26 juillet 2011 13h38

R.WOLF
Qui a déjà connu ce sentiment?

Un sentiment d' ivresse, d' immense liberté,

quand on est au fond du fond de la déprime ..

26 juillet 2011 14h02

MAMIE BONHEUR
coucou red je ne pense pas que lorsque tu es au fond tu est l'ivresse de la liberté mais au contraire un poison qui te bouffe de l'interieur!! mettre le pied au plancher et appuyer avec l'énergie du desespoir pour refaire surface et la c'est l'ivresse de libertée bisou on est la!!!!

26 juillet 2011 14h09

R.WOLF
tout poison contient en lui-même la substance du contre poison ; sans doute est-ce l' alliage des deux qui crée ce sentiment.
le feu sur la glace (à moins que ce soit sous la glace) on appelle ça.

coucou Bisounours!

26 juillet 2011 14h12

Djabali
toute mon adolescence, lorsque je plongeais avec délectation dans la déprime

26 juillet 2011 14h13

MAMIE BONHEUR
je mourrais un peu plus culturlurée

26 juillet 2011 14h14
modifiée
26 juillet 2011 14h17

MAMIE BONHEUR
qu'est ce que vous appeler deprime?? le coup de blues?? ou la maladie dépression??? sorry faut que je file!!!! bise a plus tard!!!!

26 juillet 2011 14h19
modifiée
26 juillet 2011 14h21

Djabali
quand j'étais adolescent, c'était un sentiment profond et implacable, celui d'une fatalité qui m'écrasait et qui me rendait absolument certain que jamais, au cours de toute mon existence, je ne connaîtrais quelque chose qui approchât l'idée du bonheur ou, à défaut, du repos. Cette fatalité me séparait radicalement de mes condisciples, j'étais dans un autre monde. Je ne désirais qu'une chose : rejoindre le monde « normal » tout en sachant que ça m'était impossible. J'étais désespérément seul face au néant. L'ivresse du vide.

26 juillet 2011 14h36

R.WOLF
déprime aujourd' hui c' est me concernant des retours de dépression.
j' ai pris du Valium cette nuit pour dormir, les conséquences sont souvent terribles ; c' était ça ou la migraine.
plus de trente jours sans soleil, un ciel plombé qui succède à des jours de pluie sans fin. infernal pour moi.

je m' identifie à ce que dit Djabali assez bien ; 2 mondes. je préfère encore le mien à celui des "autres" ; j' ai plutôt du mépris pour eux.

26 juillet 2011 15h05

Djabali
j'en avais aussi, il en reste des traces d'ailleurs, mais j'ai trouvé des fenêtres et des portes ...

26 juillet 2011 15h24

DAME Miette
quelle juste description, DJABALI
de la conscience de la vanité de tout en ce monde,
du désespoir absolu qu'apporte la condition humaine vue avec lucidité

je ne crois pas en être jamais sortie...

.

26 juillet 2011 15h36

maurice
j'ai eu des moments de détresse,bien sur de la déprime aussi mais je parviens a renverser
cette situation en catalyseur d'énergie par un rebondissement.c'est dans l'ordre des
choses je mets quiconque au défi d'être toujours au top je pense que le recul et le
repli sur soi par une remise en question est un bon moyen

26 juillet 2011 15h37

Lili ...
C'était il y a très longtemps ... de temps en temps, lorsque je m'échappe la nuit, cette liberté est à nouveau là. Bizarre aussi cet état de conscience.

Vidéo YouTube

26 juillet 2011 15h38

R.WOLF
moi j' en suis sorti.

plus ou moins.

oh! et puis en sortir, ce sont encore des mots de l' extérieur ça, proférés par des imbéciles qui n' y comprendront jamais rien à la fin, normal ils sont nés stupides de gens stupides.

ah oui! la nuit je mens ; clip et chanson parfait me concernant.

26 juillet 2011 15h38

Fabienne ?
Vous devez être intervenu au moins 50 fois pour voir cette intervention.

26 juillet 2011 15h39

Lili ...
Jouissance de la souffrance qui rend vivant, comme dans une relation amour/haine.
Il y en a qui exploitent le truc ... avec l'art pictural, musical, poétique, ...

26 juillet 2011 15h41

R.WOLF
fais moi confiance Paka, pour retomber sur mes pattes ça m' arrive aussi.
c' est là que je fais mes comptes ; gare à qui aurait eu la sottise d' oser vouloir me déplaire.

qu'est' ce qu' on rigole hein!

26 juillet 2011 15h43

R.WOLF
bon je me sens moins seul ; et puis plus que quelques heures à tirer pour aujourd' hui.
et puis ça ira mieux un jour ; j' ai ça huit jours par mois pour le moment. just like the girls.

26 juillet 2011 16h20

gonzo
déja que je connais que très peu de phases de blouze ....alors j'ai pas du tout les moyens de comprendres ces choses la.
j'ai une expériance très limité dans le domaine

26 juillet 2011 16h39

R.WOLF
ne pas connaître l' enfer c' est quand même un manque je trouve.

mais bon ..

26 juillet 2011 16h43

gonzo
ha , mais je l'ai connu ....dieu merci, il est parti rapidement.

26 juillet 2011 17h20

Djabali
@paka, ce sont des emmerdes réelles même si pas solides...

26 juillet 2011 17h48
modifiée
27 juillet 2011 16h45

Alicia
.

26 juillet 2011 18h25

Djabali
c'est comme certaines particularités physiques, certaines attitudes, on y est soumis ou pas. Je ne saurais même pas dire si ces bons ou mauvais, j'imagine que chaque état a ses avantages et ses inconvénients.

Mais c'est un sentiment très profond, incontournable, inévitable, quelque chose d'existentielle, qui fonde la relation que l'on a à soi-même et qui la précède peut-être. À voir si cela n'a pas un rapport avec les circonstances de la conception ou de la naissance, avec un certain héritage familial, avec une expérience particulière de la toute petite enfance...

En tout cas, une chose est sûre : c'est bien réel au sens le plus concret du mot.

26 juillet 2011 21h37

Fabienne ?
C'est pas foutre sa vie en l'air que de se complaire dans un état dépressif ?

Je pose une question, pas un jugement ...

Je suis la fille d'une grande dépressive, même que Maman a subi une lobotomie frontale pour ça, non, elle n'était pas dingue après, mais putain, ce qu'elle nous a pompé l'air à Papa et moi.

26 juillet 2011 21h43

maurice

Un sentiment d' ivresse, d' immense liberté,quand on est au fond du fond de la déprime
c'est souvent le préambule vers le saut du vide abyssal celui dont on ne revient plus
la question existencielle qui s'impose souvent :"quel est le sens de notre vie?"

26 juillet 2011 22h21

gonzo
minzette, ma mère n'a pas été lobotomisé, mais purée ...
dieu merci, quand t'est gosse tu t'en rend pas compte ...c'est quelques chose de normal

26 juillet 2011 22h38
modifiée
26 juillet 2011 22h42

DAME Miette
c'est une grande souffrance
le malade ne s'y "complaît" pas
cela c'est la vue des gens de l'extérieur, et c'est un jugement critique

car c'est très chiant pour l'entourage

mais pire pour le malade

En tout cas, une chose est sûre : c'est bien réel au sens le plus concret du mot.
( Djabali )

.

26 juillet 2011 23h06

coquelicot
bonsoir tout le monde,
le 26 juin dernier, j'ai ressenti un vide, une ivresse m'a envahi....cela fait des mois des années que je lutte et ce soir j'ai cédé.
la solitude, les difficultés de la vie ont eu raison de moi ce soir là.....
j'ai honte, je n'ai pensé qu'à moi, j'ai oublié mes enfants; plus jamais mais plus jamais je ne me laisserai envahir par ce genre d'ivresse

27 juillet 2011 00h20

Lili ...
Pourtant Flora, présenter la folie comme un mal dont on pourrait guérir ... ça peut amener de l'espoir surtout auprès de ceux qui conscients subissent la maladie d'un de leur proche ... ça peut éviter à un gamin de s'enfermer dans le désespoir véhiculé par la vision de l'adulte dont il dépend.

Vidéo YouTube

27 juillet 2011 00h39
modifiée
27 juillet 2011 00h44

Hélène
Pas mieux Red....
Vidéo YouTube

"Emmène-moi danser
Dans les dessous
Des villes en folie
Puisqu'il y a dans ces
Endroits autant de songes
Que quand on dort
Et on n'dort pas
Alors autant se tordre
Ici et là
Et se rejoindre en bas
Puisqu'on se lasse de tout
Pourquoi nous entrelaçons-nous ?
Pour les écorchés vifs
On en a des sévices
Allez enfouis-moi
Passe-moi par dessus tous les bords
Mais reste encore
Un peu après
Que même la fin soit terminée
Moi j'ai pas allumé la mèche
C'est Lautréamont
Qui me presse
Dans les déserts
Là ou il prêche
Ou devant rien
On donne la messe
Pour les écorchés
Serre-moi encore
Étouffe-moi si tu peux
Toi qui sais ou
Après une subtile esquisse
On a enfoncé les vis...
Nous les écorchés vifs
On en a des sévices.
Oh mais non rien de grave
Y'a nos hématomes crochus qui nous
Sauvent
Et tous nos points communs
Dans les dents
Et nos lambeaux de peau
Qu'on retrouve ça et là
Dans tous les coins
Ne cesse pas de trembler
C'est comme ça que je te reconnais
Même s'il vaut beaucoup mieux pour toi
Que tu trembles un peu moins que moi.
Emmene-moi, emmene-moi
On doit pouvoir
Se rendre écarlates
Et même
Si on précipite
On devrait voir
White light white heat
Allez enfouis-moi
Passe-moi par dessus tous les bords
Encore un effort
On sera de nouveau
Calmes et tranquilles
Calmes et tranquilles
Serre-moi encore
Serre-moi encore
Etouffe-moi si tu peux...
Serre-moi encore
Nous les écorchés vifs
On en a des sévices
Les écorchés vifs
On les sent les vis ...."

B Cantat

27 juillet 2011 00h58

Lili ...
Vidéo YouTube

http://www.wat.tv/audio/dani...

Que votre nuit soit douce :
Vidéo YouTube

27 juillet 2011 01h14
modifiée
27 juillet 2011 01h37

Alicia
Bonne nuit et dormez en paix braves gens

27 juillet 2011 09h13

Fabienne ?
Je suis désolée de vous déplaire, mais vos petits bleus à l'âme vous les entretenez, soit parce que vous n'avez rien d'autre à foutre d'intéressant de votre vie, soit pour susciter l'intérêt des autres, même d'un toubib.

C'est une maladie de l'oisiveté la dépression. Début du 19ème, quand on allait bosser à 9 ans, quand on faisait 14 heures par jour pour à moitié rien, il n'y avait pas de dépressif . On parlait à l'époque de "maladie de langueur" mais dans la bourgeoisie, seulement, ceux qui ne foutaient rien quoi.

Je ne vais pas me faire des potes, mais la démagogie c'est pas mon truc.

27 juillet 2011 10h35

Hélène

C'est peut -être parce que je n'ai pas eu le choix que de bosser dans l'entreprise familiale dès 9 ans que j'ai perdu une bonne partie de ma jeunesse et qu'Ado j'ai souvent "pété des cables"
l'oisiveté? connais pas trop moi! Même si j'essaie de me détendre et de ne rien faire, je suis envahie de culpabilité et je me sens inutile!
Paka, c'est lié à tellement de choses les états "dépressifs", l'époque à laquelle nous vivons n'arrange rien quand on voit se qui se prépare pour nos avenirs et ceux de nos proches.

27 juillet 2011 12h42

Lili ...
C'est vrai qu'il y en a qui craquent lorsqu'ils n'ont plus la responsabilité de s'occuper d'un autre.
Le labeur, l'opium du peuple ?

27 juillet 2011 14h49

Hélène
Oui, je crois que c'est un peu de ça, et surtout un sentiment d'être dépassé et pas à sa place d'humain qui engendre les états dépressifs...le sentiment d'être inutile, de ne servir à rien dans la "communauté"...alors que c'est celle-là même qui nous pousse à l'individualisme...

27 juillet 2011 15h33

maurice
C'est une maladie de l'oisiveté la dépression. Début du 19ème, quand on allait bosser à 9 ans, quand on faisait 14 heures par jour pour à moitié rien, il n'y avait pas de dépressif . On parlait à l'époque de "maladie de langueur" mais dans la bourgeoisie, seulement, ceux qui ne foutaient rien quoi.

nul passé n'a assez d'importance pour t'empècher de vivre!aimes toi
l'éternel présent qui se nourrit de ton passé te donnera la force qui te projetteras
vers l'avenir!

27 juillet 2011 15h38

Hélène
Ouais, il y a des fois où on se demande jusqu'où ça peut aller.....

27 juillet 2011 17h06

Lili ...
Même si on aimerait vivre dans un monde qui fonctionne un peu plus à notre image, faut pas oublier qu'on est des petites crottes qui ne pouvons pas modifier l'état de ce qui nous entoure le plus souvent.
On n'a pas la responsabilité des conneries des autres. et picétou !

27 juillet 2011 18h10

R.WOLF
@ Paka ; tu penses de moi absolument ce que tu veux, ça m' est bien égal.

sans rancune.

27 juillet 2011 19h12

coquelicot
non Paka, je me sens pas concernée par ce que tu as écrit. L'oisiveté, je connais pas; par contre la solitude oui et c'est elle qui a eu raison de moi en quelque sorte.
j'ai la chance d'avoir un travail, j'ai des enfants (2) mais j'ai eu de gros problème avec leur père; il m'a anéanti, je suis en pleine phase de reconstruction cad que j'essaie de reprendre confiance en moi, d'avoir de l'estime pour moi,...mais seule c'est dur. Et non je me refuse d'aller voir qqn(je n'ai pas le temps: apres le taff, je dois recuperer mes enfants) ou prendre des medocs.Heureusement que j'ai le taff car c'est là bas que je me ressource. Mais je suis pas à l'abris de replonger et de toute façon je sais que je n'en suis pas guérie et loin de l'etre.

27 juillet 2011 21h06

Fabienne ?
Red : je ne pensais pas à toi précisément, ni à personne de bien précis sur l'Auberge.

Je pense à tous ceux que j'ai connus au réel "soi-disant" dépressifs, sous prozac et compagnie : ma mère, des collègues.

Pas un seul n'avait eu un problème fondamental dans sa vie !!! Quant à parler de la solitude, normal qu'ils soient seuls les dépressifs, ils pompent l'air avec leurs minauderies au reste de l'humanité.

27 juillet 2011 23h32

R.WOLF
je ne dis pas que tu as tort, je ne dis pas que tu as raison ; on a jamais guéri un dépressif en lui donnant des coups de pied au cul.
je pense qu' il s' agit réellement d' une maladie des sociétés dites modernes avec tout ce que ça comporte ; les familles qui n' en sont pas, ou plus, le stress permanent, les non perspectives d' avenir pour certains ou l' anxiété qui découle de la crise par exemple.

pas simple en fait.

28 juillet 2011 00h24
modifiée
28 juillet 2011 00h31

Hélène
J'avoue..je n'ai jamais pris aucun "prozac"...(p't'êt' j'aurais du....) Aucune médecine ne guérit des blessures...seule l'acceptation, même si c'est dur....pas le choix, éviter de ne pas trop se pourrir la vie (et celle des autres)

Red, je vois ça comme ça aussi...en fait quelque part, ça nous fait chier de vivre dans une société aussi débile, mais seul, on ne peut rien, et se suicider...faut du courage....(et puis, on est toujours curieux de ce qui peut arriver). Enfin, bon, pas toujours facile, joyeux et simple, même sur une île au soleil.

28 juillet 2011 09h12

maurice
je reste persuadé que Paka a un secret pour toujours garder la forme mentale
cette femme doit être une force de la nature surtout quand elle est amoureuse

28 juillet 2011 09h28
modifiée
28 juillet 2011 09h30

gonzo
je doute que ce soit une maladie moderne.
au contraire, elle à toujours éxisté.

sauf qu'avant, on ne se suicidait pas, on avait des accident de chasse.
le voisin n'était pas dépréssif, mais renfermé et pas joasse !!!

la dépime n'a été reconnu que très récemment, et l'activité permet de cacher la déprime ...
d'alleurs certains deviennent hyper actif, pour éviter de ne pas y penser ... c'est comme ça qu'ont devient dédendant au boulot
s'arrêter, devient une horreur

28 juillet 2011 14h48

Djabali
je trouve au contraire que paka a raison, mais cela ne légitime tout de même pas le retour de l'époque bénie du travail des enfants ! C'est peut-être un problème affronté par les sociétés qui ont plus de temps à consacrer à autre chose qu'à la lutte pour la survie. Car en effet, se battre pour survivre, si c'est pour mourir à la fin, à quoi bon ? Nous avons tout le temps nécessaire pour nous pencher sur la vacuité de nos existences, sur le caractère irrémédiable de chaque instant qui passe, sur notre profonde et entière solitude individuelle (car il faut y ajouter aussi cette tendance à l'individualisme particulière au monde occidental moderne).

Je ne pense pas que ce soit une maladie, c'est tout simplement un état de l'être...

28 juillet 2011 15h22

gonzo
la dépression n'a pas été reconnu depuis longtemps ...
je crain que meme les travailleurs d'arrache pied en souffrent ...

c'est juste comme le courreur sous stéroides.
c'set quand il arrête d'en prendre qu'il s'écroule.
certains regard des pays pauvres ne trompent pas ...

28 juillet 2011 16h01

DAME Miette
Les douleurs à une jambe qui a été coupée, ça n'existe pas non plus

N'existe que ce que nous avons éprouvé , le reste ce sont des grimaces pour faire chier le monde .

.

28 juillet 2011 18h16

Djabali
je ne suis pas d'accord, les douleurs à une jambe qui a été coupée sont des douleurs réelles sur un membre imaginaire ; un sentiment éprouvé au cours d'un rêve est un sentiment réel, tout aussi réel qu'un sentiment éprouvé en veille, pendant la journée

28 juillet 2011 18h20
modifiée
28 juillet 2011 18h22

DAME Miette
(( euh ...cétait dit ironiquement, au second degré )))))...chut ! ....je vais me faire battre ...

28 juillet 2011 18h25

Djabali
j'avais pas saisi

28 juillet 2011 19h28

Lili ...
Le cerveau est un organe dont on ignore encore beaucoup ... le rôle des vitamines et des différents neurotransmetteurs sont toujours à l'étude ... peut-être découvrira-t-on dans quelques années quelque chose qui empêcherait la bonne assimilation des nutriments par le cerveau.

28 juillet 2011 19h36

Hélène
Ou simplement, une nourriture devenue si pauvre en nutriments...

28 juillet 2011 22h06

Lili ...
ou encore un parasite qui, tel un alien piquerait la nourriture de son hôte (genre candidas ou autre)
Ou le contact inadapté avec un produit neurotoxique
http://www.viddler.com/explo...
ou ...
je ne pense pas que dans les maladies psy, il n'y ait que le facteur psychologique qui soit à prendre ne compte

29 juillet 2011 00h29

Djabali
nous sommes exposés à tellement de produits chimiques que qui peut dire avec certitude que tous ces produits n'affectent pas notre cerveau et sa chimie si particulière et si sensible ? Demain, j'ai rendez-vous avec le neurologue, j'avais justement en parler. Avec les médicaments que je prends, j'ai l'impression parfois de ne plus avoir exactement les mêmes réactions que j'avais auparavant. Est-ce à cause des médicaments ? Une conséquence de l'état de mal épileptique ? Du coma ?

En tout cas, une sensation, un sentiment, à partir du moment où elle est ressentie par le cerveau est forcément vraie. Ce qui ne l'est pas, ce peut être la cause supposée de cette sensation.

29 juillet 2011 00h38
modifiée
29 juillet 2011 09h54

Lili ...
J'espère que le médecin saura te répondre.
Tant que tes réactions ne sont pas inappropriées le bénéfice des médicaments est surement plus important que le risque, même si tu apparais différent aux yeux des autres et de toi même.

S'agissant des médicaments, et de la maladie aussi, un seul conseil : s'écouter ... même si c'est contre tous : de mauvais médecins ont empoisonnés le cerveau de ma mère il y a quelques années, tout en niant son ressenti, ses inquiétudes qui étaient pourtant justifiées ... et comme des bonhommes ... ils ont bien sûr oublié de s'excuser !

29 juillet 2011 01h52

Djabali
Lili, pour ça, fais moi confiance, si je sens que ça me fait du mal, je change de médecins !

29 juillet 2011 14h45

Djabali
bon, pour le neurologue, tout va bien, les variations d'humeur et le manque de concentration peuvent être dû aussi bien aux médicaments qu'au traumatisme causé par mon expérience de mal épileptique. Il faut voir comment ça évolue. L'important, c'est de bien réguler les rythmes de sommeil, le manque de sommeil augmente l'excitabilité du cerveau.

29 juillet 2011 14h52

Hélène
Oui, je connais ça en ce moment, le manque de sommeil. Mes projets ont du mal à se concrétiser, je ne peux plus renter en France, mais bon....chaque chose en son temps....

29 juillet 2011 16h19

Lili ...
C'est important le sommeil ... on a tendance à l'oublier.
Perso, je fixe un peu dessus (le Loulou, je dois le gaver quelques fois) ... les troubles du sommeil ont toujours été un signe lors des rechutes de ma mère.

Dommage qu'il n'existe pas d'ouvrage de vulgarisation des neurosciences à la médiathèque

31 juillet 2011 13h36

Djabali
je vais en prendre pour mon bras de ce soir, je prends le train pour Casablanca afin de prendre mon avion en milieu de matinée (pas de train ici après minuit ! Quelle galère, vraiment). J'atterris en France vers midi. Autant dire que je vais encore passer une nuit totalement pourrie.

On ne rattrape jamais le sommeil perdu, c'est vraiment une des choses les plus importantes à surveiller.

2 août 2011 00h37

MAMIE BONHEUR
p)erso jamais connu la dépression mais pleins de gens autour de moi en souffre... je pense un peu comme paka sur le sujet si aujourdhui ca ne va pas ben ca ira mieux demain pourtant la vie ne ma pas épargner croyez moi!!! mais a chaque malheur quelque chose est bon moi perso je m'en sert de live motive pour continuer avec la niaque!!!!

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