13 février 2012 09h44
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Segel |
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13 février 2012 09h45
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Segel |
INTRO. Sonia est fondatrice du groupe "initiatives des femmes contre la dette grecque", elle est luxembourgeoise. Son mari, Yorgos, est économiste, membre du CADTM, et co-fondateur de l'ELE (le comité pour la constitution d'une Commission d'Audit de la Dette Grecque).C'est eux qui ont organisé la conférence en mai, à Athènes(où j'ai fait de l'interprétation, et rencontré plein de gens); on doit les rencontrer ce week end, s'ils ont le temps, avec Christos. Je viens de tomber là-dessus -je me suis abonnée à Mediapart, je ne regrette pas. Vous pouvez faire circuler, c'est du sérieux. Mediapart publie le discours de Sonia Mitralia, membre du comité grec contre la dette, prononcé le 24 janvier dernier devant le Conseil de l'Europe à Strasbourg. Elle y rappelle que le «droit international oblige (...)les Etats à donner la priorité à la satisfaction des besoins élémentaires de leurs citoyens et non pas au remboursement de leurs dettes». ------ Presque deux ans après le début du traitement de choc imposé par la Banque centrale européenne, la Commission européenne et le Fonds monétaire international à la Grèce,son bilan est catastrophique, révoltant et inhumain. Tout d'abord, même les inspirateurs de ces politiques admettent maintenant ouvertement non seulement leur échec patent, mais aussi que leurs recettes étaient dès le début totalement erronées, irréalistes, inefficaces et même contre-productives. En voici une illustration qui concerne non pas une question secondaire mais le cœur du problème, la dette publique grecque elle-même. Selon tous les responsables du désastre grec, si leurs politiques (d'austérité plus que draconienne) s'avéraient efficaces à 100%, ce qui est d'ailleurs totalement illusoire, la dette publique grecque serait ramenée en 2020 à 120% de PIB national, c'est-à-dire au taux qui était le sien... en 2009 quand tout ce jeu de massacre a commencé! En somme, ce qu'ils nous disent maintenant cyniquement, c'est qu'ils ont détruit toute une société européenne... absolument pour rien! Mais, comme si tout cela ne suffisait pas, ils persistent à imposer aux Grecs –mais aussi pratiquement à tout le monde– exactement les mêmes politiques qu'eux-mêmes admettent en échec. C'est ainsi qu'on est désormais en Grèce au septième «Mémorandum» d'austérité et de destruction de services publics, après que les six premiers ont fait preuve d'une totale inefficacité! On assiste au Portugal, en Irlande, en Italie, en Espagne et un peu partout en Europe à l'application de ces mêmes plans d'austérité draconienne qui aboutissent partout au même résultat, c'est-à-dire enfoncer les économies et les populations dans une récession et un marasme toujours plus profonds. En réalité, des expressions telles que «austérité draconienne» sont absolument insuffisantes pour décrire ce qui est en train de se passer en Grèce. Les salaires et les retraites sont amputés de 50 % ou même, dans certains cas, de 70 %. La malnutrition fait des ravages parmi les enfants de l'école primaire, la faim fait son apparition surtout dans les grandes villes du pays dont le centre est désormais occupé par des dizaines, des milliers de SDF misérables, affamés et en haillons. Le chômage atteint désormais 20 % de la population et 45 % des jeunes (49,5 % pour les jeunes femmes). Les services publics sont liquidés ou privatisés avec comme conséquence que les lits d'hôpitaux sont réduits (par décision gouvernementale) de 40 %, qu'il faut payer très cher même pour accoucher, qu'il n'y a plus dans les hôpitaux publics de pansements ou de médicaments de base comme des aspirines. L'Etat grec n'est toujours pas capable, en janvier 2012, de fournir aux élèves les livres de l'année scolaire commencée en septembre passé. Des dizaines de milliers de citoyens grecs handicapés, infirmes ou souffrants de maladies rares se voient condamnés à une mort certaine et à brève échéance après que l'Etat grec leur a coupé les subsides et les médicaments. Le nombre de tentatives de suicide s'accroît à une vitesse hallucinante, comme d'ailleurs celui des séropositifs et des toxicomanes abandonnés désormais à leur sort par les autorités. Des millions de femmes grecques se voient maintenant chargées des tâches normalement assumées par l'Etat à travers ses services publics quand ceux-ci n'étaient pas encore démantelés ou privatisés par les politiques d'austérité. La conséquence en est un véritable calvaire pour ces femmes grecques : non seulement elles sont les premières à être licenciées et sont contraintes d'assumer les tâches des services publics en travaillant de plus en plus gratuitement à la maison, mais elles sont aussi directement visées par la réapparition de l'oppression patriarcale qui sert d'alibi idéologique au retour forcé des femmes au foyer familial. On pourrait continuer presque à l'infini cette description de la déchéance de la population grecque. Mais, même en se limitant à ce qu'on vient de dire, on constate qu'on se trouve devant une situation sociale qui correspond parfaitement à la définition de l'état de nécessité ou de danger reconnu depuis longtemps par le droit international. Et ce même droit international oblige expressément les Etats à donner la priorité à la satisfaction des besoins élémentaires de leurs citoyens et non pas au remboursement de leurs dettes. Comme le souligne la Commission du droit international de l'ONU à propos de l'état de nécessité: «On ne peut attendre d'un État qu'il ferme ses écoles et ses universités et ses tribunaux, qu'il abandonne les services publics de telle sorte qu'il livre sa communauté au chaos et à l'anarchie simplement pour ainsi disposer de l'argent pour rembourser ses créanciers étrangers ou nationaux. Il y a des limites à ce qu'on peut raisonnablement attendre d'un État, de la même façon que pour un individu.» Notre position, partagée par des millions de Grecs, est claire et nette et se résume au respect du droit international. Les Grecs ne doivent pas payer une dette qui n'est pas la leur pour plusieurs raisons. Primo, parce-que l'ONU et les conventions internationales –signées par leur pays mais aussi par les pays de leurs créanciers– intiment à l'Etat grec de satisfaire en toute priorité non pas ses créanciers mais plutôt ses obligations envers ses nationaux et les étrangers qui se trouvent sous sa juridiction. Secundo, parce-que cette dette publique grecque, ou au moins une part très importante, semble réunir tout les attributs d'une dette odieuse, et en tout cas illégitime, que le droit international intime de ne pas rembourser. C'est d'ailleurs pourquoi il faudrait tout faire pour faciliter la tâche de la campagne grecque pour l'audit citoyen de cette dette afin d'identifier sa part illégitime –et non pas tout faire pour l'empêcher, comme l'Etat grec le pratique maintenant. Notre conclusion est catégorique: la tragédie grecque n'est ni fatale ni insoluble. La solution existe et la répudiation, l'annulation et le non paiement de la dette publique grecque en font partie en tant que premier pas dans la bonne direction. C'est-à-dire, vers le salut de tout un peuple européen menacé par une catastrophe humanitaire sans précédent en temps de paix... | |||
13 février 2012 09h47
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Segel |
Et pour ceux qui ne l'auraient pas vu, je recommande l'excellent documentaire Debtocracy, que j'ai enfin pu regarder hier soir, qui explique le dessous des cartes : Un documentaire d'éducation populaire financé par des cotisations du peuple grec !!! | |||
13 février 2012 10h25
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lemm |
c'est terrible ce qui se passe en Grèce (toujours moins qu'en Syrie). Tu as raison Segel d'en parler, d'en parler, d'en parler ... mais comme dans tes texte, quelqu’un s’interroge, déclare "on ne sait franchement pas trop pour quoi faire" ..., je pense ainsi moi même ... hier j'ai entendu (écouté) à la TV (je ne sais pas quelle chaine) un débat (encore) à propos de la crise financière grecque, là j'ai entendu que pour eux il n'y a que le mauvais et le pire comme solution. C'est à cause d'être dans la zone d'euros, qu'ils sont harcelé ..., alors une sortie pourrait être bénéfique ...; non. Ce serait pire ..., d'après ces 'spécialistes' ... là, à cette émission j'ai entendue une chose insolite, comme quoi, si c'est F. Hollande qui gagne l'élection ..., ce serait la tours de la France d'être attaquer ... j'ai l'impression, qu'au dessus de nous tournicotent une colonie des rapaces, qui dès qu'elle voit un animal affaibli, elle fonce dessus ... tant que nous ne trouvons pas le moyen de les contenir, de les maitriser ..., il n'y a pas de solution ! | |||
13 février 2012 10h43
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Segel |
Ce serait pire ..., d'après ces 'spécialistes' ... C'est pourtant par la monnaie que les rapaces nous tiennent, et rien d'autre. Mais par qui sont payés ces "spécialistes" ? | |||
13 février 2012 11h01
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maurice |
c'est terrible ce qui se passe en Grèce (toujours moins qu'en Syrie). Tu as raison Segel d'en parler, d'en parler, d'en parler ... mais comme dans tes texte, quelqu’un s’interroge, déclare "on ne sait franchement pas trop pour quoi faire" ..., je pense ainsi moi même ... on a l'avantage par rapport à la majorité des lobotomisés qui ne pensent qu'a leur gueule d'enfarinés et le reste du monde qui composent les poissons d'aquariums qu'ils sont devenus de se démarquer le fait d'y penser que tu y sois sensible démontre bien lemm que tu appartiens a l'espèce humaine et moi des gens comme toi me conforte énormément dans mon espèrance de vie: c'est qu'elle garde son sens | |||
13 février 2012 11h14
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Segel |
Les gens ne voient pas le mal qu'il y'a à penser à soi d'abord. Tout, dans notre époque, les porte à cela. Quand ils sont venus chercher les communistes, Je n'ai rien dit, Je n'étais pas communiste. Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, Je n'ai rien dit, Je n'étais pas syndicaliste. Quand ils sont venus chercher les juifs, Je n'ai pas protesté, Je n'étais pas juif. Quand ils sont venus chercher les catholiques, Je n'ai pas protesté, Je n'étais pas catholique. Puis ils sont venus me chercher, Et il ne restait personne pour protester Martin Niemöller (14 janvier 1892 - 6 mars 1984) pasteur et théologien allemand. | |||
13 février 2012 11h46
modifiée 13 février 2012 11h48 |
Djabali |
Et bientôt, le revenu minimum à 300 € ! Avec les heures supplémentaires, évidemment ! Et pourquoi on ne supprimerait tout simplement pas le salaire minimum ? Retour au XIXe siècle. En tout cas, je suis content : les Grecs ont brûlé le centre d'Athènes. Il est temps de ne plus perdre son temps en vaines paroles avec des gens qui, de toute façon, ne sont pas prêts à négocier. Alors la méthode des Grecs n'est peut-être pas aussi policée que celle des Islandais, en tout cas, ils sont dans la rue. @lemm, c'est terrible ce qui se passe en Grèce (toujours moins qu'en Syrie), je n'en suis pas sûr, je pense que les deux situations sont relativement similaires. Bruxelles est en train d'asphyxier le peuple grec comme Damas est en train d'égorger le peuple syrien. La méthode seulement est différente, mais le résultat doit être le même : un peuple soumis. | |||
13 février 2012 12h04
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maurice |
en effet Djab tu as raison on devrait supprimer le salaire minimum la république qui se targue d'avoir Renault comme blason pour promouvoir les valeurs universelles de l'homme en donne l'exemple 150 Euros/mois à Meloussa http://www.france24.com/fr/2... notre pasteur Niemmoller etait bien un visionnaire Segel!!! | |||
13 février 2012 12h08
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R.WOLF |
je pense comme Djabali ; en Syrie on tire à balles réelles sur les gens, en Grèce on va littéralement les asphyxier économiquement, les condamner à une mort lente ; toute personne précaire vivant ici sait déjà de quoi il s' agit. on oubliera la Grèce comme on oublie Gaza, l' Afrique, Haïti, la liste est trop longue, mais les acteurs de ces crises sont toujours les mêmes ; finance, FMI, OMC, et que sais je encore. comme les nouvelles nous parviennent sont écoeurantes ; si j' étais journaliste, je remets ma démission sur le champs. moi je suis révolté comme toujours ; j' écris donc ces lignes confus, rapidement, laissant filer mes doigts. et en France qui de Sarko ou Hollande? la-men-ta-ble. merci de te faire l' écho d' un peuple ; demain ce seront nos enfants, mais avant il y a déjà nous bientôt. le parlement européen devrait brûler ce matin, mais non, tout va bien à Bruxelles, sauf que des chômeurs y crèvent sans doute de froid, mais pas grave. | |||
13 février 2012 12h32
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R.WOLF |
en fait, ce qu' on doit se rendre compte, c' est que ces systèmes ont littéralement carte blanche pour instaurer leurs programmes ; élus très polis et aux ordres (je ne sais pas si la grande gueule de Melanchon les impressionne beaucoup), journalistes idem, systèmes structurés qui bossent full time, avec employés très bien payés pour ça, grand public dans l' ignorance en général (tout est fait pour le maintenir en l' état) et qui croit encore que .. reste quelques poignées d' internautes qui gueulent .. qui gueulent. | |||
13 février 2012 12h36
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jamydefix |
Oui c'est vraiment complètement dingue. Parfois je ne vois pas comment cela pourrait s'arrêter, sans de très très violentes réactions des populations indignés, mais ils n'attendent que ça je crois. De cette façon, qu'ils ont bien-sur prévu, ils ont tout l'armement nécessaire pour si nécessaire abattre les rebellions, mais au moins en Europe, ça la foutterait très très mal et risquerait de réellement soulever l'indignation de toutes les populations européenne d'un coup... Si il n'y avait pas une tel censure des information réel, il y aurait probablement déjà des millions et des millions de gens dans les rues de tous les pays d'europe et du monde. Ça va très certainement venir et sera le début de la fin de cette oligarchie financière. | |||
13 février 2012 13h46
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maurice |
en fait, ce qu' on doit se rendre compte, c' est que ces systèmes ont littéralement carte blanche pour instaurer leurs programmes ; élus très polis et aux ordres (je ne sais pas si la grande gueule de Melanchon les impressionne beaucoup), journalistes idem, systèmes structurés qui bossent full time, avec employés très bien payés pour ça, grand public dans l' ignorance en général (tout est fait pour le maintenir en l' état) et qui croit encore que .. reste quelques poignées d' internautes qui gueulent .. qui gueulent. Cependant, il apparait que ce mot d'ordre ne peut en aucun cas être le mot de la fin. Une fois l'indignation exprimée, et même pendant que cette révolte s'exprime, il faut déjà penser à la phase suivante qui, logiquement, doit envisagée la prise du pouvoir, puis de la reconstruction d'une société plus juste sur la base d'un programme minimal. Faute de cette anticipation il est à craindre de voir le mouvement des citoyens aboutir au mieux à la déliquescence et au pire à l'affrontement interne... Diversion: L'indignation... et après ? | |||
13 février 2012 14h00
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Segel |
En fait l'écoute d'un podcast récent de Mermet/Ruffin me laisse croire que les politiques pourraient bien être sincères finalement, mais entourés de conseillers salariés par les banques, ce qui serait un scandale comparable à Servier s'il avait lieu dans le domaine pharmaceutique, mais un scandale qui n'a pas encore explosé en matière financière ... Les économistes de garde (II) | Janvier | Là-bas si j'y suis | |||
13 février 2012 14h23
modifiée 13 février 2012 14h25 |
lemm |
je ne me sens pas toujours et complètement chez moi, ici à cette auberge ..., mais dans ce sujet ..., totalement ... oui, ceux qui sont consultés, analysent, parlent bien sûr à la façon, au goût de ceux qui l'y invitent Segel ... mais néanmoins le raisonnement de cette jeune femme me semblait tenir. Elle avait dit ceci ; (±) c'est surtout les banques grecques qui sont endettées, alors même s'ils abandonnent la monnaie unique, la dette reste et alors l'EU se désolidariserait totalement vis à vis de cette dette. Donc, au moins à première vue .... mais la météo dit ; ça va chauffer, mais ça va chauffer .... | |||
13 février 2012 14h31
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Segel |
lemm, quelles que soient nos opinions, nous avons tous en commun d'être restés plus ou moins humains, et d'être plus ou moins choqués par ceux qui ne le sont plus. Bien sur que la dette a été creusée par les gros capitalistes. Bien sur qu'ils veulent faire payer l'addition au peuple. Comme d'habitude !!! | |||
13 février 2012 15h30
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jamydefix |
Parlant de tout cela entre autre avec des clients de tout âges, je suis aussi étonné de voir le nombre de gens vraiment au courant de tout cela. Quelque soit leur niveau et raison social, leur point commun est qu'ils ont par l'inter-net, d'autres sources d'information que les grands médias et cela m'est plus évident que jamais. Pour ça sans aucun doute que ces vautours font tout ce qu'ils peuvent pour essayer de le contrôler et censurer aussi. | |||
13 février 2012 15h48
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R.WOLF |
pétition (pas très claire malheureusement et mal traduite). http://www.1millionsignature... | |||
13 février 2012 16h38
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maurice |
je ne me sens pas toujours et complètement chez moi, ici à cette auberge ..., mais dans ce sujet ..., totalement voudrais tu la femme de l'aubergiste ,en plus de la boisson ? c'est tout à fait cela l'auberge elle est capable du pire comme du meilleur sois magnanime il faut faire avec les trois pelés et les trois tondus qu'il y a chez nous dans cette auberge dans un café pas loin de chez toi cela ce passe exactement pareille il faut apprendre à glauser avec le tout venant moi je viens tous les jours je m'en lasse jamais Monsieur Lemm il me semble que vous avez une propension à viser la lune si je t'avais écouté jamais je n'aurais pu imaginer le pittoresque Mr Orban maintenant que je connais mieux orban , je comprends notre guignol de la campagne présidentielle c'est notre orban à nous .le je dans sa plénitude même dans tes écrits j'ai pu me rendre compte de ton évolution en positif évidemment j'ai constaté un jugement plus nuancé ,plus conciliant c'est peut-être dû à parade mais aussi a l'auberge qui a permis que deux esprits brillants se rencontrent et s'affrontent en toute amitié nous ne pouvons pas être insensible a la grêce Segel le souligne trés bien la frontière qui nous sépare est plus proche qu'on ne le croit la grêce c'est l'europe c'est notre civilisation il faut coute que coute montrer au peuple grec que nous sommes compatissants face au désastre qu'il subit et cela me réjouis que tu partages ce point de vue je te propose mon amitié virtuel est tu prêt à m'accepter ? | |||
13 février 2012 16h40
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maurice |
Parlant de tout cela entre autre avec des clients de tout âges, je suis aussi étonné de voir le nombre de gens vraiment au courant de tout cela. Quelque soit leur niveau et raison social, leur point commun est qu'ils ont par l'inter-net, d'autres sources d'information que les grands médias et cela m'est plus évident que jamais. Pour ça sans aucun doute que ces vautours font tout ce qu'ils peuvent pour essayer de le contrôler et censurer aussi. c'est vrai ce que tu dis et l'espérance viendra de là quand je pense que internet avait étè concu pour les G.I. américains je suis bien content que cet instrument est devenu la propriété du peuple planétaire | |||
13 février 2012 21h53
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Djabali |
c'est bien parce que nous gouvernement avait prévu de tels dérapages qu'ils ont misé à fond sur les services de sécurité ! Le terrorisme international et un écran de fumée, aujourd'hui, en Europe, tous ceux qui consistent à bloquer le fonctionnement d'une institution au relais du terrorisme. En gros, les Grecs qui refusent de se voir imposer ce nouvel esclavage sont virtuellement des terroristes. Il est grand temps de taper du poing sur la table. | |||
14 février 2012 02h33
modifiée 14 février 2012 02h45 |
jamydefix |
Oui Djabali comme tu dit!! Et aussi sur la table des bars et des rues du commerce, ou se refond et fond le monde et la vie de tous les jours. Faire de l'info populaire du net, aux pas nets informes-qu'a-le-son de la rue. Les gens ont le droit et même le devoir de savoir ce qui se passe vraiment en Grèce et ailleurs. LIBERTÉ D'INFORMATION, D'EXPRESSION LIBRE ET NON VIOLENTE: Article 19 des droits de l'homme. QUE L'ÉTAT VIOLE SES DROITS FONDAMENTAUX ET IL NE FERA QUE DE S'APPROCHER ENCORE PLUS VITE DE SA PROPRE ESTINCTION FINAL . | |||
14 février 2012 13h00
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Djabali |
tout à fait d'accord ! | |||
15 février 2012 16h25
modifiée 15 février 2012 16h29 |
jamydefix |
Nous devrions tous savoir qui préfabrique cette putain de crise bidon, ces guerres, famines pollution et destruction massives de la biodiversité terrestre. Les noms, organisations et actions prédatrices de ces bancksters internationaux, organisés en cartel comme on peut le voir dans ce lien: http://www.planete-revelatio... À coté de ceux là Al Capon n'était vraiment qu'un petit dealer paumé de banlieux pauvre. | |||
15 février 2012 23h17
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Segel |
«C'est la guerre» http://www.20minutes.fr/mond... | |||
15 février 2012 23h44
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maurice |
c'est pas la guerre pour tout le monde je te soumets un lien qui indique que standars and poors a des bons élèves dommage.eh oui tu seras obligé de lire l'article jusqu'au bout c'est la que se trouve mon interrogation http://maroc-renaissance.ove... | |||
15 février 2012 23h48
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Segel |
Ils penseront autrement quand ils auront vécu leurs premières délocalisations. C'est ce qui s'est passé en Tunisie. | |||
15 février 2012 23h55
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Djabali |
Vidéo YouTube | |||
16 février 2012 00h28
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jamydefix |
Vidéo YouTube | |||
16 février 2012 00h52
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Djabali |
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16 février 2012 02h10
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Segel |
Cet article est de la bombe ... 1967-1974 Chasseurs F104G Starfighter, F102 Convair, F4 Fantom et F5 Freedom Fighter Dès la chute du régime, Dassault (chasseurs Mirage) et Krupps (Chars Leopard) 1999-2000 Système antimissiles Patriot (Raytheon) 10 millions d'euros en pots de vin via Siemens 2000-2002 Fourniture de véhicules à Athènes et au Pirée : une centaine de Trolleys bus, des véhicules militaires… (MAN, constructeur automobile allemand) 2004 : Gabegie Olympique. Budget prévu = 1,3 milliard $. réel = 14,2 milliards $. Plus de 20 incluant les pots de vins. Système de sécurité c4i (Command, Control, Communications, Computers, and Intelligence) qui n’a jamais fonctionné (Groupe Siemens) = 10 millions € de pots de vins. Métro d'Athènes (compagnie allemande Ferrostall) = 50 million € de pots de vins 2007 sous-marins U-214 de HDW (Howaldtswerke-Deutsche Werft) = 5 milliards € (120 millions de pots de vins) qui plus est défectueux Pots de vins dans la vente de matériel aux chemins de fer grecs (SEK), Pots de vins lors de l’acquisition du système de télécommunications Hermès par l'armée grecque (Siemens, EADS) Scandale du marché des équipements surfacturés des hôpitaux grecs. Mirifique pont-Rion-Antirion Voie AEgnatia romaine devenue autoroute déserte avec 1650 ponts et 76 tunnels (100 km de tunnels) ! http://www.agoravox.fr/tribu... A faire circuler !!! | |||
16 février 2012 09h34
modifiée 16 février 2012 09h45 |
jamydefix |
Bein d'accord...merci Me rappel à beaucoup plus petit niveau ce que m'a raccompté un ami. Qui bossait dans une boite allemande installée en Espagne, pour faire transiter sans aucun contrôle en Allemagne, de la cam made in china etc...ne respectant pas du tout les normes européenne." et Genre imitation de grandes marques,parfum etc etc..." À ce niveau aussi il semble que certain négociants allemand très voraces, sont si possible au moins aussi pire voir plus, que les dealers français Dit donc Segel N'y aurait il pas d'agaravox españa..? J'aimerais trouver le même article d'agaravox en espagnol... | |||
16 février 2012 10h03
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Segel |
Je ne sais pas, mais libre à toi de le traduire ou de contacter l'auteur. Maintenant il conviendrait de chiffrer ce que pèsent réellement ces chantiers comparé à la fameuse "fraude fiscale" au fameux "travail au noir", etc. |