20 octobre 2010 01h05
modifiée 20 octobre 2010 01h08 |
DAME Miette |
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20 octobre 2010 01h10
modifiée 20 octobre 2010 01h12 |
DAME Miette |
Rimbaud et Verlaine sont pour moi des énigmes de la création poétique, ils illustrent le mystère de cette création . ( pour des raisons très différentes, respectivement ) Vous ne trouvez pas que l'on ne lit pas assez souvent des poèmes ? . | |||
20 octobre 2010 09h46
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gonzo |
j'aime bien les rimes en nick !!! | |||
20 octobre 2010 10h53
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DAME Miette |
bonjour mon ZO ça te permet au moins d'apprécier un chouia ( c'est toujours ça ) un beau poème hiC | |||
20 octobre 2010 10h57
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gonzo |
ha ba, tu sait, moi aussi j'apprécie de compter ma prose de grande qualité regarde, une de mes oeuvres magnifiques !!! http://fr.answers.yahoo.com/... reconnaitra, au passage ....pfff | |||
20 octobre 2010 11h10
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DAME Miette |
OYE ....! OYE ....! Cygalous Cygalettes ! Voici que notre Gonzo se languit tant de l'amour qu'il en devient poète mais qu'il réserve ses oeuvres à Mad Con ! Courez à ce lien qu'il donne , et appréciez . | |||
20 octobre 2010 11h10
modifiée 20 octobre 2010 11h12 |
gonzo |
mdr pouet pouet !!! les maitrse du verbe et du vers ici, c'est quand meme papa trouby et yann y'a aussi prince des terres de l'est, mais il passe rarement. | |||
20 octobre 2010 11h53
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Lalo Skywalker |
'Jour vous !!! L'étais drôlement mignon Arthur quand il était minot..... | |||
20 octobre 2010 12h07
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grenouille33 |
Bonjour tous ! Je croyais vous avoir perdus ! Ouf ! Merci pour ta question mac do ! raimbaud , verlaine , une petite grenouille qui rêve ;) | |||
20 octobre 2010 12h14
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Lalo Skywalker |
Salut Grenouille.... j'aime aussi beaucoup Verlaine.... Chanson d'automne Les sanglots longs Des violons De l'automne Blessent mon coeur D'une langueur Monotone. Tout suffocant Et blême, quand Sonne l'heure, Je me souviens Des jours anciens Et je pleure Et je m'en vais Au vent mauvais Qui m'emporte Deçà, delà, Pareil à la Feuille morte. | |||
20 octobre 2010 18h33
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En voiture Simone |
Elle est retrouvée. Quoi ? - L'Éternité. C'est la mer allée Avec le soleil. Âme sentinelle, Murmurons l'aveu De la nuit si nulle Et du jour en feu. Des humains suffrages, Des communs élans Là tu te dégages Et voles selon. Puisque de vous seules, Braises de satin, Le Devoir s'exhale Sans qu'on dise : enfin. Là pas d'espérance, Nul orietur, Science avec patience, Le supplice est sûr. Elle est retrouvée. Quoi ? - L'Éternité. C'est la mer allée Avec le soleil. Mai 1872. | |||
20 octobre 2010 18h44
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Jean-Pierre ♫ |
J'avoue n'être pas un fan de Rimbaud, que je ne connais guère. En matière de poésie, je suis resté bloqué sur Baudelaire et, surtout !!!, Prévert ! | |||
20 octobre 2010 18h51
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Lalo Skywalker |
AAAaaaaahhhh !!!! Prévert !!! Complainte du fusillé Ils m'ont tiré au mauvais sort par pitié J'étais mauvaise cible le ciel était si bleu Ils ont levé les yeux en invoquant leur dieu Et celui qui s'est approché seul sans se hâter tout comme eux un petit peu a tiré à côté à côté du dernier ressort à la grâce des morts à la grâce de dieu. Ils m'ont tiré au mauvais sort par les pieds et m'ont jeté dans la charrette des morts des morts tirés des rangs des rangs de leur vivant numéroté leur vivant hostile à la mort Et je suis là près d'eux vivant encore un peu tuant le temps de mon mal tuant le temps de mon mieux. | |||
21 octobre 2010 16h25
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Djabali |
mon adolescence, je l'ai vécue sous les rayons de ces trois Soleil du XIXe siècle, Baudelaire, Verlaine, Rimbaud. Celui dont je rêvais le moins à pénétrer les écrits, celui dont j'avais l'impression que je le comprenais moins et donc que je l'appréciais moi, c'était Rimbaud. Aujourd'hui, je sais pourquoi : des trois, c'est celui dont je suis le plus proche. | |||
21 octobre 2010 23h19
modifiée 21 octobre 2010 23h30 |
Lili ... |
Moi, c'était plutôt Neruda... le côté exotic de l'Espagnol me faisait voyager Il y a eu un très beau film avec Noiret sur sa retraite ... le facteur. Sinon, j'ai eu un amoureux, qui lorsque nous avions étudié Ronsard, me déclamait : Quand vous serez bien vieille ... c'est aussi gratifiant que l'inconnu qui t'offre des fleurs Et enfin, il y avait Balavoine, et Thiefaine. |