10 juin 2014 08h52
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Jean-Pierre ♫ |
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10 juin 2014 14h52
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Pépé le Moko |
Bien fait pour sa gueule. Moi, quand j'écrase un moustique sur le mur, j'essuie le mur ensuite (c'est vrai quoi, c'est dégueulasse - le mousse tique mais le mousse tache aussi - le mousse caille aussi mais ça n'a aucun rapport). Lui devait tellement avoir l'habitude que Conchita le fasse à sa place que ça ne lui est sans doute même pas venu à l'esprit. Et hop... il se fait chopper. D'où mon "bien fait pour sa gueule" Ceci-écrit, chapeau la police scientifique. | |||
10 juin 2014 15h06
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lurette |
On n'arrête pas le progrès ! Dans la lignée de Sherlock Holmes chasseur d'indices à 4 pattes avec sa loupe ... N'empêche qu'il fallait y penser, analyser un moustique écrasé pour y chercher des traces de sang du piqué.. | |||
10 juin 2014 15h28
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sourire |
J'adore! Le policier mérite une médaille mais j'ai un peu pitié de l'homme d'affaires! il a sans doute tué ce sale moustique aussi et franchement si ces vilaines bestioles pouvaient définitivement disparaitre, je serai vraiment heureuse! Depuis 3 jours je me paye une crise de malaria carabinée alors, franchement je ne les aime pas. Celui de ce beau roman policier n'y est pour rien mais bon, tant pis pour lui! bzzz, sale bête.Pour les coeurs tendres, j'ai aussi une pensée pour le pauvre mort. |