7 octobre 2014 21h42
modifiée 7 octobre 2014 21h53 |
Emma |
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7 octobre 2014 21h52
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gonzo |
j'sais meme pas qui s'est cette sandrine. mais surtout , c'est une histoire de gens qui pètent plus haut que leurs culs | |||
7 octobre 2014 21h58
modifiée 7 octobre 2014 22h13 |
Emma |
Gonzo (faut pas croire, mais c'est chiant à rendre lisible un échange FB!) Perso, j'ai juste demandé à Djabal de s'enlever les phalanges des orbites ou de la fosse nasale! Ce qui reste du C** dans une momie je ne sais pas!! Sinon, je ne suis pas "convain cue" (désolée il fallait que je la fasse) par les arguments de l'Académie française, ni par la rétine de Djabali! (ou du moins ce qu'il en reste!) | |||
7 octobre 2014 22h21
modifiée 7 octobre 2014 22h24 |
gonzo |
Va je dirai que cette histoire n'a pas de fond. Ni d'un coté ni de l'autre. Je donne juste un point pour la forme pour le député. Au moins c'est drôle...dénué d'intérêt... mais drôle. La réaction un peu conne....sorry. et c'est que. les députés font preuves de gamineries.ceci n'échape pas à la règle. craignos | |||
7 octobre 2014 22h55
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Djabali |
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8 octobre 2014 06h21
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Segel |
Récemment j'ai écrit un mail à une patronne de labo formulé "Madame le Professeur". Avais-je bon, ou avais-je faux ? | |||
8 octobre 2014 13h34
modifiée 8 octobre 2014 13h44 |
lurette |
Tout ça parait bien ridicule.. mais ce n'est pas pour une erreur de vocabulaire, que le député a été sanctionné, mais parce qu'il l'a employé à plaisir et de façon répétée, et à plusieurs autres occasions, dans le but affiché de tacler et humilier la dame.. en tous cas c'est ce que j'ai compris de l'histoire. Ce qui fait quand même cour de récré.. Une professeure, une auteure Quelle horreur ! une professeur, une auteur, ça suffit amplement. On dit pas non plus docteure.. acteur> actrice, agriculteur> agricultrice, présidente>présidente, commerçant>commerçante, etc.. ça le fait, par contre très bien. La féminisation des noms de métiers est une bonne chose, destinée à donner une place légitime à la professionnalisation des femmes. Mais certains mots se prête mal à la féminisation, je vois pas vraiment l'utilité dans ce cas de les enlaidir ; qq exceptions ne font que renforcer la règle, faut éviter l'excès aussi. Car alors, faudrait-il enlever le E de journaliste, de libraire, pour un homme ? | |||
8 octobre 2014 18h26
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Djabali |
@Segel, tu as parfaitement raison. Même si, manifestement, cela déplaît parfois... @Lurette, quoi qu'il en soit, il s'agit d'un usage de la langue française, on ne peut le sanctionner pour cela. Un professeur, un auteur, même lorsque c'est une femme. En revanche, c'est vrai pour les diminutifs, une prof fait totalement partie de la langue. La féminisation des noms de métier n'est pas une bonne chose, pour moi c'est vrai un outil pédagogique utilisé par des gens qui n'ont aucune volonté de s'attaquer aux problématiques réelles : la discrimination des femmes à l'embauche, les salaires différents pour des postes équivalents, la sous-représentation des femmes dans certains secteurs (direction de l'entreprise, politique par exemple)... Féminisons donc les appellations, histoire que les femmes soient contentes ? Relisez 1984... | |||
8 octobre 2014 18h29
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Segel |
Relisez 1984... Je le termine à l'instant justement ... | |||
8 octobre 2014 18h46
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Djabali |
On jette en pâture des mots pour éviter la réalité... Je trouve assez pathétique cette élue, elle ferait mieux de travailler à l'amélioration de la représentation féminine en politique, par exemple en faisant un travail efficace plutôt que de donner une image aussi lamentable de son petit combat personnel... | |||
8 octobre 2014 19h45
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Emma |
Que ce ne soit pas "the" combat d'avant garde de la cause des femmes, c'est certain! Que cette anecdote ne soit qu'une anecdote, c'est sûr également. Maintenant Djabali, je ne te rejoins pas sur: La féminisation des noms de métier n'est pas une bonne chose Il me semble au contraire que les mots ont un sens et donnent du sens. Le fait que les métiers en bas de l'échelle sociale (sans jugement de valeur aucun, je parle de salaires) ont tous été féminisés à un moment ou à un autre, alors que ceux des métiers appartenant aux plus hautes strates ne le soient pas, m'interroge. L'argument de l'Académie françaisen nous présentant le masculin, comme un "neutre" ne tient pas, puisque justement on a su féminiser certains métiers (Boulangère, pâtissière -mais pas chef (cuisinier)- institutrice-mais pas professeur-, infirmière-mais pas docteur-...etc...) Encore une fois, que ce ne soit pas l'urgence du moment, ne veut pas dire, que cela doit rester en l'état, selon moi. | |||
8 octobre 2014 20h02
modifiée 8 octobre 2014 20h06 |
lurette |
on ne peut le sanctionner pour cela. SI. Parce que justement, ce terme-là, précisément, "madame la présidente", est inscrite dans les statuts de l'Assemblée depuis 1984. Statuts et règles qu'il ne pouvait manquer d'ignorer, et que d'ailleurs à part à l'égard de cette dame, il s'était toujours conformé. Il n'en est pas à sa première utilisation erronée exprès, avec en face la même dame ; la 1° fois, ça a juste été relevé, en lui signifiant qu'il n'employait pas les termes exacts. Mais il s'est empressé de récidiver, dans le seul but de la tacler et l'humilier et l'a répété à plusieurs reprises. Un crétin qui se croit le coq de la cour de récré. Rien de pathétique dans la réaction de la dame, juste remettre en place un abruti, qui l'a bien cherché. T'inquiètes, personne y a passé la nuit, et cet incident n'a empêché personne ne continuer à bosser sur les dossiers en cours et sur d'autres. Il faut bien distinguer la règle en vigueur dans l'Assemblée, avec des règles en vigueur, qu'un élu se doit de suivre, (que ce député a délibérement ignoré, et uniquement à l'égard de cette personne, à plusieurs reprises) et l'usage courant dans la vie "normale" ou rien n'est imposé à ce niveau, et n'est assujetti qu'à appréciation personnelle. | |||
8 octobre 2014 20h30
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gonzo |
ça ne casse trois pattes à un canard que dans le milieux de l’assemblée | |||
8 octobre 2014 20h47
modifiée 8 octobre 2014 21h32 |
Emma |
ça ne casse trois pattes à un canard Certes, mais non seulement Lurette marque des points, quant au cas précis que soulève cette anecdote, (ce type est un mufle! et s'il ne peut y réfléchir, et bien tant mieux qu'il soit attaqué sur son portefeuille!) Et sur le fond, je me répète les mots ont un sens et donnent du sens. | |||
8 octobre 2014 21h52
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gonzo |
L'égo des femmes n'à rien à envier celui des hommes. La langue évolue plus vite que le séna...c'est un fait. Ça reste un corporatisme illigitime très conservateurs. Des dinausores....ça se refait pas. Si c'est statué dans le marbre y'a 5000 ans. C'est comme ça et pis c'est tout. Je trouve justement le terme 'connerie' approprié. C'est que le bon 'con' est justement souvent dans sont bon droit. | |||
8 octobre 2014 21h54
modifiée 8 octobre 2014 22h28 |
lurette |
ça ne casse trois pattes à un canard que dans le milieux de l’assemblée bien évidement, que c'est parce que c'est dans le cadre de l'assemblée ! dans un autre, qui diable en aurait parlé, ou l'aurait relevé jusqu'à aller dans la presse ? C'est du même acabit -la manière dont ce député en a usé de ce vocabulaire- que l'autre imbécile il y a qq temps qui s'était mis à caqueter pour ridiculiser une femme députée. Abrutis !! Et si un s'amuse à se moquer d'un gros, d'un maigre,d'un chauve, d'un black ? à singer la cage aux folles devant un député homo dès qu'il n'est pas de son bord ? C'est du même ordre ! On les paye assez cher, ces élus, pour qu'ils se tiennent à un minimum de respect envers leur fonction, et le rôle qu'ils représentent que NOUS, les citoyens, ont leur a offert ! Alors bien sûr qu'il y a plus grave, ça va s'en dire, c'est un incident plutôt anodin et tout sauf un drame... mais bon, le rappel à l'ordre de certains fondamentaux est parfois, apparement, nécessaire. et bien tant mieux qu'il soit attaqué sur son portefeuille! ben oui, il l'a cherché et en toute connaissance de cause. | |||
8 octobre 2014 22h43
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gonzo |
http://www.lemonde.fr/videos... | |||
11 octobre 2014 15h03
modifiée 11 octobre 2014 15h09 |
Djabali |
Je suis scrupuleusement les positions de l'Académie ... d'autant qu'on ne pourra jamais dire une chauffeuse, une médecine, une jardinière, une entraîneuse (bon, si, ça existe mais c'est un autre type de sport) ... | |||
12 octobre 2014 22h38
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Emma |
Woo! Tu m'agaces Djab! Qu'est ce qui empêche de dire: Une chauffeur! Une médecin! Une jardinier! Une entraîneur! Pour respecter le sacro saint "neutre" de l'Académie française a laquelle tu sembles tenir!? sans dire pourquoi d'ailleurs... | |||
12 octobre 2014 22h43
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gonzo |
il fait comme il veut. parler , c'est d'abord sont choix. pourquoi t'énnerver ? c'est comme s'énnerver contre qq'un qui préfère le rouge alors que soit c'est vert . surtout que bon...en plus l'acadamie reste une référence pour la langue. pas le séna | |||
12 octobre 2014 23h20
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Emma |
Oauis t'as raison! Mon gonzo! Je ne suis pas vraiment énervée, mais je ne comprends pas ce combat d'arrière garde de Djab (qui du coup me radicalise, sur une truc dont je me contrefiche à la base... ...) | |||
12 octobre 2014 23h23
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Segel |
Les mots conditionnent la pensée. C'est donc un sujet plus important qu'il n'y parait. | |||
12 octobre 2014 23h46
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Emma |
Les mots conditionnent la pensée. C'est ce que je disais là: les mots ont un sens et donnent du sens. Et c'est là où je ne comprends pas Djabali: Pourquoi défendre le positionnement de l'Académie (réputée pour être assiégée par de vieux matcho totalement réac, au mieux dépassés par leur temps! -leurs arguments sur cette question ne donnant pas plus d'une patte à un canard!) et encore moins, la mauvaise provoc de ce député qui s'est fait un petit plaisir mesquin et sans fond, si ce n'est faire chier sa collègue!?... | |||
12 octobre 2014 23h51
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Segel |
En même temps c'est pas pratique une langue sexuée pour atteindre un idéal où nos pensées seraient le plus possible asexuées. | |||
12 octobre 2014 23h56
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Emma |
Justement! Pourquoi avoir sexué le neutre en utilisant le masculin en français!? Les Anglo saxons sont plus clairs que nous sur ce point ("it") mais à défaut qu'est ce qui empêche d'utiliser les articles féminins pour enlever se pseudo neutre qui est en fait un masculin (à fortiori sur ces titres, métiers, fonctions que bon nombre de bonhommes voudrait voir rester l'apanage des hommes!?) | |||
13 octobre 2014 00h04
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Segel |
Justement, j'ai tendance à utiliser le masculin en guise de neutre. Exemple, lorsque tu écris "les hommes" je comprends spontanément "les humains". Suis je donc de compréhension singulière ? | |||
13 octobre 2014 00h13
modifiée 13 octobre 2014 00h16 |
Emma |
Pourtant il y a des codes reconnus (par l'Académie) pour ça: si j'écris les "hommes" cela veut dire les mecs, pour dire les êtres humains c'est les "Hommes" avec un grand "H". Tu vois c'est tellement flou que l'on en oublie la règle (qui se lit et ne s'entend pas, d'ailleurs!!!) Donc je crois finalement que je vais entrer en lutte contre l'Académie française et ... Djabali <3 !! | |||
13 octobre 2014 00h17
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Segel |
C'est aussi une question de contexte. Pour ma part je n'utilise jamais le grand "H" que je trouve trop anthropocentrique. | |||
13 octobre 2014 00h25
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Emma |
Pourtant c'est le sens reconnu par l'Académie française: le "H" introduit le neutre entre masculin et féminin et permet (soit disant) de distinguer les hommes mâles des Hommes êtres humains quand on veut parler des êtres humains! Depuis le loi salique, la France est de toute façon un pays totalement misogyne!Au point de plus comprendre ses propres nuances le langues (désolée, Segel malgré toi tu viens d'en faire la preuve! ) | |||
13 octobre 2014 00h30
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Segel |
La France a perdu 1/4 de sa surface à cause d'une héritière nommée Aliénor ... on comprend bien qu'après 113 ans de guerre on en ait tiré quelque leçon non ? | |||
13 octobre 2014 00h41
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Emma |
Pauvre Alienor d'aquitaine qui porte sur ses épaules des lois misogynes qui ont au moins 12 siècles de plus qu'elle!! | |||
13 octobre 2014 00h47
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Segel |
En attendant elle a réussi l'exploit d'avoir été reine de France, et reine d'Angleterre ... | |||
13 octobre 2014 01h12
modifiée 13 octobre 2014 01h15 |
Emma |
Sauf erreur de ma part elle reste reine consort et malgré son influence jamais chef de l'Etat français... (Ce qui nous éloigne, un peu quand même, du point de départ de mon propos.. hormis le fait que ce foutu neutre français est bien masculin!! ) | |||
13 octobre 2014 01h18
modifiée 13 octobre 2014 01h38 |
Segel |
Cette dérive t'étonne encore ? Mais certes, recentrons je veux bien. Je ne comprend pas le masculin comme "ayant sexué le neutre" en français comme tu l'écris. Le neutre n'existe pas vraiment en français, il faut donc l'inventer. Et il me semblerait plus simple, pour éviter de tout changer, de partir sur la base des mots masculins, en changeant leur sens, plutôt qu'en cherchant à créer de nouveaux mots. Une entreprise un peu façon novlangue finalement. Mais si on veut amener les mentalités à évoluer, je ne vois pas d'autre chemin. Car ce n'est pas en féminisant des mots masculins qu'on atténuera la sexualisation du langage, bien au contraire. Bon allez, je vais au dodo ... a+ Manouchka ! | |||
13 octobre 2014 01h52
modifiée 13 octobre 2014 09h23 |
Emma |
Bonne nuit Segel! Fais de jolis rêves! ... Mais pour demain: Je ne comprend pas le masculin comme "ayant sexué le neutre" en français comme tu l'écris. Et bien ça peut donner: "ce garçon et cette filles sont beaux" pas "belles" ou encore "des filles et un garçon sont heureux" encore moins "heureuses" même si le gars est seul et les filles très nombreuses! C'est ça entre autre, "sexuer le neutre" en Français, alors que le neutre existe bel et bien en pratique, on lui donne le genre masculin (pourquoi un gars l'emporterait sur plein de filles!?) Et il me semblerait plus simple, pour éviter de tout changer, de partir sur la base des mots masculins, en changeant leur sens, plutôt qu'en cherchant à créer de nouveaux mots. Quand je propose de dire "madame la professeur(e)" voire "madame la présidente" (et pas présidentrice) je ne fais que te suivre! Car il n'empêche que l'argument de l'Académie française est que le neutre en français s'apparente au masculin et qu'il ne faut rien changer! Et, franchement, je ne vois pas pourquoi! Il pourrait y avoir une adaptation, à défaut d'inventer un réel mot neutre, au cas par cas dès que les mots le permettent! (on nous a bien fait avaler "les z'haricots" ce qui me semble bien plus dur à l'oreille que "madame la présidente", non!?) | |||
13 octobre 2014 10h51
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Segel |
Car il n'empêche que l'argument de l'Académie française est que le neutre en français s'apparente au masculin et qu'il ne faut rien changer! Et, franchement, je ne vois pas pourquoi! Parce qu'insister sur le féminin c'est également insister sur les différences masculin/féminin, et donc c'est mettre en valeur une sexualisation des mots qui ne devrait justement pas être un sujet. Je le vois sur les mails que je reçois du parti EELV ... l'utilisation systématique de ces formulations "élu-e-s", "Cher-e-s ami-e-s, adhérent-e-s ou sympathisant-e-s écologistes,", "Bonjour à toutes et tous", etc... m'énerve car elles ne font qu'accentuer -sous couvert d'un féminisme maladroit- les distinctions homme/femme. Et qu'en est-il des homos ou des transgenres alors ? Pourquoi doit-on résumer l'humain à deux catégories bien identifiées ? Ne conviendrait-il pas mieux d'évoluer dans sa tête et considérer que le masculin peut désigner tout ça à la fois ? | |||
22 octobre 2014 21h59
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Djabali |
http://www.francetvinfo.fr/p... | |||
22 octobre 2014 22h17
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Jean-Pierre ♫ |
Ah. Ben si c'est l'Académie qui le dit, nous n'avons plus qu'à nous incliner bien bas. Wech, wech, les avis de ces sages ont force de loi. Et en plus, je kiffe grave leurs costumes de oufs. | |||
22 octobre 2014 22h20
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Segel |
J'ai été confronté au problème récemment quand j'ai rencontré l'ambassadeur d'Allemagne, qui est une femme. Comment s'adresser à elle par écrit d'après vous ? | |||
22 octobre 2014 22h39
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Jean-Pierre ♫ |
Susanne. | |||
22 octobre 2014 22h40
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Segel |
Pourquoi pas Suzy tant que tu y'es !!! | |||
22 octobre 2014 22h42
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lurette |
Ben, Mme l'ambassadeur, pourquoi chercher midi à 14 heures ? Comme j'ai dit plus haut, il y a des mots qui se prete bien à la féminisation, d'autres pas, suffit de suivre ça. Mme le président, c'est nul, Mme l'ambassadrice aussi.. | |||
22 octobre 2014 22h43
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Jean-Pierre ♫ |
Suzy uniquement quand elle est dans ton lit. Sinon, c'est quand même trop osé. | |||
22 octobre 2014 22h44
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Segel |
Mme l'ambassadrice je trouve ça nul aussi, mais comment savoir si c'est la version correcte ? La valeur générique du masculin encore une fois. | |||
22 octobre 2014 23h09
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lurette |
Et Suzon, c'est pour quelles circonstances ? | |||
22 octobre 2014 23h16
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lurette |
Segel, à ta place, Mme l'ambassadrice, je ne m'y risquerais pas. ça fait trop carrément miss de produits de beauté... https://www.google.fr/search... http://www.loreal-paris.fr/p... - Bon, ça dépend, si tu t'adresses à Suzy, peut-être sera t-elle flattée.. | |||
22 octobre 2014 23h18
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Segel |
''Parce que je le vaux bien'' | |||
23 octobre 2014 07h23
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Jean-Pierre ♫ |
Et Suzon, c'est pour quelles circonstances ? Segel rencontre Mme l'ambassadeur. Bien vite, il l'appelle Susanne. Sitôt dans son lit, il lui donne du Suzy. Il perdra la tête quand il l'appellera Suzette et perdra la raison quand il la nommera Suzon. (Moi aussi je sais me montrer brillant...) Vidéo YouTube | |||
23 octobre 2014 10h30
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Segel |
En tout cas les allemands ont eu raison de nommer une femme. Une main de fer dans un gant de velours ... | |||
19 décembre 2014 17h17
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Djabali |
Vidéo YouTube |