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| 27 mars 2010 13h50
| La "grande muette" t'as jamais entendu parler Luna ? | |
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| 27 mars 2010 13h35
| TOUS DES COYOTES !!! ... et je sais de quoi je parle, j'en ai dans ma famille ;-( | |
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| 27 mars 2010 13h13
| Le simple fait d'utiliser les mots 'militaire' et 'liberté d'expression' dans la même phrase me fait doucement sourire. J'aimerais plutôt qu'ils aient la 'liberté de désobéir' ... | |
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| 27 mars 2010 13h12
| En effet, on ne peut pas toujours éviter de manger au resto. Lorsqu'on travaille notamment. | |
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| 27 mars 2010 13h11
| J'ai un petit faible pour 'Coquefredouille' ... Diantre - Le Garde-mots ... sinon plus ancien oserais-je un "cornecul la vermole" ? | |
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| 27 mars 2010 13h08
| Si on s'intéresse un peu aux thérapies 'alternatives' on se rend compte qu'il y'a beaucoup de pistes. Mon boulot m'amène à côtoyer des labos pharmas depuis plus de 15 ans, dans ce domaine. Et bien je dois dire que si j'étais malade ou si l'un de mes très proche était atteint, je regarderais avec attention toutes ces thérapies 'alternatives'. | |
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| 27 mars 2010 11h46
| Pour obtenir satisfaction faut-il commencer sa question par "Diantre" ? | |
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| 27 mars 2010 11h38
| Oui, un retour à l'agriculture familiale. | |
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| 27 mars 2010 11h36
| "dans notre quotidien" cela concerne-t-il aussi les industriels ? | |
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| 27 mars 2010 10h49
| Luna : toute ma jeunesse ! | |
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| 27 mars 2010 10h24
| Salut à toi Fantomas ! Vidéo YouTube | |
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| 27 mars 2010 10h06
modifiée 27 mars 2010 10h07 | C'est la même logique qui pousse les patrons à dire aux ouvriers français : "ne vous plaignez pas vous avez vu les conditions des lituaniens" ... Le même patron dira aux lituaniens "ne vous plaignez pas vous avez vu les conditions des chinois" ... Le même patron dira aux chinois "ne vous plaignez pas vous avez vu les conditions des enfants qu'on fait travailler en Inde" ... Etc, etc ... Et pendant tout ce temps on ne cherchera surtout pas à se préoccuper des conditions du patron lui-même. C'est toujours la même logique. Mettre les gens en concurrence les uns avec les autres permet de leur faire oublier les causes réelles et profondes de leur situation. Mais sinon c'est marrant mais j'ai comme l'impression de connaître ce Fantomas ... ;-) | |
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| 27 mars 2010 10h03
| Je dirais même que les deux options sont liées. La remarque que je faisais sur les prix des produits agricoles en était justement le clou. On a diminué les prix, forcément en diminuant la qualité, sans que ça profite pour autant à ceux qui préalablement n'avaient déjà pas les moyens de bouffer. Est-ce donc ce système qu'on veut encourager en ignorant la qualité et en ne se focalisant que sur les quantités ? Et bien rendez-vous dans 40 ans pour constater les dégats ... | |
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| 26 mars 2010 23h32
| Enfin bon, pour revenir au sujet la discussion, le gars est un peu timbré pour faire ça aussi ... La restauration ça devrait être reservé à ceux qui ont la vocation pour faire ça avec amour. C'est là la différence qu'il y'a entre un "métier" et un "emploi" !!! | |
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| 26 mars 2010 23h18
| Boa noite Troubadour ! | |
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| 26 mars 2010 23h17
| Quand je vois les normes hygiénistes démentielles que Bruxelles impose aux petits commerçants, et quand je vois les problèmes d'hygiène qui surviennent dans l'industrie agro-alimentaire du fait de la "production de masse" je me dis qu'on ne joue pas sur la bonne variable. Revenons à des productions à taille humaine. 80% des personnes sous-nutries sont des agriculteurs ... Oui à l'agriculture familiale partout sur la planète ! | |
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| 26 mars 2010 23h14
| Le prix des produits agricoles a été divisé par deux en quarante ans. Pendant ce temps le nombre de personnes victimes de malnutrition est passé de 918 millions à 815 millions. Cherchez l'erreur ! | |
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| 26 mars 2010 23h00
| Fais de beaux rêves alors ...  | |
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| 26 mars 2010 22h33
| Bonne nuit à toi ! | |
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| 26 mars 2010 22h33
| Luna les problèmes de sous-nutrition d'une part et de sur-nutrition d'autre part sont liés. C'est très bien montré dans "We feed the world" d'ailleurs. | |
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| 26 mars 2010 22h32
| élimination programmée ? Non, nous rendre malade leur suffit. Il faut qu'on meure lentement et à petit feu. Ca rapporte beaucoup plus comme ça. Le savon de Marseille est effectivement plus "décapant". Mais bon le mieux c'est encore si on peut éviter de s'exposer à ces agressions chimiques que sont le métal d'une part, et des produits décapants d'autre part. Mais je sais qu'on n'a pas toujours le choix. | |
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| 26 mars 2010 22h24
| Je suis désolé pour toi Luna, d'autant plus que je sais que c'était en réponse à une de mes interventions sur "l'insurrection qui vient" et la décroissance ... celle-ci il me semble : A l'occasion j'aurais bien voulu savoir au moins ce que tu en pensais en bref ... D'un autre coté ça oblige à faire synthétique. C'est plus digeste. Mais bon, j'ai moi-même osé balancer un gros pavé alors je fais mon mea culpa. | |
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| 26 mars 2010 22h20
| Le savon de Marseille est assez agressif tout de même. Le savon d'Alep est plus doux ... mais plus cher aussi. Concernant les parabens, ce sont des cancérigènes notoires, surtout au niveau du sein, et on les trouve parfois sous des appelations du genre "benzoate de truc", "parabenzoate de machin", etc ... Bref, tout ces produits donc on ignore la raison et que les industriels nous imposent, je m'en méfie par principe. | |
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| 26 mars 2010 21h57
| Sur le déodorant attention aux parabens. Perso c'est savon d'alep point ... En général j'évite les produits "transformés" donc ce site me concerne peu. C'est aussi une question "d'engraisser la machine" au minimum. | |
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| 26 mars 2010 21h47
| Au revoir Ti-toine. Tu te sens mieux loin des forums ... je peux comprendre. J'ai un ami qui a résilié internet depuis près de 6 mois, pour lutter contre sa cyberdépendance. C'est chronophage en plus tout ça. Bref ... bonne continuation à toi si tu nous lis ! | |
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| 26 mars 2010 21h43
| D'un autre coté il ne faut pas tomber dans le délire hygiéniste. Le restau c'est peut-être cracra, mais on oublie un peu vite comment c'était dans les foyers des campagnes françaises il y'a seulement 50 ans ... | |
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| 26 mars 2010 21h40
| Moi aussi je trouve ça un peu trop court. Ce serait idéal si on pouvait le paramétrer. J'ai déjà écrit à Jean-Pierre à ce propos. | |
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| 26 mars 2010 21h13
| "Control oil and you control nations; control food and you control people." Henry Kissinger | |
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| 26 mars 2010 15h38
| Je reviens sur la question de base. Je viens de tomber sur une info intéressante : T. Colin Campbell avec son étude en chine affirme que presque tous les cancers peuvent être guérit (80% de réussite, même lorsque le patient est en phase terminal) simplement avec un régime végétarien approprié. http://en.wikipedia.org/wiki... Quelqu'un en a entendu parler ? | |
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| 26 mars 2010 15h18
| "Je donnerai au Téléthon quand on sera obligé de faire la quête pour faire la guerre" Pierre Desproges | |
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| 26 mars 2010 11h18
| Un chèque annulé en théorie il appartient à la banque. Moi je le déchire et j'agrafe les morceaux sur la souche, à la page concernée. | |
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| 26 mars 2010 10h19
| Boh maintenant ils masquent une partie des chiffres il me semble ... | |
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| 26 mars 2010 10h18
| Salut (pardon pour mon impolitesse), Je voulais juste vous avertir de ne pas vous rendre malades. C'est pourquoi le mental compte énormément lorsqu'une personne se bat contre un cancer par exemple. | |
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| 26 mars 2010 10h14
| Ouais, par exemple tu gardes toutes les pubs du Leclerc du coin pendant un an, et puis tu viens à Leclerc livrer tout ça ... | |
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| 26 mars 2010 10h12
| Euh ... là c'est limite parano selon moi. | |
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| 26 mars 2010 10h12
| A vrai dire je ne suis pas sur moi-même d'avoir vraiment compris les paroles de la bombe humaine. | |
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| 26 mars 2010 10h10
| Tous les ans les antipubs lyonnais organisent une livraison à l'expediteur des kilos de papiers non désirés. J'aimerais bien voir ça à l'occasion. | |
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| 26 mars 2010 10h09
| L'effet placebo n'est pas toujours bénéfique, il peut être de nature dommageable pour l'individu : c'est l'effet nocebo (du latin : « je nuirai »). On a ainsi pu observer l'apparition de troubles chez des riverains d'une antenne-relais de téléphonie mobile, alors même que l'installation n'avait pas encore été mise en service. http://fr.wikipedia.org/wiki... Ne vous rendez pas malades par autosuggestion ! | |
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| 25 mars 2010 21h30
| Bonsoir Luna, Pour l'amiante on savait dès 1906. Premiers procès commencés en 1996. Super non ? | |
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| 25 mars 2010 21h26
| Y'en a qui comptent en statistiques, Pour qui je ne suis qu'un moustique. Y'en a qui calculent génétique, Qui n'savent même pas comment on nique. Vidéo YouTubehttp://www.greatsong.net/PAR... | |
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| 25 mars 2010 18h28
| Dans "Nos enfants nous accuseront" une montée régulière des cancers chez l'enfant est raportée, continuelle depuis 30 ans. Ceci ne se ressent peut-être pas encore dans les statistiques. Je vous conseille de voir ce film. | |
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| 25 mars 2010 18h25
| La plupart des "box" peuvent fonctionner avec un câble RJ45, ce qui permet de désactiver le Wifi. Sinon j'avais vu ceci : http://www.pcinpact.com/actu... | |
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| 25 mars 2010 18h16
| @Theodora J'aurais tendance à dire comme toi, mais mon bon sens va à l'encontre de ce que je ressens. Dis toi bien que si ça ne fonctionnait pas ils n'investiraient pas des millions dans ces pubs. Maintenant il faut savoir que leur mode d'action ne passe pas toujours par la conscience. Le neuromarketing par exemple est quelque chose de TRES subtil, difficilement détectable. http://fr.wikipedia.org/wiki... Qu'on le veuille ou pas, il y'a des spécialistes du cerveau qui savent comment nous influencer à notre insu. | |
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| 25 mars 2010 17h37
| Idem pour moi. Mais c'est à un point que j'évite de créer la situation en question. | |
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| 25 mars 2010 17h25
| @RED Même en les fuyant, les medias nous inondent de leur propagande via internet. Entre Yahoo et Google j'ai assez. Et quand je veux écouter Mermet c'est en podcast uniquement, ce qui est fort pratique d'ailleurs. | |
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| 25 mars 2010 17h23
| Est-ce vrai que l'équivalent belge de nos "histoires belges" se déroulent avec des suisses à la place ? | |
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| 25 mars 2010 16h54
| biestries ??? | |
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| 25 mars 2010 16h50
| Le vocabulaire est une arme. Pourquoi ne parlerions nous pas désormais de propagande consumériste, ou d'agression publicitaire ? | |
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| 25 mars 2010 16h43
| 13 à la douzaine ma petit dame ! | |
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| 25 mars 2010 15h58
| Je viens d'y répondre. Ce n'est pas que je ne sois pas inspiré, mais je ne retrouve pas le lien que je cherche. | |
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| 25 mars 2010 15h21
| Non c'est littérallement "voleur à voile", donc planeur ... Ca ça vient de là par contre : Et toi Roukmoute ? | |
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| 25 mars 2010 15h19
| Prime à la casse ... | |
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| 25 mars 2010 15h06
| Non, mais en plus c'est vrai ! En terminale j'étais plutôt bon en physique ce qui me permettait de ne pas trop écouter les cours ... au point de m'assoupir. Quand soudain la voix de ma prof retentit : "Gaston ! Allez prendre l'air 5 minutes dans la cour !". Depuis c'est un peu resté ... comme le "planeur" d'ailleurs ... | |
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| 25 mars 2010 14h58
| Collaborer ? Pour quelqu'un qui travaille régulièrement avec l'Allemagne c'est bon j'ai donné ! | |
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| 25 mars 2010 14h24
| Tu vois pourquoi je te disais que même France Inter je ne pouvais pas écouter ... | |
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| 25 mars 2010 14h19
| Excellent ! Mais comment sais tu que Gaston est le personnage de BD auquel je ressemble le plus ? | |
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| 25 mars 2010 11h57
| Moi aussi ... et bien la base de cette discussion porte précisément là-dessus. En insistant plus sur la surconsommation que sur la necrobouffe. | |
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| 25 mars 2010 11h51
| Ok la journée sans achat n'est pas ce que je trouve le plus intéressant là dedans. Ce que j'ai trouvé intéressant c'est l'idée d'interpeller les gens sur le point de vente lui-même par des opérations clandestines de ce genre. Imaginons par exemple qu'on prenne les devants de ce pour quoi milite ce collectif : http://www.ethique-sur-etiqu... Pourquoi attendre que les politiques cèdent aux citoyens et fassent plier les lobbies, alors qu'on peut d'ores et déjà passer à l'action avec de simples petites étiquettes qu'on vient coller là où il faut ... | |
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| 25 mars 2010 11h35
| Une des pages sur laquelle on tombait au bout d'un moment ressemblait à ça : http://www.winnothingday.com... Histoire de choquer les gens en rompant avec des visuels gais et flashy ! On parcourait une bonne dizaine de pages horribles nous annonçant qu'on avait gagné, et nous demandant des tas d'infos personnelles, pour tomber au final sur un ... vous n'avez rien gagné ! | |
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| 25 mars 2010 11h33
| Salut Gonzo. Ni Rouk ni toi ne semblez avoir compris que cette opération est un piège tendu par les objecteurs de croissance en collant de fausses étiquettes promo dans les supermarchés. Le site n'est plus en ligne, mais je vais voir si j'en trouve une version archivée ... ... c'était super bien fait, on y croyait vraiment. Ce qui vous a visiblement abusé Rouk et toi Gonzo. | |
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| 25 mars 2010 09h11
modifiée 25 mars 2010 11h30 | Wow ! Chapeau pour l'explication de texte mon cher ♫ Spring Panther ♪ !!! Je rejoins ton analyse sur certains points. • Tout d'abord il y'a le manque de vision "politique" de la décroissance. En y réfléchissant un peu, le vrai pouvoir étant économique, une relocalisation de l'économie ne peut que s'accompagner d'une forme plus diffuse du pouvoir, ce qui implique l'abandon de la démocratie représentative, à fortiori dans son modèle jacobin, pour un modèle plus direct, qui ressemble beaucoup à du fédéralisme. Ceci pousse donc à s'intéresser aux idées libertaires, qui -pour beaucoup- ne sont pas "politiquement correctes" (le fameux a priori : l'anarchie c'est le bordel). C'est probablement intentionnel, afin d'amener les gens à ces idées par eux même, ce qui permet de dépasser le cliché (en tout cas ce fut mon cas). Mais finalement, en admettant que l'économie c'est le pouvoir, les théoriciens de la décroissance sont-ils aussi naïfs que ça ? • Passons sur ceux qui confondent décroissance et récession. Question de pédagogie. • La critique du Club de Rome me semble peu pertinente, car relevant du présupposé émotionnel non argumenté, là où précisément on attendrait du rationnel. • Concernant l'évocation des liens sociaux, il faut bien voir qu'en relocalisant l'économie, la décroissance va automatiquement en recréer, ce que l'auteur semble ignorer. • J'ai du mal à imaginer ce que pourrait être une décroissance qui ne serait pas au service de l'humain, hormis un malthusianisme eugéniste ... que les objecteurs de croissance connaissent bien justement comme "le piège dans lequel ne pas tomber". • Je suis d'accord avec le fait que l'histoire ne fait pas de retours en arrière. • La critique de la société cybernétique me semble pertinente, et le sera de plus en plus. • La notion de paradigme civilisationnel me semble intéressante, même si je trouve aussi qu'on fait une énumération de choses n'ayant pas grand chose à voir les unes avec les autres dans le but d'appuyer une critique, qui finalement ne me semble pas si fondée que cela après relecture. | |
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| 25 mars 2010 11h12
| Hello Rouk, As tu VRAIMENT bien regardé de quoi il s'agit ? | |
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| 25 mars 2010 09h47
| Je t'y encourage fortement. Ou en tout cas, au minimum à réduire la consommation de produits animaux. Mais encore faut-il savoir comment sont produits soja et autre produits de remplacement ... | |
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| 25 mars 2010 09h13
| Surtout utiliser les mots comme des armes de précisions. Quand on voit les ravages qu'à fait le mot "agrocarburants" ... En l'occurrence le mot "necrotechnologies" est très très fort !!! | |
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| 25 mars 2010 09h01
| Par chez moi les brocantes et vide-greniers ont toujours beaucoup le vent en poupe. Dès qu'il fait beau en fait. L'avantage c'est qu'on y trouve des objets pas chers, qui sont encore réparables. | |
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| 25 mars 2010 08h59
| T'inquiètes j'ai tout mon temps. Oui les fourmis au départ c'était pour mon fils, mais finalement c'est moi que ça intéresse le plus. Ca fait 5 ans déjà. Une reine Lasius-Niger comme la mienne peut vivre jusqu'à 29 ans en captivité !!! Bon une ouvrière maxi 3-4 ans par contre ... Quant aux poules je compte y revenir, avec un poulailler en chaux-chanvre banché sur ossature bois ... ;-) | |
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| 25 mars 2010 02h53
| Certaines personnes lui ont reproché d'avoir une image un peu « vulgaire » et trop « populaire », mais ce n'est pas ça qui m'intéresse. Je ne suis pas son public à ce niveau. Mais il vient de lancer son mouvement, qui ressemble plus à un lobby qu'un parti, et c'est plutôt ça qui m'intéresse. Il y'a comme un parfum de Coluche, ou plus proche de notre époque comme du Nicolas Hulot dans sa volonté de peser sur la politique. Voir ici : http://www.agoravox.fr/actua... Je viens de lire son manifeste :  C'est très "passe partout" mais il y'a dedans pas mal de principes avec lesquels je me sens en accord. Ca sent la naïveté et l'angélisme au premier abord, mais ça ne l'est pas du tout quand on le lit attentivement. Il est très conscient que c'est ce qu'on va lui reprocher. Dans sa conférence de presse d'hier, j'ai relevé une phrase : Ce n'est pas une lutte de classes. Moi je ne suis pas contre le profit, à condition qu'il ne se fasse pas au détriment de l'être humain. Je pense qu'il n'a pas intégré l'ancien antagonisme marxien capital/travail, qui se traduit aujourd'hui par l'opposition entre l'humain et la marchandise. Mais le mouvement est ouvert aux propositions, et il y'a donc moyen d'y introduire de la subversion. Je vais suivre ça dans les prochains mois. Ca m'intrigue. Il ne faut pas sous-estimer la capacité des people à mobiliser une partie de l'opinion. | |
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| 24 mars 2010 23h02
| Ah c'est sur qu'on est loin du tracteur à chauffage programmable avec GPS intégré pouvant gérer des labours automatisés !!! Et dire que 99% des agriculteurs de la planète n'ont pas de tracteur ! | |
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| 24 mars 2010 22h43
| Je le mets au même niveau que Coluche dans mon estime. Pour d'autres raisons. | |
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| 24 mars 2010 22h42
| Au moment où je me séparais de mon ex-employeur, je me souviens m'être senti libre comme jamais. C'est ce sentiment qu'il faut rechercher, car c'est lui qui permet d'avancer dans l'après. | |
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| 24 mars 2010 22h41
| On y reviendra dans de nombreux domaines. Ne serait-ce que lorsqu'il redeviendra plus coûteux d'acheter les machines que de les faire réparer. Le métier de réparateurs, quasiment disparu, devrait ré-apparaître un de ces jours. | |
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| 24 mars 2010 22h39
| J'ai eu des poules, mais le renard me les a bouffées ! Non, sinon je pratique le paillage des cultures. Et j'utilise l'herbe fauchée et de la moutarde comme paillages. Le résultat en termes de lombrics cette année est incontestable. Je paillerai à nouveau cette année. Sinon j'ai un élevage de fourmis. | |
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| 24 mars 2010 22h33
| "Dieu a dit tu aimeras ton prochain comme toi même. Bon j'ai beau me forcer je préfère quand même moi-même. Et puis Dieu ou pas, j'ai horreur qu'on me tutoie." Pierre Desproges | |
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| 24 mars 2010 22h31
| Serait-ce donc un foin aux propriétés psychotropes ? | |
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| 24 mars 2010 22h22
| Pour mon foin j'ai trouvé une solution simple ... j'en fait une grosse botte que je suspend à une branche d'arbre. Bon c'est vrai que je n'imagine pas trop faire ça à grande échelle. Mais bon ça permet de tenir au sec tout ce que je fauche. | |
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| 24 mars 2010 19h04
| T'inquiètes Lalo j'ai une cousine qui en est "victime consciente" ... On en cause souvent. | |
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| 24 mars 2010 19h00
| Je ne les plains pas ceux-là !!! | |
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| 24 mars 2010 18h17
| Eh on retrouve là le rôle antidépresseur de la consommation ... | |
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| 24 mars 2010 17h13
modifiée 24 mars 2010 17h20 | Alors j'y vais . . . Extrait de l'insurrection qui vient, pages 27 à 29 Nous nous y étions bien faits, pourtant, à l’économie. Depuis des générations que l’on nous disciplinait, que l’on nous pacifiait, que l’on avait fait de nous des sujets, naturellement productifs, contents de consommer. Et voilà que se révèle tout ce que nous nous étions efforcés d’oublier: que l’économie est une politique. Et que cette politique, aujourd’hui, est une politique de sélection au sein d’une humanité devenue, dans sa masse, superflue. De Colbert à De Gaulle en passant par Napoléon III, l’État a toujours conçu l’économie comme politique, non moins que la bourgeoisie, qui en tire profit, et les prolétaires, qui l’affrontent. Il n’y a guère que cette étrange strate intermédiaire de la population, ce curieux agrégat sans force de ceux qui ne prennent pas parti, la petite bourgeoisie, qui a toujours fait semblant de croire à l’économie comme à une réalité – parce que sa neutralité en était ainsi préservée. Petits commerçants, petits patrons, petits fonctionnaires, cadres, professeurs, journalistes, intermédiaires de toutes sortes forment en France cette non-classe, cette gélatine sociale composée de la masse de ceux qui voudraient simplement passer leur petite vie privée à l’écart de l’Histoire et de ses tumultes. Ce marais est par prédisposition le champion de la fausse conscience, prêt à tout pour garder, dans son demi-sommeil, les yeux fermés sur la guerre qui fait rage alentour. Chaque éclaircissement du front est ainsi marqué en France par l’invention d’une nouvelle lubie. Durant les dix dernières années, ce fut ATTAC et son invraisemblable taxe Tobin – dont l’instauration aurait réclamé rien moins que la création d’un gouvernement mondial –, son apologie de l’« économie réelle » contre les marchés financiers et sa touchante nostalgie de l’État. La comédie dura ce qu’elle dura, et finit en plate mascarade. Une lubie remplaçant l’autre, voici la décroissance. Si ATTAC avec ses cours d’éducation populaire a essayé de sauver l’économie comme science, la décroissance prétend, elle, la sauver comme morale. Une seule alternative à l’apocalypse en marche, décroître. Consommer et produire moins. Devenir joyeusement frugaux. Manger bio, aller à bicyclette, arrêter de fumer et surveiller sévèrement les produits qu’on achète. Se contenter du strict nécessaire. Simplicité volontaire. « Redécouvrir la vraie richesse dans l’épanouissement de relations sociales conviviales dans un monde sain. »« Ne pas puiser dans notre capital naturel. »Aller vers une « économie saine ». « Éviter la régulation par le chaos. » « Ne pas générer de crise sociale remettant en cause la démocratie et l’humanisme. » Bref: devenir économe. Revenir à l’économie de Papa, à l’âge d’or de la petite bourgeoisie: les années 1950. « Lorsque l’individu devient un bon économe, sa propriété remplit alors parfaitement son office, qui est de lui permettre de jouir de sa vie propre à l’abri de l’existence publique ou dans l’enclos privé de sa vie. » Un graphiste en pull artisanal boit un cocktail de fruits, entre amis, à la terrasse d’un café ethnique. On est diserts, cordiaux, on plaisante modérément, on ne fait ni trop de bruit ni trop de silence, on se regarde en souriant, un peu béats: on est tellement civilisés. Plus tard, les uns iront biner la terre d’un jardin de quartier tandis que les autres partiront faire de la poterie, du zen ou un film d’animation. On communie dans le juste sentiment de former une nouvelle humanité, la plus sage, la plus raffinée, la dernière. Et on a raison. Apple et la décroissance s’entendent curieusement sur la civilisation du futur. L’idée de retour à l’économie d’antan des uns est le brouillard opportun derrière lequel s’avance l’idée de grand bond en avant technologique des autres. Car dans l’Histoire, les retours n’existent pas. L’exhortation à revenir au passé n’exprime jamais qu’une des formes de conscience de son temps, et rarement la moins moderne. La décroissance n’est pas par hasard la bannière des publicitaires dissidents du magazine Casseurs de pub. Les inventeurs de la croissance zéro –le club de Rome en 1972 – étaient eux-mêmes un groupe d’industriels et de fonctionnaires qui s’appuyaient sur un rapport des cybernéticiens du MIT. Cette convergence n’est pas fortuite. Elle s’inscrit dans la marche forcée pour trouver une relève à l’économie. Le capitalisme a désintégré à son profit tout ce qui subsistait de liens sociaux, il se lance maintenant dans leur reconstruction à neuf sur ses propres bases. La sociabilité métropolitaine actuelle en est l’incubatrice. De la même façon, il a ravagé les mondes naturels et se lance à présent dans la folle idée de les reconstituer comme autant d’environnements contrôlés, dotés des capteurs adéquats. À cette nouvelle humanité correspond une nouvelle économie, qui voudrait n’être plus une sphère séparée de l’existence mais son tissu, qui voudrait être la matière des rapports humains; une nouvelle définition du travail comme travail sur soi, et du Capital comme capital humain; une nouvelle idée de la production comme production de biens relationnels, et de la consommation comme consommation de situations; et surtout une nouvelle idée de la valeur qui embrasserait toutes les qualités des êtres. Cette « bioéconomie »en gestation conçoit la planète comme un système fermé à gérer, et prétend poser les bases d’une science qui intégrerait tous les paramètres de la vie. Une telle science pourrait nous faire regretter un jour le bon temps des indices trompeurs où l’on prétendait mesurer le bonheur du peuple à la croissance du PIB, mais où au moins personne n’y croyait. « Revaloriser les aspects non économiques de la vie » est un mot d’ordre de la décroissance en même temps que le programme de réforme du Capital. Éco-villages, caméras de vidéosurveillance, spiritualité, biotechnologies et convivialité appartiennent au même « paradigme civilisationnel » en formation, celui de l’économie totale engendrée depuis la base. Sa matrice intellectuelle n’est autre que la cybernétique, la science des systèmes, c’est-à-dire de leur contrôle. Pour imposer définitivement l’économie, son éthique du travail et de l’avarice, il avait fallu au cours du XVIIe siècle interner et éliminer toute la faune des oisifs, des mendiants, des sorcières, des fous, des jouisseurs et autres pauvres sans aveu, toute une humanité qui démentait par sa seule existence l’ordre de l’intérêt et de la continence. La nouvelle économie ne s’imposera pas sans une semblable sélection des sujets et des zones aptes à la mutation. Le chaos tant annoncé sera l’occasion de ce tri, ou notre victoire sur ce détestable projet. Ouf . . . J'aimerais bien savoir ce que vous en pensez. | |
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| 24 mars 2010 17h06
| Non mais je viens d'extraire la partie du bouquin qui m'interpelle le plus, celle qui critique la décroissance. J'aimerais bien vous la coller ici pour que vous me disiez ce que vous en pensez. Ce n'est pas très long. Ca vous dit de lire un petit peu pour être dans "le vif du sujet" ? | |
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| 24 mars 2010 17h00
| Excusez moi ... puis-je revenir au sujet de base de la discussion ? Me le permettez vous braves gens ? | |
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| 24 mars 2010 12h20
| Des jardins ouvriers aux jardins familiaux ... Pour ceux que ça intéresse : http://pagesperso-orange.fr/... | |
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| 23 mars 2010 23h04
| @Théodora Excellent appât que la paella ! | |
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| 23 mars 2010 18h05
| Je suis fils de boucher. Mon père m'a toujours dit que l'ensilage était une hérésie. Etre végétarien en 2010 n'a pas le même sens que cela pouvait avoir en 1940. C'est un acte politique, surtout dans nos pays dits "civilisés". | |
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| 23 mars 2010 17h27
| C'est même d'ailleurs la SEULE façon de constituer une force d'opposition incorruptible. C'est une force d'opposition fédéraliste et non hiérarchique qu'il faut. ET là on retombe sur des concepts anarchistes. Mais bon on pourra reparler de potager lorsque j'aurai avancé dans mes travaux. | |
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| 23 mars 2010 17h20
| [Mode porte-voix = ON] ALLEZ DECONNE PAS GONZO, SORS D'ICI TU ES CERNE ! NOUS NE TIRERONS PAS SI TU SORS MAINS EN L'AIR EN LAISSANT TES ARMES AU SOL ! [Mode porte-voix = OFF] | |
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| 23 mars 2010 17h19
| Sauf si on accepte le fait qu'une force d'opposition puisse être décentralisée. Ceci a d'ailleurs bien été théorisé par Tony Negri dans Multitudes. Il suffit de voir l'Otan en Afghanistan pour comprendre le concept. | |
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| 23 mars 2010 16h02
| Wow quelle industrie Ben moi j'en suis à planifier mes engrais verts et ma rotation des cultures. Mes 15-20 m2 de terre sont aérés (technique sans labour). J'ai hâte de trouver le temps de m'y mettre. Pour l'instant c'est seulement les week-ends. | |
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| 23 mars 2010 15h40
| J'ai quitté mon précédent employeur par une affaire de prudhommes. J'ai joué la carte de la négociation, en me disant qu'avec les prudhommes j'étais bon pour 2 ans de procédure. Et bien malgré une 'transaction', cette affaire n'est pas terminée 3 ans après. Parfois il faut savoir se préparer à des affaires longues. | |
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| 23 mars 2010 10h07
| "Nous avons l'impression d'être emprisonnés.....et nous le sommes, parce que nous avons appris à obéïr....." C'est bien dit. | |
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| 22 mars 2010 21h39
| Nous ne sommes tous, de toute façon, que des puits d'ignorance. Les études scientifiques ont ceci de bon, quand les gens savent saisir cette opportunité sans se faire avoir par la propagande étatiste de bas étage, que l'on y apprend l'humilité. L'humilité, un mot que la clique sarkozyenne ne doit pas franchement connaître. | |
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| 22 mars 2010 18h22
| Il faut bien que le temps passé en ligne serve à quelque chose. Le parcours de mes idées est tortueux, et continue sans cesse d'évoluer grâce à vous tous. Mais je dois dire que certains y contribuent plus que d'autres. J'avoue aussi avoir beaucoup appris grâce à Micdal et à Zelda. Est-ce un hasard si Holmes, Micdal et Zelda soient historiens ou ont beaucoup étudié l'histoire ? | |
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| 22 mars 2010 18h10
| Martin Scriberus et Holmes sont un peu mes deux "maîtres à penser" sur MacDo. Mais bon, ni dieu ni maître quand même ... ;-) | |
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| 22 mars 2010 17h29
| Tiens un petit clip sur lequel je viens de tomber ... Vidéo YouTube | |
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| 22 mars 2010 17h04
| Et y'a un certain 'Joseph-Siffrède D' qui vient de répondre à ma question de façon fort pertinente. Est-ce que quelqu'un voudrait bien lui répondre, vu que MacDo m'en empèche, que même parmi les nazis, les ayatollahs et les bolcheviques, ce furent des milliers qui obéirent à quelques uns qui désobéirent ? | |
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| 22 mars 2010 16h31
| Je n'ai pas pu m'empêcher de faire une question basée sur la citation de Zinn : http://fr.answers.yahoo.com/... On va voir comment réagissent les gens. | |
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| 22 mars 2010 16h24
| Lalo, je ne sais pas où tu habites. Si tu es sur Paris je connais un bon avocat en droit du travail. Cher mais bon. Quand je dis bon, je devrais dire excellent. Une quinzaine d'affaires gagnées, contre une seule perdue ... mais en tant qu'employeur. | |
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| 22 mars 2010 14h16
| Salut RED, Comme tu le sais je ne l'ai pas lu intégralement, mais par petits bouts. Il faut que je le lise. Je suis content que tu y aie trouvé un intérêt cependant. Je voudrais juste réagir sur une chose : la violence. Avec surtout une question : Qui est-ce qui a commencé avec la violence ? Et je pense notamment à la violence sociale. N'est-t-elle pas justifiée ? | |
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| 22 mars 2010 14h10
| Sans fôte ! | |
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| 22 mars 2010 12h46
| Mais un de ces quatre je compte faire un blog ou quelque chose dans le genre pour relater mes expériences et les partager ... | |
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