6 novembre 2014 10h40
modifiée 6 novembre 2014 10h43 |
sourire |
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6 novembre 2014 13h01
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Segel |
Ca fait penser à Monaco qui reconduit les SDF à la frontière ... Je ne comprends pas comment on peut se sentir bien en vivant dans un ghetto pour riches entourée de grilles et de miradors ... | |||
6 novembre 2014 13h07
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Jean-Pierre ♫ |
un ghetto pour riches entourée de grilles et de miradors c'est la définition même de l'espace Schengen : http://www.huffingtonpost.fr... | |||
6 novembre 2014 13h18
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Segel |
Un ghetto de 420 millions d'habitants n'est plus vraiment un ghetto. Mais en effet, nous sommes une région "riche" du globe. Et les migrants de Calais démontrent bien que grilles et miradors ne sont pas si imperméables que ça. D'ailleurs, nous avons aussi nos pauvres au sein de l'espace Schengen. Ca aussi, ça fait une différence avec Monaco. | |||
6 novembre 2014 14h19
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sourire |
Le drame, c'est que tous ceux qui croient trouver l'eldorado en Europe, ne nous croient pas quand on leur dit que la fortune est rarement au bout du voyage, mais plutôt la clandestinité, le froid, la misère... et après, ils n'osent plus rentrer chez eux. C'est un vrai drame car ceux qui sont restés au pays - et qui ont souvent financé le périlleux voyage - sont persuadés que leurs frères, pères, sont heureux chez nous et ils ne comprennent pas qu'ils soient aussi ingrats et ne les aident pas d'avantage. | |||
6 novembre 2014 14h53
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Segel |
quand on leur dit que la fortune est rarement au bout du voyage, Ce n'est pas assez fort. C'est ça qu'il faut leur montrer : http://www.air-journal.fr/20... Ou ça : http://www.airdumboa.com/ass... | |||
6 novembre 2014 19h49
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sourire |
Oui et tu peux rajouter même si ce n'est pas aussi grave, ceux qui restent enfermés dans une chambrette sordide de 6/8 m2, des mois et des mois sans papiers, sans pouvoir sortir, vivant dans la promiscuité avec 5 ou 6 personnes, sans argent... J'en connais hélas beaucoup, et ensuite rapatriés comme des bandits...J'ai assisté à un retour de 4 nigérians! la scène était terrifiante. Ces hommes se roulaient parterre, nous appelant à l'aide, refusant de monter dans l'avion, mentés en embarqués de force | |||
6 novembre 2014 21h38
modifiée 7 novembre 2014 04h15 |
jamydefix |
Sourire tu pourrais aussi leur dire que ça coute 750€ à Sevilla pour chercher sa bouffe dans les poubelles... Sevilla multa con 750 euros a los que rebusquen en la basura http://www.lavozdigital.es/m... Mais c'est tellement monstrueux qu'ils ne te croiront pas... "Le genre de chose qui donne toujours plus de poids à PODEMOS." Sorry Me sans très très couillon d'avoir fini avec cette phrase.. | |||
7 novembre 2014 08h05
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sourire |
Ouah! on n'est jamais "couillon" quand on dit ce que l'on pense avec passion et sincérité! Tu sais, couillon, pour moi, c'est amical et ça a bercé mes vacances de gamine dans les Pyrénées. J’entendais plus de "Eh couillon" que de bonjour! | |||
7 novembre 2014 13h19
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jamydefix |
Merci sourire mais c'était je crois très connement impulsif de ma part. Disaient-ils "et coño" dans les pyrénées? "Coño" qui veux dire couillon est une expression aussi très commun aux canaris, on y préfère ça à "ostia" de hostie qui est plutôt utiliser par les espagnoles... Va savoir pourquoi... |