17 janvier 2013 13h18

Segel
Description d'une superbe installation aquaponique à Brooklyn ...

Désolé, les explications sont en anglais.

Description de l'installation :


Mise en place, étape par étape :
http://imgur.com/a/IdBrQ

Comme quoi, l'autosuffisance alimentaire est possible, même avec un petit jardin !

17 janvier 2013 13h28

Fabienne ?
"Possible" oui, quant à être rentable, vu les investissements consentis ????? Et le "foutoir" que ça fait, pour faire des macaronis aux épinards ....

17 janvier 2013 14h18

Paddy et maddy
pas besoin d allez si loin segel

http://www.paris.fr/loisirs/...


nous aussi on a des idées en FRANCEet meme a PARIS


17 janvier 2013 14h39

Segel
Ces initiatives, du type "jardin partagé, jardin d'insertion" sont très bien, mais leur intérêt est plus social qu'agricole.

L'aquaponie mélange élevage des poissons et culture de légumes !

17 janvier 2013 14h47

Paddy et maddy
a bon si il faut des poissons en plus la paddy septique de chez septique drole d idée

17 janvier 2013 14h59

Segel
Les crottes des poissons fournissent un engrais formidable.
Les végétaux permettent d'élever des vers et des insectes.
Ces vers et insectes vont nourrir les poissons.
Etc, etc ...

Et si on a des poules, des arbres, il y'a moyen d'enrichir ce cycle.

17 janvier 2013 16h55

Mag
Intéressant.

17 janvier 2013 18h27

abra
Les végétaux permettent d'élever des vers et des insectes
On peut s'arrêter là puisque les insectes seront demain notre source de protéines animales.
Quant aux poissons d'élevage, beurk !
http://t0.gstatic.com/images...

17 janvier 2013 19h20

Fabienne ?
Merci Abra, je vais filer ma demi crêpe restante au chien et aller vomir la moitié que j'ai déjà avalée .....

Et je suis à peine dans le second degré, depuis le bypass, la moindre image scabreuse me dégoûte profondément .... effet secondaire pervers : je deviens chochotte ....

17 janvier 2013 19h23

abra
Sorry Paka, il faut que tu gardes le peu que tu manges quand même !

Kes ki te ferait plaisir : un fruit, un gâteau, une salade bien fraîche ?

17 janvier 2013 19h27

Segel
Abra le poisson d'élevage est devenu la norme, et le sera de plus en plus.
Nos enfants et encore plus nos petits enfants ne connaîtront pas le poisson sauvage.
J'ai discuté un jour avec un pisciculteur qui m'a expliqué que tout dépend du mode d'élevage.
La densité notamment, pouvant aller jusqu'à 160kg/m3, ce qui signifie que le poisson ne nage plus, il attend juste que la nourriture lui tombe dessus ...
Ce pisciculteur élevait de la truite pour pèche sportive, et c'était une autre musique !

17 janvier 2013 19h46

abra
Tout fout le camp mon pôv Monsieur !
Nos gosses mangeront effectivement de la production de batterie, des poissons en filets et de poulets en morceaux. Ils ne sauront même plus à quoi ressemble l'animal dans son ensemble et les additifs remplaceront le goût qu'on a eu, nous, la chance de connaître
Il faudrait un minimum de cohérence entre les producteurs, les paysans et les gouvernements et aussi et surtout Bruxelles pour que toute cette merdasse prenne sens. Avec des directives qui changent tous les trois mois, difficile d'appliquer des programmes durables.
Ne reste plus qu'à s'affranchir de toute cette usine à gaz et se tourner vers le local et le durable.

17 janvier 2013 22h31

Segel
Je pense qu'il suffirait pourtant de quelques blocs de béton immergés aux bons endroits pour créer quelques havres de reproduction à l'abri des chaluts, comme les scientifiques l'ont montré en Méditerranée !

17 janvier 2013 23h46
modifiée
17 janvier 2013 23h50

jamydefix
Suffirait comme tu dis d'une bande de pirate à la green peace pour balancer des blocs de béton n'importe où, de préférence et la vie retrouvera ces droits très rapido en mer et au-delà.

19 janvier 2013 07h37

Fabienne ?
Abra : je sais remanger "normalement" 30 minutes après ......

Quand le gamin était petit, invariablement, c'est quand nous étions à table qu'il allait çà la toilette et invariablement on avait le "M'an vient essuyer mon derrière" .... Edouard n'a jamais su le faire et continuer de manger, moi, je m'en foutais carrément

Pendant les fêtes, la réclame de Gaïa, pour l'imitation de foie gras végétal m'a fait vomir plus d'une fois .... ils se foutent de moi, à la maison !!!!

19 janvier 2013 13h40
modifiée
19 janvier 2013 13h42

Paddy et maddy
CA FAIT PEUR PADDY AIME BIEN LE LAPIN MAIS LA NON PEUR

Contrairement aux plantes transgéniques, qui font la une des journaux à l’occasion, les animaux transgéniques restent dans l’ombre. Il faut dire que la grande majorité d’entre eux n'en sont encore qu’au stade de la recherche et du développement. En 1980 est développé le premier animal transgénique. Il s'agit d'une souris qui sécrète une plus grande quantité d’hormone de croissance. Sa taille est similaire à celle d’un petit rat. La première plante transgénique est développée un an plus tard. En plus de la recherche fondamentale, la transgénèse est appliquée aux animaux d’élevage. Certains animaux transgéniques servent à fabriquer des produits thérapeutiques et d’autres pourraient être utilisés comme donneurs d’organes.

ET ON NOUS DIT RIEN

19 janvier 2013 17h02

abra
On continue sur le saumon
Une tite pétition si le coeur vous en dit Avaaz - Stoppez l'attaque du poisson Frankenstein

19 janvier 2013 20h42

jamydefix
Je crois bien que les transformation transgènique, n'ont pas la résistance dans le temps que celles qui se sont réalisées durant des milliers, voir millions d'années.
Ce qui garanti "on espère..." leur disparition si on arrête avec ces conneries.
En attendant elles risquent évidement de faire de gros ravages, voir provoquer la disparition d'être non modifiés transgèniquement...

19 janvier 2013 20h45

Segel
Je découvre aujourd’hui même un réseau dénommé Avaaz [14]. Non, ce n’est pas une agence de voyage, c’est une ONG créée par Ricken Patel [15] (qui fut consultant pour ONU, Fondation Rockefeller, Fondation Bill Gates...) qui «organise la plus grande mobilisation sur le climat jamais réalisée: une alarme climatique à travers des “flashmobs” coordonnées partout sur la planète.» Le système fonctionne sous forme de chaîne et leur message convie à donner des dollars, beaucoup de dollars [16]: «Il ne nous reste plus que quelques jours. Si d’ici lundi, nous pouvions collecter 150 000 dollars, Avaaz pourrait engager les grands moyens sur ce projet: construire une carte du monde et un blog dans le style de Twitter permettant de relier tous les événements organisés pour le climat le 21 septembre; mettre en place une base de données téléphoniques mondiale pour permettre à des milliers d’entre nous d’inonder nos dirigeants de coups de téléphone; et enfin engager une équipe de professionnels pour faire la différence sur le terrain médiatique, face aux puissants lobbys industriels et pétroliers». Sans commentaires, 150 000 dollars pour créer un blog (de luxe) et une carte du monde. Un blog à gogos, s’entend. Avaaz se félicite de ce qu’Al Gore ait déclaré «Avaaz est une source d’inspiration et a déjà changé beaucoup de choses.» Tout ce petit monde se renforce mutuellement ses territoires de gratification. Cela ne mange pas de carbone. Avaaz organise des marches virtuelles avec des pancartes virtuelles sur la toile virtuelle. (Le lobbying est-il virtuel aussi?) Quelle bonne idée, cela économise du carbone. Il est vrai que les technologies de la virtualité “carbone zéro” ont bien amélioré les conditions de travail de nombreuses ONGs dans certaines parties du monde: les logiciels de mise en page, les courriers électroniques et les appareils de photos numériques permettent maintenant de présenter des dossiers virtuels et de générer beaucoup de soutiens financiers, non virtuels. On se gardera, bien évidemment, de généraliser. Cependant, beaucoup d’ONGs ne sont réellement que des organisations parasites lorsqu’elles ne sont pas infiltrées, parasitées, par le ver, pour des objectifs bien précis qui n’ont rien à voir avec le bien-être des peuples.

http://www.liberterre.fr/gai...




Signé quand même, sans rien attendre d'Avaaz (on se souvient du million de signatures contre les OGMs, avec zéro résultat).

20 janvier 2013 03h11
modifiée
20 janvier 2013 03h33

jamydefix
Excellent article et prise de tête.
Vaste escroquerie que se réchauffement climatique sur fond de CO2.
Tout cela pour planquer les responsabilités industriel d'une élite capitaliste, en faisant payer leurs cassent aux populations.
Décidément non je ne signerais rien.
Rockefeller fondation aura beau faire un ti chèque de quelques centaine de millier de milliard pour essayer de se blanchir le trou du au près des ONGs à son service, qu'il n'en restera pas moins et pour toujours, la pire calamité que la terre et les humains aient connues.

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