19 juin 2011 01h06

Pépé le Moko
Eurohumour

C’est l’histoire de 27 mecs (source : "la libre")
"Le paradis européen, c’est quand vous êtes invités à un lunch officiel, que vous êtes accueilli par un Anglais, que le repas est préparé par un Français, qu’un Italien assure l’ambiance et que tout est organisé par un Allemand. L’enfer européen, c’est quand vous êtes invités à un lunch officiel, accueilli par un Français, que le repas est préparé par un Anglais, qu’un Allemand chauffe la salle et que l’organisation est confiée à un Italien."


Un Belge propose que cette plaisanterie devienne la blague officielle de l’Union européenne et qu’elle soit enseignée dans les écoles pour améliorer les relations entre les nations, promouvoir notre humour et nos cultures.

Herman Van Rompuy convoque le Conseil européen pour qu’il décide si, effectivement, cette blague doit être instituée blague officielle (et inscrite dans le traité). Avec le flegme qu’on lui connaît, le représentant britannique annonce qu’il la trouve hilarante. Le Français proteste contre l’image donnée de son pays (quand on rit de la France, ce n’est plus drôle). Le Polonais est vexé de ne pas être cité. Le Luxembourgeois pose la question du copyright. Le Suédois ne dit rien, mais regarde les autres avec un sourire énigmatique. Le Danois demande pourquoi, si c’est une blague, elle ne comporte pas d’allusion sexuelle. Le Hollandais ne comprend pas la blague et le Portugais le concept même de blague. L’Espagnol explique qu’elle n’est drôle que si l’on sait que le lunch a lieu à 13 heures, qui est le moment où l’on prend le petit-déjeuner. Le Grec se plaint de ne pas avoir été invité au lunch. L’Estonien se plaint d’avoir reçu le texte letton, le Letton le texte lituanien et le Lituanien le texte estonien. La Slovénie, qui n’a pas reçu de traduction du tout, dit qu’il ne faut pas en faire tout un plat. Le Slovaque pense qu’il y a eu une erreur de traduction, à moins que la blague ne soit celle du plombier et du canard - "Ça a l’air très drôle aussi" , ajoute le Britannique. Le Hongrois n’a pas fini de lire les 120 pages de sa propre traduction. Le Belge demande si celui qui l’a proposée est flamand ou francophone pour savoir s’il doit ou non la soutenir. L’Allemande propose de clore le débat à Bruxelles, parce qu’il faut aller à Strasbourg, où le Parlement doit donner son avis. Ajoutant qu’il faut réveiller l’Italien pour ne pas rater le train et rentrer à l’heure à Bruxelles pour annoncer la décision. "Mais quelle décision ?", demande l’Irlandais. Puis tout le monde se met d’accord pour commander des cafés.
(D'après "Ploum": http://ploum.net/ )

19 juin 2011 09h24

Hélène
Ahhh...c'est beau l'europe!!!

19 juin 2011 11h32

Pépé le Moko
Ce n'est pas vraiment éloigné de la vérité.
Et ils sont payés (très cher) pour ça...
"Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes"

19 juin 2011 12h55

R.WOLF
heu oui! c' est assez bien comme ça que ça marche ..

d' où beaucoup de cafés très bien à Bruxelles (avec un petit chocolat toujours servi à côté de la tasse).

ça va aller, keep cool & don' t worry!

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