13 novembre 2011 18h51
modifiée 13 novembre 2011 19h36 |
Djabali |
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13 novembre 2011 20h01
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maurice |
c'est vrai merci Djab | |||
13 novembre 2011 20h04
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R.WOLF |
pourquoi les gouvernements européens ne dénoncent pas leur rôle frauduleux dans la crise ? à ton avis? Barclay Capital, BNP-Paribas, Crédit Agricole, Citigroup, Commerzbank, Deutschbank, Goldman-Sachs, HSBC, JP Morgan, Bank of América- Merril Lynch, Morgan stanley, Natixis, Nomura, Royal Bank of Capital Market, Royal Bank of scotland, Santander, Scotiabank Europe, Société générale, UBS des intérêts quelque part peut-être? ou des collaborateurs. de toutes façons maintenant c' est déjà trop tard. ce qu' il va se passer? aucune idée. ou plutôt j' en ai peur. je regarderai ça quand j' ai dix minutes. merci. | |||
13 novembre 2011 20h12
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R.WOLF |
pas encore lu, mais ici sont répertoriées un ensemble de solutions (la résistance quoi). http://www.pauljorion.com/bl... | |||
13 novembre 2011 20h22
modifiée 13 novembre 2011 20h26 |
Djabali |
je trouve particulièrement puant le lobbyiste de Financial Services Roundtable, Scott Talbott. J'aime bien lorsque Strauss-Kahn et certains patrons de banque, au plus fort de la crise, ont pris peur du risque d'effondrement total du système et ont évoqué la possibilité d'une régulation, possibilité bien vite évacuée lorsqu'on a trouvé d'autres solutions à la crise | |||
13 novembre 2011 22h24
modifiée 13 novembre 2011 22h30 |
R.WOLF |
ça va se jouer à peuples contre lobbies, berlusconneries et autres Sarkomelleries. on n' est pas couché! Vidéo YouTube http://www.lemonde.fr/europe... | |||
13 novembre 2011 22h39
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Djabali |
mais ça en vaut la peine,quand on voit à quel point le système est verrouillé de leur côté, ce sont des gens extrêmement bien préparés, un vrai défi | |||
13 novembre 2011 22h51
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R.WOLF |
http://www.lemonde.fr/econom... | |||
13 novembre 2011 23h02
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Djabali |
je suis tout à fait d'accord sur le fait que ce sont les banques qui font et défont les gouvernements, même si le départ de Berlusconi me réjouit, je sais bien à quoi il est dû... Malheureusement | |||
14 novembre 2011 03h59
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jamydefix |
Le départ de Berlu sans procès ni condamnation est une supercherie anti-démocratique et social, comme tant d'autres. Il va pouvoir maintenant y aller de plus belle en temps que capitaleux et fera encore plus la pluie et le beau temps de l'escroquerie international. L'indignation se globalise et s'organise aussi et ce n'est qu'un début. Pas sur qu'ils aient assez de pesticide pour arrêter des millions et milliards de fourmis humaines en colères. Notre unique force, celle des dénonciations, manifestations pacifistes, des boycottes et du nombre de gens conscients de ces colossales escroqueries financières politichiennes et industriels. | |||
14 novembre 2011 12h51
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Djabali |
ce que l'on voit très bien dans ce documentaire c'est à quel point l'échelon politique n'a plus grande importance, il est tellement gangrené par ses relations avec les marchés financiers ! Les décisions se prennent désormais dans les conseils d'administration des grandes banques, dans les agences de notation. Les institutions politiques ne servent plus que de relais pour recycler les cadres supérieurs des institutions financières et pour relayer les politiques élaborées par ces mêmes institutions. C'est très clair dans ce documentaire, les présidents des USA ont placé aux postes économiques stratégiques d'anciens cadres supérieurs des grandes banques financières, demandant de gérer la crise à ceux-là mêmes qui avaient construit le système qui a mené à la crise. Il était évident que la solution allait se faire, une fois encore, aux dépens de la population, pour le plus grand profit de ces mêmes institutions financières. | |||
14 novembre 2011 13h39
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R.WOLF |
c' est ce qu' on appelle demander au renard de garder le poulailler, ou encore demander aux narco-trafiquants de s' occuper de la lutte contre la drogue, ou aussi à un pompier pyromane d' éteindre l' incendie. il existe plusieurs versions. confier ses économies à un voleur existe également. | |||
14 novembre 2011 14h07
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Djabali |
c'est exactement ça, il fallait absolument gérer la crise dans l'intérêt des grands groupes financiers au moment où, comme l'explique Dominique Strauss-Kahn, tout le monde a paniqué | |||
14 novembre 2011 18h40
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R.WOLF |
et comme pas un seul quidam n' y comprenait rien à la finance, il n' y eut aucune résistance. maintenant on ouvre les yeux et on voit les dégâts, reste à voir où ça va se terminer (et comment) ce petit jeu. |