nous ayons fait connaissance.

Il est difficile de dire à la place des autres s'ils sont ou non esclaves, en fait.
Ce serait surtout à eux de se définir dans leur travail, et plus particulièrement dans leurs rapports à la hiérarchie (ou simplement entre humains). Je ne vois autour de moi que des gens qui ne tiennent debout que grâce à leur travail. Non seulement financièrement, mais aussi psychologiquement, car ce travail les honore, et comme ils disent eux-mêmes « il n’y a pas de sot métier ». Alors dans ces conditions, et déjà que de les traiter de « travailleurs » les blessent, car c’est les assimilé à une masse dont ils ne rêvent que de s’exclurent (c’est naturel, nous sommes tous différents et avons le droit d’exister en tant conscience libre d’une autre entité), je n’ose imaginer ce qui peut se passer en leur disant qu’ils sont des esclaves. Je pense que certains nous rirons aux nez, quand d’autres nous tourneront le dos directement en nous regardant de travers. Et je peux le comprendre.

La question est de savoir ce que l’on veut faire. Est-ce que l’on veut se prouver à soi-même que l’autre est esclave (mais quel intérêt ?), ou est-ce que l’on veut changer les rapports d’humain à humain dans la société ?

Je le dis autrement : - est-ce qu’il importe que l’on ait raison sur la base de ce que l’on croit être la vérité, ou est-ce qu’il est préférable de chercher à connaître l’humains sans spéculer sur une quelconque vérité ?
Pour ma part, je ne sais pas si untel ou tel autre est esclave, car je ne sais pas ce qu’est un esclave. Je sais ce qu’est un humain. Et j’ajoute que les mots « esclaves » et « travail » sont des mots d’exploiteurs, alors que ceux-ci ne parlent jamais d’humains.

Quant à la « solution » il n’y en a pas, heureusement car lorsque l’on en arrive à la finale, c’est comme qui dirait mort. Solution étant lui aussi un terme du système.
L’humain n’a pas à être résolu, ni solutionné, ça c’est bon pour les problèmes de l’industrie. L’humain doit être entendu, compris… et aimé !… C’est en utilisant un autre langage, en adoptant une autre attitude que ces attitudes guerrières et que ce langage du génie militaire que l’on s’humanisera. ( Ingénieur > génie militaire)

27 septembre 2010 14h22
modifiée
27 septembre 2010 14h28

Djabali
bon, la phraséologie du texte remis par RED est très rouge , mais jusqu'à présent, je suis globalement d'accord surtout sur l'idée qu'il n'y a pas vraiment de différence fondamentale entre l'exploité ici et l'exploité là-bas. J'aime bien le petit passage sur la leçon de morale à destination des étudiants contestataires : sous prétexte qu'on vivrait dans un pays « riche », on devrait être content de son sort parce qu'il y a pire ! Quelle hypocrisie !

L'Égypte est un pays très riche lui aussi, mais aucun maquillage ne vient atténuer le gouffre qui sépare les exploitants et les exploités, c'est toute la différence.

27 septembre 2010 14h28

Mr Quinn (Le Vrai)
J'ai oublié de mettre ça ... parce que ce que jai écris était vachement sentencieux !... mais ça me plaît !...

27 septembre 2010 14h36

Djabali
j'aime bien, dans le début de la postface «Nos sociétés occidentales reposent sur le mensonge et la séduction. (...) ce serait la liberté au volant, la satisfaction immédiate du fast food ou du sexe virtuel en réseau… Chacun pour soi, et que le meilleur gagne. Tel est le discours officiel.
L’égalité des chances est garantie, ici du moins, nous dit-on. Ailleurs on meurt de faim ? Peut-être, mais c’est parce que les dirigeants du tiers-monde sont corrompus. Ils n’ont qu’à faire comme nous. (...) Les nouveaux ennemis voilent leurs femmes et leurs filles, ils ont des coutumes barbares. Ici c’est la civilisation.(...) Si les salariés [européens] dominés, mais dans le camp des dominants. »

On revient toujours à la même chose : le discours, les mots du discours sont utilisés pour construire une réalité qui nous emprisonne (à la limite, on ne peut pas s'en défaire), mais qui de plus nous détruit, pour permettre à d'autres de faire du bénéfice. Quant à tout le battage nationaliste, aux reportages de TF1 sur le bonheur d'être boulangère dans un village des Cévennes ou producteur de fromage en Normandie, je ne peux pas m'empêcher de penser que ce n'est que la pommade dont beaucoup ont besoin pour ne pas ressentir les mêmes souffrances que les exploités des pays du Sud que souvent ils méprisent.

27 septembre 2010 14h37
modifiée
27 septembre 2010 14h39

Mr Quinn (Le Vrai)
@Segel: je ne parle pas de l'esclave sous la contraite de la force armée. Mais davantage de ce qui nous y mène si l'on continue à se traiter (et à se laisser traiter) comme des "choses".

27 septembre 2010 14h51

Djabali
assez d'accord... Pendant cinq ans, comme professeur de français à la Commission européenne, j'ai vécu sous tension permanente. Impossible aujourd'hui de trouver en Belgique un poste de professeur qui ne soit pas sous statut indépendant (sauf pour les fonctionnaires, dans les écoles par exemple). On tombe exactement dans ce néo-esclavage : à la merci des écoles de langues qui imposent leurs tarifs, leurs méthodes, les manuels, de la Commission qui impose ses horaires et un système d'évaluation uniquement centrée sur les impressions des étudiants, le professeur n'est ni plus ni moins obligé que de PLAIRE s'il veut conserver son travail. D'ailleurs, conserver son travail devient très rapidement une obsession.

Pour pouvoir maintenir une qualité minimum d'enseignement (car évidemment il est hors de question de proposer des prestations bas de gamme), il devient dès le départ obligatoire de passer des heures en préparation de cours, recherche de documents, remplissage de formulaires administratifs, des heures qui évidemment ne sont jamais payées. Le boulot fini par envahir toute l'existence du professeur, du matin jusqu'au soir, avec toujours, sur les talons, cette obsession de « perdre son travail ». Parce que dans ce cas, il faudra commencer à « se vendre », dans un grand marché de l'enseignement ou les meilleurs (c'est-à-dire ceux qui savent le mieux évoluer dans ce système, à ne pas confondre avec les meilleurs professeurs) auront toujours les meilleures places.

Ça, c'est ce que le CLL puis aujourd'hui Communicaid essaient de vendre comme une opportunité, puisque nous avons pour nous un maximum de « liberté ». Je les avais pourtant prévenus, un jour où j'ai reçu des félicitations dithyrambiques pour mon travail (ridicule, étant un bon animateur de classe, je n'en foutais pas une mais recevait toujours des évaluations excellentes de spectateurs « sous le charme ») : je savais pourquoi j'étais là, et eux aussi, et nous savions tous ce que valait mon travail (du pognon pour l'école). Je leur ai clairement dit que je savais pertinemment que le jour où je ne ferai plus l'affaire on me claquerait la porte au nez, de même que le jour où cette situation ne me satisferait plus, je partirais.

JE SUIS PARTI ! Et franchement, je me sens un peu plus léger...

27 septembre 2010 15h03

abra
merci RED pour le texte, on en revient toujours à la même chose, le diviser pour mieux régner.

Les esprits d'aujourd'hui (et d'hier) sont tellement habitués à entendre la même "logique" capitaliste qu'ils en oublient de voir quels sont les véritables responsables de leur situation.
Y intégrer les notions de mérite, d'aide au pays, de "il y a plus pauvre ailleurs", c'est d'un démagogisme absolu mais c'est ce qui permet aux exploiteurs d'exploiter.

Le jour où les gens en auront pris conscience, on aura fait un grand pas, on ne se sentira plus redevables de grapiller quelques miettes

27 septembre 2010 15h06

Segel
Le "il y'a pire" permet d'éviter d'avoir deux fronts de revendications.
Il faut pourtant lutter à la fois dans les pays riches et dans les pays pauvres.

Vous avez vu à quel point les luttes sociales à travers la planète sont absentes de nos infos ?
Ce n'est pas juste un hasard.

@RED je n'ai pas encore eu le loisir de lire ton texte

27 septembre 2010 15h06

R.WOLF
hum!

je vais vous lire plus à l' aise tout à l' h. je commençais à m' énerver que personne ne fasse attention à ce texte.

ceci dit, Segel, Hannah Arendt parlait déjà de ce fait de populations atomisées ; Chomsky, lui parle de populations déprimées et désorganisées.

ambiance!

27 septembre 2010 15h10
modifiée
27 septembre 2010 15h12

R.WOLF
bien sur que c' est voulu qu' on ne parle pas des luttes sociales ailleurs ; l' Europe, laisses moi rire!

@ ben lis le quand tu as cinq minutes, il est vraiment bien ; il me fait d' ailleurs penser à ces chromos représentant le capitalisme que tu as souvent mis en ligne.

27 septembre 2010 15h36

R.WOLF
@ Djabali ; je t' ai lu. c' est très grave.

@ Abra ; tu as compris l' essentiel du texte ; cette démagogie qui nous dit que c' est pire ailleurs. la dangerosité d' un tel discours, on le voit aujourd' hui ; écrases toi car sinon un autre acceptera ta place.
ça veut dire qu' on doit obéir au chantage du tu prends n' importe quoi ou tu oublies.

c' est à dénoncer, balancer, éradiquer (ce discours s' entend).

27 septembre 2010 15h39

R.WOLF
@ Quinn ; je préfère à l' heure actuelle quelqu' un d' un peu sentencieux plutôt que frivole ; la frivolité, il n' y a qu' à se baisser pour en avoir à la pelle.
et moi, je suis pas beaucoup d' humeur à rigoler souvent.

27 septembre 2010 16h20

R.WOLF
@ re-Quinn ; l' humain doit être entendu, compris et .. aimé.
s' il ne l' est pas, il se peut qu' il se détruise (de n' importe quelle manière) ou détruise son semblable, de n' importe quelle manière, fût-ce en adoptant des attitudes guerrières.

c' est une tentation que je connaîs par coeur et qui m' éloigne toujours de mon humanité.
pour les autres peut-être est-ce la cas aussi.

@ Djabali ; c' est l' essence du texte ; il n' y a pas vraiment de différence entre l' "exploité" d' ici et d' ailleurs, or on nous fait criore que si, pour continuer à nous "exploiter" (je mets des guillemets après avoir lu Quinn, mais je pourrais aussi bien ne pas en mettre parce qu' au vu de ma situation je commence à me sentir drôlement proche de la condition de certains ailleurs).

27 septembre 2010 16h42

Djabali
je pense qu'une grande partie des gens qui travaillent de par le monde sont véritablement exploités, sans aucune nuance. Ils sont très rares, les gens pour qui le travail représente un plaisir, une source d'épanouissement personnel. Les gens travaillent d'abord parce qu'ils n'ont pas le choix, tout simplement.
La situation en Europe est évidemment biaisée par le discours porté sur le travail, ultra-valorisé depuis le XIXe siècle (jusqu'à la caricature, comme pour ce qui est de l'éloge des glorieux mineurs italiens qui sont venus crever dans les mines belges). Idem pour les mineurs français après la guerre : quoi de plus glorieux que de participer au redressement de la nation ? J'imagine ainsi qu'il y a beaucoup de professeurs qui se ruinent la santé et détruit leur existence en pensant poursuivre un noble objectif. Beaucoup sont aussi exploités...

27 septembre 2010 17h53

abra
En résumé les deux sujets à combattre sont l'exploitation et la division.
Le problème étant que beaucoup n'ont pas conscience d'être exploités mais au contraire le discours qui leur est servi comme un leurre est qu'ils sont utiles et chanceux d'avoir du boulot. On en revient au second thème, celui de la division qui crée cet individualisme tant recherché par les patrons.
@Quinn : la violence fait partie du système, qu'elle soit physique ou verbale. Le monde du travail est ultra-violent, les plus faibles se font bouffer.
@Red : l' humain doit être entendu, compris et .. aimé.
s' il ne l' est pas, il se peut qu' il se détruise (de n' importe quelle manière) ou détruise son semblable, de n' importe quelle manière, fût-ce en adoptant des attitudes guerrières.

c' est une tentation que je connaîs par coeur et qui m' éloigne toujours de mon humanité.

Ce n'est pas ce que je ressens quand je te lis, tu as au contraire une grande sensibilité peut-être consécutivement à ton vécu

27 septembre 2010 17h58

R.WOLF
j' ai un jour vu une vidéo sur Bellacio où le concept de non violence était remis en question, l' intervenant était sud-américain, mais je n' ai jamais retrouvé cette vidéo, hélas.

je me suis pensé non violent longtemps, je me trompais complètement, pas que je désire la violence cependant, néanmoins, je me suis réveillé un jour en me disant ; je suis quelqu' un de violent né dans un monde violent.
partant de ce constat, je suis sur des paramètres plus sains.
de la psychologie à la politique donc ..

@ Djabali ; des gens travaillent parce qu' ils n' ont pas le choix et des gens ne travaillent pas parce qu' ils n' ont pas le choix ; mmh! je vois que tu as bien lu ce texte (les mineurs italiens) ; cool.

à Quinn et Djabali ; quand tu sais qu' en France les campagnes BDS (désinvestissement, boycott Israël) sont illégales, ceci dans un pays qui vend des armes à et soutient cet Etat, il y a de quoi s' énerver.

27 septembre 2010 18h01

R.WOLF
@ Abra ; j' ai fait le choix inconsciemment d' un vécu difficile pour connaître la compassion, sans ça, j' aurais fait partie des faucons (non pas que je sis une colombe non plus).
bizarre que même sur le web on me dise ça (ma sensibilité), et pourtant si tu savais comme je suis brutal.

27 septembre 2010 18h01

R.WOLF
@ Quinn / partenaire plutôt qu' ennemi ; sortir de la dualité quoi.

27 septembre 2010 18h10
modifiée
27 septembre 2010 18h14

Djabali
une trentaine de boîtes en 25 ans... t'as pas chômé toi ! J'ai fini par penser que les boîtes fonctionnent comme la nature : elles ont horreur du vide, un vide qui doit être rempli de la manière la plus évidente : avec les gens les plus adaptés. Ces boîtes ont besoin d'utiliser des gens au moindre coût, c'est comme un appel d'air, seuls les plus aptes à être tondus se retrouvent à la bonne place.

Sinon, mon expérience m'a convaincu d'une autre chose : si mes intérêts sont en contradiction avec les intérêts de la boîte et que la balance pratique arrive à 50%, je me casse. Les profs de la Comm qui restent par peur de ce qui peut venir après (peur de ne pas trouver de travail, de ne pas pouvoir payer les impôts, peur de changer le train train quotidien...) me font plus de peine qu'autre chose : je préfère un avenir incertain à une déchéance toute tracée.

27 septembre 2010 18h13

Segel
J'imagine que Mr Quinn n'évoque pas que des relations de salariat.

27 septembre 2010 18h15

Djabali
on pourrait étendre ça à la famille, l'école, les relations avec la police, le personnel médical ou autre...

27 septembre 2010 21h06

yv
merci RED superbe texte, ça me rappelle ce skechte de Coluche, quand il raconte son pére, son travail à mi-temps, 12h de travail sur 6 jours et le reste t'es libre, les fins de mois difficiles, surtout les trente derniers jours. Et l'usine qui finis par fermer, sur ce il écrit une lettre à l'administration " messieurs je suis un bon citoyen, j'ai fais la guerre avec et contre les allemands, comme on m'a dit, j'ai fais trois enfants comme à m'a demandé et maintenant je suis sans travail" six mois aprés la réponse " ecrivez nous ce dont vous avez besoin nous vous expliquerons comment vous en passer"
biz yv

27 septembre 2010 21h25

R.WOLF
pas de quoi Yv et merci à Prince des terres de l' Est de m' avoir permis de relancer ce débat.

see you!

27 septembre 2010 21h30
modifiée
29 septembre 2010 16h10

Mr Quinn (Le Vrai)
.

28 septembre 2010 03h34

Papy-Baby-seaters
à une certaine époque je me suis considéré un véritable esclavave oú je travaillais en France, d'ailleurs j'ai écris certains poèmes sur le sujet « Tremblez» «Le pantin»,«Monsieur..»et d'autres du même genre sur la société assez engagés... Aujourd'hui je me considère á peu prés libre, mais á quel prix parfois...je fais á peu prés ce que je veux de mon Temps, pas toujours quand je dois m'occuper de ma descendance...!

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