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26 janvier 2014 22h42

gonzo
le droit de se plaindre appartient à tous.
on apelle ça la liberté de pensée .... ceci dit elle ne sert à rien pour tous.
même ceux qui votent

26 janvier 2014 22h45

Papy-Baby-seaters
tiens Gozo , je te croyais tombé au fond d'une bouteille de vin de Porto!

26 janvier 2014 23h11

gonzo
me suis mis au cognac.
le vin français est meilleurs

27 janvier 2014 00h11

lurette
Acceptez le, c'est le jeu de la démocratie d'avoir des partis extrêmes, donc forcément limite pas démocratiques
Personne, que je sache n'a parlé de l'interdire.
ça fait AUSSI partie du jeu démocratique, ne pas être d'accord avec un parti, sa ligne directrice, ou des éléments de son programme.....
Si pour toi faire cela, c'est antidémocratique, tu en es un de sacrément gratiné.

juste parceque c'est étiqueté "parti extrême"
j'en rien à cirer des étiquettes.
Je n'aime pas le FN à cause de points que je désapprouve, et que je désapprouve tout pareil chez les autres s'ils les revendiquent. Pas ma faute si c'est eux qui en rassemblent le plus... avec la droite/Coppé.
le fait que les parti au pouvoir n'ont pas rejeté l'immunité diplomatique de "Dassault
Suis d'accord, c'est lamentable.
le FN est déja au pouvoir ...sauf qu'ont l’appelle ump ou ps.
L'ultra-liberalisme je dirais plutôt..



Moi aussi, je préfère le cognac ..

27 janvier 2014 07h44

Pépé le Moko
le droit de se plaindre appartient à tous.
on apelle ça la liberté de pensée


Il faut que tu arrêtes avec la "liberté de pensée", c'est ridicule.
Ce n'est pas un droit, c'est une chanson de Florent Pagny.
Tu n'auras jamais à te battre pour la préserver celle-là, c'est comme la "liberté de respirer"

En revanche, la "liberté d'expression" est une des libertés les plus fragiles et dépend très rapidement de qui est au pouvoir et donc de qui est élu.

27 janvier 2014 08h23

Jean-Pierre ♫
Il y a une grosse différence entre la liberté de s'exprimer, par exemple sur un blog confidentiel, et la possibilité d'être entendu, par exemple dans une émission grand public...

Celui qui détient l’information détient le pouvoir.

http://www.agoravox.fr/actua...

27 janvier 2014 09h33

Segel
Je ne te le fais pas dire JP.
La base de la réflexion politique, avant même la capacité à s'exprimer ou à voter, c'est la liberté de se faire un avis éclairé correctement.

En ce moment je rédécouvre les ordonnances de 1944 sur la liberté de la presse :
http://fr.wikipedia.org/wiki...

Le 6 mai 1944 n'y avait-il donc rien de plus important que la liberté de la presse ?
Visiblement non.

Et nous avons oublié ...

27 janvier 2014 13h55
modifiée
27 janvier 2014 13h57

gonzo
Il faut que tu arrêtes avec la "liberté de pensée", c'est ridicule.
Ce n'est pas un droit, c'est une chanson de Florent Pagny.
Tu n'auras jamais à te battre pour la préserver celle-là, c'est comme la "liberté de respirer"

En revanche, la "liberté d'expression" est une des libertés les plus fragiles et dépend très rapidement de qui est au pouvoir et donc de qui est élu.


on y est pourtant dedans.

celle de pensé ...quand à celle d'expression elle ne change pas selon celui qui est élu.
elle change avec un putch.une prise dee pouvoir illégitime
tu suggère qu'il ne faut pas voter certains parti qui ne sont pas bien ?
ou une amputation de mon cerveaux pour que j'arrête de penser mal

27 janvier 2014 14h58

Pépé le Moko
Gonzo, ce que tu penses t'appartient et tu auras toujours la liberté de penser ce que tu veux. En revanche ce que tu dis dépend de la liberté d'expression et de ses limites imposées par les gens au pouvoir.
Si l'affaire Dieudonné a relancé le débat sur la liberté d'expression, c'est bien parce que la frontière entre elle et la censure est fragile. On vit dans un certain confort vis-à-vis de ça mais ça reste très fragile et tu serais bien naïf de penser que seul un putsch serait susceptible de la menacer.
tu suggère qu'il ne faut pas voter certains parti qui ne sont pas bien ?
Cela voudrait dire que j'estimerais détenir la vérité ce qui serait très présomptueux et je te mets au défi de trouver un seul de mes écrits qui puisse le suggérer. Je n'ai jamais jugé qui que ce soit sur ses choix politiques et je ne vais pas commencer aujourd'hui. Je ne vois même pas comment tu as pu en arriver là ? A moins que ce ne soit qu'une tentative grossière et maladroite de me provoquer ? Si c'est le cas, c'est loupé et je te suggère de trouver un autre angle d'attaque.
ou une amputation de mon cerveaux pour que j'arrête de penser mal
Tu veux vraiment que j'attrape la perche que tu me tends ? Tsss tssss tsss... Voyons... Gonzo...

27 janvier 2014 15h01

Segel
Les mots sont les briques de la pensée.
Prétendre être libre de penser passe par une réappropriation du langage.
C'est tout l'objet du combat de Chomsky depuis plus de 50 ans.
Et ça, c'est primordial.
Orwell avait démontré pourquoi d'ailleurs.

Orwell, qui s'était battu en Espagne, et qui a dénoncé la trahison des staliniens.

Quand je vois Valls, j'ai soudain beaucoup moins peur du FN.

15 février 2014 14h00

Tinou70
En revanche, la "liberté d'expression" est une des libertés les plus fragiles et dépend très rapidement de qui est au pouvoir et donc de qui est élu.

Cette liberté d'expression s'exprime au vote
Le choix du vote se fait à partir d'un programme et de celui qui nous l'expose
Donc l'élu doit appliquer son programme pour justifier nos votes

2"

15 février 2014 14h03

Jean-Pierre ♫
Les mots sont les briques de la pensée.
Prétendre être libre de penser passe par une réappropriation du langage.


C'est pourquoi le premier pouvoir est celui de l'éducation allié une information indépendante...

15 février 2014 14h08

gonzo
les mots les dogmes,la religion, la sociabilisation , vouloir imposer des valeurs.
autant de choses qui conditionne la manière de penser.

la liberté de penser, c'est aussi se battre contre des gens qui veulent t'imposer des valeurs.
No passara !!

13 mars 2014 09h36

Djabali
Tout à fait d'accord avec l'orientation du débat. La base, ce sont les mots. Il suffit de retirer les mots aux gens et plus besoin de limiter leur liberté dans les autres domaines : leur espace se réduit tout naturellement. C'est un des drames de l'éducation contemporaine...

13 mars 2014 15h54

Segel
L'éducation contemporaine au sens large du terme.
Car l'éducation nationale fait déjà ce qu'elle peut.

9 avril 2014 15h45

Pépé le Moko
Pour info ou pour rappel :
Depuis le 1er avril 2014, le vote blanc est comptabilisé (loi du 21 février 2014) ce sera donc actif lors des prochaines élections européennes.
C'est sans doute un peu tôt pour que cela soit significatif mais la voix de chaque électeur va enfin compter et j'en suis plus que ravi. Il est à noter que le message des abstentions reste ignoré car il est impossible d'en déduire une motivation mais le nombre croissant de votes blancs pour lesquels le message est clair, finissait par devenir trop important pour continuer à être ignoré.
Même s'il ne pourra pas (pour l'instant) modifier le résultat d'un élection, c'est quand même reconnaître qu'il y a deux attitudes vis à vis des élections :
1) l'abstention qui signifie "je me désintéresse" de la vie politique
2) le vote blanc qui signifie "Je ne suis d'accord avec aucune de vos propositions"

c'est cool. Il ne reste plus qu'à rendre le vote obligatoire et en faire un devoir et non un droit et on aura enfin une cartographie complète des opinions politiques des Français et je suis sûr qu'on aura des surprises.

http://blog.mondediplo.net/2...

9 avril 2014 17h28

Segel
C'est beau l'optimisme Pépé ...

Le vote blanc va-t-il être pris en compte dans les résultats?

Non. Les votes blancs ne seront pas pris en compte dans les suffrages exprimés. Les suffrages exprimés représentent l'ensemble des bulletins, moins les votes blancs et nuls. Les votes blancs seront juste une indication, comme peut l'être le chiffre de l'abstention, mais ils n'auront aucune conséquence sur le résultat du cote. «Il s'agissait de récompenser une expression positive de la vie politique que représente le vote blanc par rapport au vote nul, plus négatif, explique le rapporteur du texte. Une prise en compte de ce vote dans les suffrages exprimés aurait bouleversé notre vie politique. Il aurait été très difficile d'avoir un vainqueur lors de certaines élections.»
Les arguments des adversaires de cette prise en compte ont eu gain de cause. En effet, si les votes blancs étaient comptés, dans le cas où ils arriveraient en tête lors d'une élection au scrutin majoritaire, aucun candidat ne pourrait être désigné vainqueur. Une présidentielle serait rendue très difficile à remporter. L'actuelle Constitution stipule que «le président est élu à la majorité absolue des suffrages exprimés», elle obligerait le candidat arrivé en tête au second tour à rassembler plus de suffrages que ceux de son adversaire et des bulletins blancs assemblés. L'élection présidentielle de 2012 n'aurait alors pas connu de vainqueur. Même logique pour un référendum. Pour les législatives (scrutin majoritaire à deux tours), elle rendrait l'élection au premier tour plus difficile, car elle élèverait la majorité absolue.


http://www.lefigaro.fr/polit...


Tu sais, en Poitou-Charentes on connait la chanson avec Royal et sa "démocratie participative" ...

9 avril 2014 17h28

Segel
Les votes blancs seront juste une indication

L'indication ils l'ont déjà et depuis longtemps ...

10 avril 2014 10h20
modifiée
10 avril 2014 10h21

gonzo
le vote obligatoire ne garantie rien, et ne permet pas de traduire les mal être comme le sont le non vote.
le cas de la Belgique est flagrant ...
et les politiciens sont fort pour ne voir que ce qui les arrange, surtout quand ils gagnent une fois au pouvoir.
alors pour ne pas voir de signification, ils y sont très motivé.

L'abstention, n'est pas le mal, mais le symptôme d'un mal.

10 avril 2014 10h29

Segel
L'abstention, n'est pas le mal, mais le symptôme d'un mal.

La démocratie n'est que la façade politique du libéralisme.
Or tant qu'on ne posera pas des limites au libéralisme, notre démocratie sera malade.

Orwell avait suggéré la common decency.

10 avril 2014 17h44
modifiée
10 avril 2014 17h48

gonzo
la société à surtout besoin d'un esprit/étique/morale pour la tenir.
il y'avais la religion avant pour ça, aujourd'hui il n'existe plus rien.

ce n'est ni le rôle de la politique de le faire, ni et encore moins celui de l'économie.
la religion à laissé une place vacante d'un rôle que rien n'a repris.
c'est surtout la le souci. et le reste part dans des dérives inacceptable, mais il n'existe rien pour donner une cohérence au malaise qui existe.

il y'a quand même quelques formes de manifestation comme les indignés ou autre qui dénoncent les dérives étiques.
mais c'est encore insuffisant.
Si même le peuple n'a plus aucun avenir, la politique actuel est incapable de positionner correctement l'avenir de ces citoyens.
d'ailleurs, ce n'est pas le role de la politique.
qui quoi ou comment ?(dans quel étagère ?)

11 avril 2014 06h37
modifiée
11 avril 2014 06h38

sourire
C'est pourquoi le premier pouvoir est celui de l'éducation allié une information indépendante...
OUI mais l'éducation est inégale et orientée par le milieu dans lequel vous naissez...
c'est peut-être ce qui permet ces débats ici à l'auberge
L'information peut-elle être indépendante? L'homme est-il capable d'être "objectif", de faire abstraction de "son" éducation, de son entourage, de sa sensibilité?
Si je suis Gonzo, il n'existe plus rien mais je suis plus nuancée,et peut_être que les réseaux sociaux permettent à tous et chacun de faire le tour de toutes les questions de façon plus large qu'avec nos parents, nos éducateurs, nos politiciens, nos religions, que nous arrivons à peser le pour et le contre et donc choisir en toute indépendance? j'ose y croire... Je suis encore pleine d'illusions

11 avril 2014 08h56
modifiée
11 avril 2014 08h57

gonzo
les gens ont toujours quelque chose , mais c'est le système lui, qui n'a plus une certaine "conscience" ... une "ame".
un état d'esprit ou les gens peuvent se reconnaître et adhérer.
la finance, c'est bien beau, mais ce n'est pas une fin en soit.et ce n'est pas à la finance de créer un état d'esprit(ce n'est pas son rôle).

11 avril 2014 09h47

Segel
les gens ont toujours quelque chose , mais c'est le système lui, qui n'a plus une certaine "conscience" ... une "ame".

Ca me rappelle ces mots de mon maître de Tai Chi :
De nos jours, nombreux sont ceux qui, parmi nos contemporains, lorsqu'on les questionne sur l'âme, considèrent que l'âme ça n'existe pas. Or l'âme est le principe antagoniste de l'égo. Et de l'égo ils en ont, ça c'est certain. Comment pourraient-ils ne pas avoir d'âme ?
En même temps c'est nécessaire l'égo. On en a besoin pour s'affirmer et se faire sa place.
Mais l'âme aussi est nécessaire. C'est ce qui permet d'être cool et bien avec les autres.
En fait, les personnes équilibrées sont celles qui parviennent à mettre l'âme et l'égo à 50/50.


Maître William Nelson
http://www.meridientaichi.fr...

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