20 mars 2013 20h32

R.WOLF
Ils ne le seront pas (en sécurité

quand l' insurrection viendra).

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Mais ils ont déjà la queue entre les jambes.

20 mars 2013 20h45

R.WOLF
Sous quelque angle qu’on le prenne, le présent est
sans issue. Ce n’est pas la moindre de ses vertus.
À ceux qui voudraient absolument espérer, il
dérobe tout appui. Ceux qui prétendent détenir
des solutions sont démentis dans l’heure. C’est une
chose entendue que tout ne peut aller que de mal
en pis. «Le futur n’a plus d’avenir» est la sagesse
d’une époque qui en est arrivée, sous ses airs d’extrême normalité, au niveau de conscience des premiers punks.
La sphère de la représentation politique se clôt.
De gauche à droite, c’est le même néant qui prend
des poses de cador ou des airs de vierge, les mêmes
têtes de gondole qui échangent leurs discours
d’après les dernières trouvailles du service communication. Ceux qui votent encoredonnent l’impression de n’avoir plus d’autre intention que de
faire sauter les urnes à force de voter en pure protestation. On commence à deviner que c’est en fait
contre le vote lui-même que l’on continue de voter.
Rien de ce qui se présente n’est, de loin, à la hauteur de la situation. Dans son silence même, la population semble infiniment plus adulte que tous
les pantins qui se chamaillent pour la gouverner.
N’importe quel chibani de Belleville est plus sage
dans ses paroles qu’aucun de nos soi-disant dirigeants dans toutes ses déclarations. Le couvercle
de la marmite sociale se referme à triple cran tandis qu’à l’intérieur la pression ne cesse de monter. Parti d’Argentine, le spectre du Que se vayan
todos! commence à sérieusement hanter les têtes
dirigeantes


21 mars 2013 05h36
modifiée
21 mars 2013 06h07

Arsène Lupin
Je n'ai pas le temps de tout lire.
En France, il ne faut pas se trouver au mauvais endroit, au mauvais moment avec des mauvaises gens.
Pour l'instant, l'incivisme du haut vers le bas et vise versa tient grâce à notre système de pression économique et d'injustice sociale.
Des millions de gens sont en train ou vont crever par manque de ressource et dans des conditions inhumaines.
Heureusement, que nos forces de gendarmerie et de police sont sur le terrain pour maintenir la paix sociale à la campagne et à la ville.

21 mars 2013 10h16
modifiée
21 mars 2013 10h20

R.WOLF
En Belgique, les quartiers populaires ne sont jamais très loin de ceux très aisés. La paix sociale a un prix.
De plus l' "avantage" des petits pays, c' est que rapidement lors d' une crise, tout le monde est plus vite touché ; aussi les excès des dirigeants énervent aussi bien les classes moyennes que les moins favorisées. On ne peut pas dire c' est ailleurs. Sauf en Flandres où le rêve de certains est de se séparer du problème, c' est à dire la moitié du pays. Je ne sois pas sur qu' il s' agisse de la meilleure solution.
Sinon, nous n' avons pas tellement cette culture du chacun pour soi, on s' indigne vite lorsque quelque chose arrive et qui pourrait être évité.

21 mars 2013 10h47

Paddy et maddy
en France il y a des quartires protégés nuit et jours avez vous deja vue a neuilly ou les champs élysees ou les voitures brulent non des quartires riches sont mieux protéger que nous

cette mere courageuse oui mais le mal est fait la grece doit pouvoir recuperée le gros magot
d argents de riches greques planqué en suisse elle serait sauvée

paddy dit ça mais bon personne l ecoute alors paddy attend calmenent la revolution europeenne hélas que faire


paddy va quand meme reprendre nos petites economie car si comme chypre on peut plus avoir notre propre argent on est mal

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