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| 12 juin 2012 07h31
modifiée 12 juin 2012 07h50
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 Arsène Lupin |
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| 12 juin 2012 07h47
modifiée 12 juin 2012 08h19
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Arsène Lupin |
 " Nous vivons assurément plus longtemps et ne succombons plus aux mêmes maladies. Mais allons-nous mieux pour autant ? Et valons-nous mieux ? Sommes-nous meilleurs parce que nos conditions de vie le sont ? Tout porte à croire que non : en dépit des avancées scientifiques et du progrès technologique, l'homme est plus veule, plus cupide et égoïste que jamais. Pourquoi ? Parce qu'à chaque fois qu'il a eu à choisir entre devenir meilleur et améliorer ses conditions de vie, il a préféré la seconde option. Parce que, comme l'écrivait Orwell, le but de l'homme n'a jamais été de demeurer humain mais de rester vivant, à n'importe quel prix. " Percy Kemp (Noon Moon - 2010) | |||
12 juin 2012 09h17
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 jamydefix |
Je suppose que beaucoup ficheront le camps du pays et que ça a déjà commencé depuis un bail. Si non ben un peut comme en état de guerre, les uns opteront pour la démerde, la solidarité et survis avec les moyens du bord, les autres seront dans le pillage, les autres plus riches pour la répression tous azimuth  | |||
| 12 juin 2012 09h23
modifiée 12 juin 2012 09h41
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Arsène Lupin |
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12 juin 2012 10h54
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 Segel |
En cas de crise grave en France, la solidarité reprendra le dessus sur le "chacun pour soi" qui est une idéologie d'abondance. L'histoire l'a montré à maintes reprises. La dernière fois qu'on a vu un peu ce phénomène c'était lors des grèves de fin 1995. On a eu ça aussi un petit peu en juillet 1998. | |||
| 12 juin 2012 11h02
modifiée 12 juin 2012 11h06
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 Y. K.  |
Tiens c'est amusant... Moi je parierais volontiers pour les 3/4 des militaires et policiers organisant des "brigades de surveillance" avec les commerçants, artisans et PME et les électeurs du FN plus tous les opportunistes du moment, financés par la grande bourgeoisie qui, elle sera depuis bien longtemps réfugiée hors les frontières du canton... Le coût de l'option militaire contre les forces populaires LOL... les forces populaires comme tu dis seront au moins aussi nombreuses, sinon plus nombreuses, du cote de l'option militaire: il suffira de leur dire qu'en éliminant les "faux-français", les étrangers, les gauchos, tout ira mieux pour leur porte-monnaie. | |||
12 juin 2012 11h10
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Segel |
Y.K. ton scenario n'est valable que pour une "petite crise", pas pour une "crise grave". | |||
12 juin 2012 11h15
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Y. K. |
Y.K. ton scenario n'est valable que pour une "petite crise", pas pour une "crise grave". Hum... tu veux bien me donner ta définition d'une "petite crise" et d'une "crise grave"? Ou bien simplement,une crise "grave" serait une crise qui reconstruirait ton image (?) d'une société clairement découpée selon les principes historico-marxistes? | |||
12 juin 2012 11h21
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Arsène Lupin |
Crise grave : on ne peut plus emprunter. | |||
12 juin 2012 11h29
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 Lili ... |
Segel, tu as une vision très romantique de la misère. Ce n'est pas parce qu'il y a eu la résistance durant la dernière guerre que les collabos ou les soumis n'étaient pas les plus nombreux. | |||
12 juin 2012 11h35
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Segel |
Segel, tu as une vision très romantique de la misère. Non. C'est bêtement pragmatique. On résiste beaucoup mieux aux aléas en se serrant les coudes qu'en s'entre-bouffant. Je ne prétends pas que l'homme a toujours eu cette intelligence, certes, mais il l'a eu parfois, et j'ose croire que l'information circule aujourd'hui comme jamais, et qu'on saura donc tirer les leçons du passé. Le romantisme c'est justement de croire que nous serions ramené à notre animalité la plus brutale, en oubliant tout ce qui aurait du nous servir de leçons. | |||
12 juin 2012 11h37
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Arsène Lupin |
A voir (vidéo). http://generation-clash.blog... | |||
12 juin 2012 11h39
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Segel |
Hum... tu veux bien me donner ta définition d'une "petite crise" et d'une "crise grave"? Ou bien simplement,une crise "grave" serait une crise qui reconstruirait ton image (?) d'une société clairement découpée selon les principes historico-marxistes? Dans une "crise grave" les structures de la société sont fortement affectées. Evoquer police, armée, PME, artisans, petit-commerçants, représente déjà une société encore pas trop affectée. Il faut prendre pour exemple la Somalie ou la RDC pour se représenter ce que j'entends pas "crise grave". | |||
12 juin 2012 11h40
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Segel |
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| 12 juin 2012 12h15
modifiée 12 juin 2012 12h32
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Arsène Lupin |
La Nation est en fin de course. C'est la première fois sous la Cinquième République que les élections présidentielles ne dégagent que si peu d'espoir : si faible du côté de Nicolas Sarkozy, illusoire chez François Hollande, et utopique du côté de Marine Le Pen et de Jean-Luc Mélenchon. Et pour François Bayrou, comme par le passé, il n'arrive pas à convaincre ... http://www.agoravox.fr/actua... Quoi qu'il en soit, le nouveau Président de la République sera confronté dès son arrivée au pouvoir aux plus graves problèmes connus par la France depuis 1958, date de la faillite socialiste aux affaires de la France, avec l'instabilité économique d'une part, et la guerre d'Algérie d'autre part. C'est le 29 mai 1958 que René Coty alors Président de la République fait appel au Général de Gaulle pour redresser la Nation absolument coincée dans une impasse totale.  | |||
12 juin 2012 12h17
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Segel |
La Nation est en fin de course Ca me fait penser que le mot nation fait beaucoup rire Cryotruc. J'aimerais bien qu'il explique son point de vue à l'occasion. J'ai bien ma petite idée, mais bon ... | |||
| 12 juin 2012 12h21
modifiée 12 juin 2012 12h26
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Arsène Lupin |
J'aime la Nation, mais bon...? J'ai une petite chanson pour vous :  J'aime la FRANCE !!! Vidéo YouTube | |||
12 juin 2012 12h58
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 R.WOLF |
Moi, je coucherai avec l' ennemi, j' adore coucher avec l' ennemi. Et il me paiera des manteaux de fourrure et des bons restaurants. Etre femme ou pd peut s' avérer infiniment pratique. ' scuse le cynisme, je suis souvent ivre de rage. Un genre .. | |||
12 juin 2012 13h04
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Segel |
Est-il si plaisant de coucher avec un ennemi menteur, lâche et hypocrite ? | |||
| 12 juin 2012 13h14
modifiée 12 juin 2012 14h37
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 lurette |
j' adore coucher avec l' ennemi. Et il me paiera des manteaux de fourrure @wolf fais attention, il va plutôt te prendre la tienne, la fourrure de loup ils adorent, ça rapporte très gros.  espèce protégée pour l'instant, mais si tu rentres tout cru dans leur plumard.. je te taquine wolf,  mais tu sais, ça se passe aussi souvent comme ça. | |||
12 juin 2012 13h17
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 anaïs |
Bonjour à tous ! Segel m'a dit un jour que je faisais du catastrophisme et cette critique m'a fait réfléchir. Je crois qu'il n'est pas nécessaire d'anticiper. En cas de danger, le cerveau s'adapte à la survie. | |||
12 juin 2012 13h26
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Segel |
Anaïs, je constate avec plaisir que tu as un peu changé. J'ai eu moi-même ma phase catastrophiste. Dénoncer ces choses n'amène rien de concret, sinon une prise de conscience. Il ne faut pas rester comme un lapin devant les phares de la voiture qui lui arrive dessus ! Soyons créatifs ! | |||
| 12 juin 2012 14h54
modifiée 12 juin 2012 15h23
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Arsène Lupin |
Je ne pose pas ces questions pour le côté catastrophe mais parce que j'ai l'impression que dans notre pays tout le monde s'en fout et que l'on ne fait rien, à part sauver sa peau individuellement en excluant une grande partie des gens qui n'ont pas les diplômes et les relations adéquates, qui perdent leur boulot, ainsi surtout ceux qui n'en retrouveront plus au bout de leur période d'indemnité. Chacun pour soi et dieu pour tous est notre devise nationale. Dans une société où tout s'articule autour du travail et où la dépression demeure taboue, des pouvoirs publics aux simples citoyens, la souffrance psychique des privés d'emploi indiffère. Et cette indifférence est non seulement indigne mais funeste. Reportage. http://www.actuchomage.org/2... Le pays s'enfonce depuis des années et on nous fait croire que ça va s'arranger. Alors comment ? Tant que tu as encore du boulot, tout va bien. | |||
12 juin 2012 15h03
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Segel |
parce que j'ai l'impression que dans notre pays tout le monde s'en fout et que l'on ne fait rien A ce sujet, l'auberge n'est pas représentative de notre pays. Et nous parlons assez souvent des sujets que tu évoques. Mais il convient d'aller au delà du constat. Par ailleurs, amener les gens à "penser critique" et à "chercher les infos par eux-même" est déjà un énorme service que l'on peut leur rendre. Car il n'est de meilleur convaincu que celui qui y vient par lui-même. | |||
| 12 juin 2012 15h09
modifiée 12 juin 2012 15h24
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Arsène Lupin |
Qu'est-ce que tu en penses par exemple sur Yahoo Q/R, dans ton travail et dans la rue ? Et nous parlons assez souvent des sujets que tu évoques. Oui, mais nous évoquons des sujets sans peut-être prendre suffisamment conscience des réalités cachées de notre pays. Ex : On voit QUE dans le front national et dans l'immigration les véritables problèmes de notre pays. Alors que notre industrie qui disparait et la dette qui grimpe, ce n'est pas un grave problème ? | |||
12 juin 2012 15h21
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Segel |
La perception de ces problèmes est fortement liée à la vision du monde que l'on a. Exemple : La dette ? Pour moi c'est de l'argent virtuel tout ça. L'industrie ? Je ne suis pas convaincu qu'on doive revenir au XIXè siècle. L'immigration ? Je conteste déjà la notion même de pays. Le Front National ? Des gens qui exploitent les peurs et la colère d'autres gens. Etc, etc. | |||
| 12 juin 2012 15h23
modifiée 12 juin 2012 15h40
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Arsène Lupin |
Cela doit être ça ! Et nous, on fait quoi dans tout ça si l'on n'a plus de boulot et que nous sommes endettés ? On doit attendre quoi, la fin ou la faim ? Et nos gamins ? Même Attali est inquiet ? Vidéo YouTubeCela fait surement C.... ce genre de question. | |||
12 juin 2012 15h37
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Segel |
Comme tu le sais Arsène, je suis très intéressé en ce moment par la notion de fin du travail de Jérémy Rifkin. Et quelque part, si l'on va au bout de cette logique, on arrive au constat que nous finirons tous avec une activité minimale, obtenue par partage massif du travail, et serons tous allocataires pour une grande partie, des revenus générés par des machines, voire percevrons directement en nature de quoi vivre. A moins que l'élite possédante ne choisisse la guerre et l'extermination de 80% de l'humanité. Je pars du fait qu'elle ne commettra pas cette folie. Mais tout ça c'est pour le long terme. C'est néanmoins important de voir vers quoi on se dirige. Et en attendant ? Et bien en attendant, il faut être opportuniste. Il faut être à l'affut de la moindre opportunité pour travailler ou gratter un peu d'argent. Ne pas dédaigner les compensations en nature qu'on peut obtenir par ci par là. Se dire qu'on est toujours mieux lottis que ceux qui n'ont VRAIMENT rien. Et si on se sent courageux, pourquoi ne pas entreprendre, se mettre à son compte ? Mais là il faudra être malin, ne pas avoir de se battre, et surtout avoir la bonne idée de départ, et savoir se donner les moyens nécessaires en conséquence (et vice-versa). Certaines idées n'ont pas nécessairement besoin d'un capital important. Et si les banques ne prêtent pas, il y'a la famille, les amis, bref ... de l'épargne il y'en a. Je ne sais pas ce qu'on peut faire d'autre en attendant. Nos gamins ? Et bien les études c'est bien, mais ça sert de moins en moins. De nos jours, je pense qu'il vaut mieux savoir pêcher un poisson que dériver une fonction. Bref, ne pas dévaloriser les savoir-faire "de survie". Les métiers manuels aussi ... certains ne seront pas mécanisés, et la main d'oeuvre pas cher de l'immigration ne saura pas faire tout. Bref ... vaste débat. | |||
| 12 juin 2012 15h40
modifiée 12 juin 2012 15h48
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Arsène Lupin |
http://img3.encyclopedie-inc...  Alors, je vais devenir socialiste !   http://claudegoasguen.typepa... | |||
12 juin 2012 15h45
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R.WOLF |
@ Lurette ; si je ne suis pas loup je deviens chienne, chienne ou loup j' embrasse au coup et puis clac les crocs. J' ai déjà vu faire mon chien, j' appelle ça le baiser de la mort, il fait ça très bien, ceci dit c' est un amour et les gens l' adorent. moi aussi d' ailleurs. | |||
12 juin 2012 15h51
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R.WOLF |
@ Segel ; là où j' étais (Sud-Est - lac d' Annecy), j' arrêtais pas de dire à mon copain ; ici il pourrait y avoir un night-shop, là un glacier, mais non rien, .. Quand à moi j' ai renoncé à travailler, dommage. J' aurais bien aimé parfois, mais surtout pas tel qu' on le propose aujourd' hui, ça c' est plutôt à fuir. | |||
| 12 juin 2012 15h53
modifiée 12 juin 2012 15h55
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Arsène Lupin |
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12 juin 2012 16h01
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Segel |
@ Segel ; là où j' étais (Sud-Est - lac d' Annecy), j' arrêtais pas de dire à mon copain ; ici il pourrait y avoir un night-shop, là un glacier, mais non rien, .. Si j'avais pas mon boulot actuel, je t'explique pas le nombre de choses que j'aimerais faire ... | |||
12 juin 2012 16h03
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Arsène Lupin |
Garde quand même ton boulot. | |||
12 juin 2012 17h46
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R.WOLF |
Moi, j' ai jamais le temps de rien faire, ou bien je suis malade, alors bosser, tu penses ..  | |||
12 juin 2012 18h23
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Arsène Lupin |
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12 juin 2012 18h32
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Segel |
Si je devais changer de boulot, ça serait pour une société coopérative. Soit que j'en créerais une, soit j'en rejoindrais une. Mais la création ne me fait pas peur. | |||
12 juin 2012 18h34
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R.WOLF |
En plus, si tu veux un job intéressant, c' est toute une histoire ; je te parle même pas des taxes, impôts, paperasses de tout genre. Ou bien, c' est le patrons, chefs, sous-chefs et autres larbins, .. Non, vraiment, .. ça donne pas envie .. Pourtant des fois j' aurais bien aimé ; avoir des tunes, une bagnole, bonne conscience et tout ces trucs qui vont avec le monde du travail, .. Mais bon, .. | |||
12 juin 2012 18h40
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Segel |
Mais certains, par leur travail, changent le monde. Songeons au simple fait que nous soyons ici même en train d'échanger. Il a bien fallu que des entreprises créent les outils électroniques qui nous le permettent. Est-ce un bien ? Je n'en sais rien au fond. Mais il est certain que si je devais créer quelque chose, ça serait avec ce souci en tête. Sans entrer dans les détails, c'est déjà un peu comme ça que je travaille actuellement. | |||
| 12 juin 2012 18h45
modifiée 12 juin 2012 18h49
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Arsène Lupin |
Pourtant des fois j' aurais bien aimé ; Moi aussi, mais c'était avant. Segel : se mettre à son compte est jouable que si tu te mets dans l'artisanat. Pour le commerce de détail, c'est plus difficle car tu peux y laisser ta chemise.   | |||
12 juin 2012 18h50
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R.WOLF |
Moi, j' aurais aimé, tout à la fois, vendre des fleurs des champs (en été), des parfums, des lumières, en hiver, servir à manger (et faire à manger), tenir un bordel, vendre des antiquités (rares), vendre des livres et des objets (boîtiers, bijoux, etc) ; il m' aurait fallu un aidant. Je serais descendu à la boutique à 10 h, des fois, ça aurait été fermé. Mais ça les intéresse pas ce genre de trucs, ils veulent du connu, du normal, du qui marche, bref .. Bientôt sept heures et j' ai encore rien foutu, heureusement j' ai le moral. Tiens, voila Lili (la petite chienne de ma ma nouvelle voisine) qui vient draguer mon Salvator, .. La vie passe, .. | |||
12 juin 2012 18h51
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Segel |
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12 juin 2012 18h53
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R.WOLF |
Te mettre dans l' artisanat? Mais tu rêves! Avec les goûts stupides du public et leur habitude d' avoir tout pour rien venant d' Asie (du brol en fait) + les impôts, loyers et charges. Impossible, complètement! Toutes les petites boutiques intéressantes sont tenues par des gens, souvent, des femmes en général, dont le mec est bourré de tunes. Point barre! | |||
| 12 juin 2012 18h56
modifiée 12 juin 2012 19h02
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Arsène Lupin |
Il faut que tu trouves un projet d'entreprise à la France.  L'artisanat, c'est maintenant surtout une affaire de famille, car ils prennent de moins en moins d'apprentis, à part leurs gamins qui reprendront le flambeau. Un fond et le matos coûtent chers et la clientèle est parfois difficile à faire venir, autant la garder. | |||
12 juin 2012 19h05
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Segel |
J'aimerais bien amener aux gens des notions comme les objets durables, le fait de calculer le coût de revient d'un produit sur le long terme, en tenant compte des coûts cachés, le fait de privilégier les productions locales, car elles contribuent à réduire le coût du chômage que l'on paye de toutes façons, etc. bref faire comprendre que le prix d'un produit, ce n'est pas juste le chiffre marqué sur l'étiquette. Il y'a aussi, dans l'industrie, ce qu'on appelle les ACV (Analyse du Cycle de Vie) qui prennent en compte les coûts en amont et en aval de la vie d'un produit. Ex : combien devrait coûter l'armée française au Niger pour l'extraction de l'uranium ? Combien devraient coûter les 4 millions de morts entre la RDC et le Rwanda sur le minerai de coltan qui se trouve dans nos appareil portables ? Quels dégats sociaux causent en Afrique nos subventions aux volailles européennes ? Etc, etc. Et pour ça, il faudrait des compétences de compteur de petits pois, que je peux avoir. Parce que l'information, et sa libre circulation, ont le potentiel pour changer le monde. | |||
| 12 juin 2012 19h09
modifiée 12 juin 2012 19h12
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Arsène Lupin |
Le monde tourne à l'envers en réduisant ses coûts Qualité pour produire de la merde. http://1.bp.blogspot.com/_B0...  Tout le monde sait ce qu'il faut faire, mais il faut aller au plus facile ou au plus simple à court terme pour survivre. | |||
12 juin 2012 19h31
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 abra |
Toutes les petites boutiques intéressantes sont tenues par des gens, souvent, des femmes en général, dont le mec est bourré de tunes. C'est on ne peut plus vrai. Des grands pontes de la chirurgie (ou autres) qui mettent leur femme en vitrine pour payer moins d'impôts vu que ce genre de boutiques ne fait quasimment que du déficit. Pourtant l'artisanat, le vrai, c'est autre chose que les merdouilles qui pètent en moins d'une heure. C'est plus cher aussi et avec le pouvoir d'achat actuel les gens achètent de la merde pour bouffer (à tort je le conçois), alors comment peuvent-ils acheter de la qualité en artisanat ? Tout est à changer, à commencer par les mentalités induites par la sur-consommation. | |||
12 juin 2012 19h39
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R.WOLF |
Parce que l'information, et sa libre circulation, ont le potentiel pour changer le monde. Oui, sauf qu' on peut par exemple trouver un écart notable entre l' apparition de l' info au début du web et maintenant ; un exemple concret, les pétitions ; ça émeut encore qui vu que ça n' a pas l' air de changer quoique ce soit. Donc ici aussi, s' adapter, rester into the move. | |||
12 juin 2012 19h54
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lurette |
avec le pouvoir d'achat actuel les gens achètent de la merde pour bouffer un écart notable entre l' apparition de l' info au début du web et maintenant les deux se rejoignent, hein ? c'est un peu le bazar cette époque, le tout-à-10-balles, facile d'accès et facile à trouver et pas cher et pas reflechir. alors Tout est à changer, s' adapter, quid des deux ? comment les concilier ? | |||
| 12 juin 2012 20h38
modifiée 12 juin 2012 20h40
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Arsène Lupin |
 Vidéo YouTube | |||
13 juin 2012 00h36
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jamydefix |
Je vois avant tout cette crise, comme une globale transformation. Je dirais qu'il vaut mieux essayer de participer activement à la transformation, en localisant son énergie, sa créativité, l'autonomie alimentaire etc... Pour qui en a envie il y a sûrement dans ces domaines des tas et des tas de jobs d'avenir. Du genre; Organiser un covoiturages, jardin potager ou sur terrasse, des conserves, fromages, pain, etc etc. Troc, recyclage il y a des tas de choses à faire et faire connaître localement. Voir même projeter des films sur ces sujets. Si le besoin le  et y est tout est possible | |||
| 13 juin 2012 09h04
modifiée 13 juin 2012 09h42
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Arsène Lupin |
Si le besoin y est,tout est possible   | |||
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