24 novembre 2011 17h38
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Djabali |
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24 novembre 2011 18h16
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R.WOLF |
je ne lis pas tout, parce que je suis dans un sale état (grosse colère contre mon père) mais tu fais ça très bien. j' avais adoré (ben oui, les pd ça adore, c' est connu) ta critique de l' autre jour à propos de je sais plus quoi. | |||
24 novembre 2011 18h17
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Djabali |
c'est pour ça que je l'ai fait en résumé, cela m'intéresse énormément de lire COMMENT les journalistes écrivent | |||
24 novembre 2011 18h19
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R.WOLF |
n'a, à aucun moment, décelé la venimosité latente du personnage. mh! on dirait moi ça. pas de smiley venimeux, faudra que JP nous arrange ça. | |||
24 novembre 2011 18h20
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R.WOLF |
n' appelons pas ça journalistes mais rapporteurs (et commentateurs) de faits divers sordides. l' équivalent féminin doit être collaboratrice. | |||
24 novembre 2011 18h51
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maurice |
oui c'est un peu facile et trés certainement une forme de populisme de porter la criminilisation d'une maladie ici la folie. dans cette dramatique affaire apparait la carence d'identification des déviants ensuite une responsabilité des parents qui savaient et qui n'ont rien dit pourquoi n'ont t'il pas prevenu les responsables du pensionnat de la dangerosité de leur enfant? outre le fonctionnement de la justice sur la récidive il faut connaitre les moyens accordés à la spychiatrie par les pouvoirs public pour soigner les malades les coupes succéssives sur la santé expliquerait cela Vidéo YouTube | |||
24 novembre 2011 19h25
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Tinou70 |
Ils veulent absolument construire des centres fermés pour ados parce qu'ils ont des copains qui pourraient profiter des appels d'offres et aussi ils s'emparent du sordide avant que le FN ne le fasse... Je ne parle pas du porte-parole gouvernemental qui est le Figaro mais du staf de la Rédac'.. Sarko et sa clique ! | |||
24 novembre 2011 22h32
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Djabali |
ce qui me dérange dans ce genre d'articles, c'est qu'au-delà du fait divers (après tout, on peut être intéressé par les psychopathes), le journaliste construit subtilement son message : - Mathieu est un monstre, aussi froid qu'une pierre, en dehors de l'humanité. En gros, on peut lui faire ce qu'on veut, cela n'a plus d'importance, il n'a plus son mot à dire - si certains élèves et quelques éducateurs ont remarqué quelque chose, c'est que la véritable conscience de la vérité est dans le peuple - sous-entendu le lecteur, c'est-à-dire de bons parents, des élèves modèles, la populace bien-pensante mais trop lâche pour faire quoi que ce soit - l'administration est défaillante, les psychologues sont des charlatans, les professeurs n'ont rien vu, ce sont des incompétents (quand même, comment ont-il pu passer à côté d'un tel monstre froid et venimeux ?). La solution, évidemment, c'est la police, les centres fermés, pourquoi pas une broyeuse ? | |||
24 novembre 2011 22h56
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R.WOLF |
la broyeuse ici s' appellera ici rétablissement de la peine de mort. on avance on avance! | |||
24 novembre 2011 23h27
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Djabali |
c'est exactement cela, au-delà de l'intérêt intellectuel suscité chez moi par les psychopathes, je reste par principe absolument opposé à la peine de mort | |||
25 novembre 2011 01h40
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alea jacta est |
J'ai du mal à comprendre la moitié de tes remarques a propos de cet article Je vais prendre tes paragraphes un par un -Le premier:je ne vois pas en quoi cela te choque que le Figaro parle d'atroce assassinat Si la moitié de ce que dis la presse sur les circonstances de ce meurtre est vrai, c'est un meurtre particulièrement atroce. Quant au fait que l’administration n'est pas décelé que ce gamin était franchement dangereux, c'est vrai Sauf que, et c'est la ou le Figaro fait une erreur, ce n'était pas à l'éducation nationale de déceler sa dangerosité -Le second:Vu l'entourage familiale de ce gamin, ce n'est à priori pas de ce coté la qu'il faut chercher les raisons de ses troubles mentaux, ce que veut dire cette phrase de l'article. Et je ne vois pas ce qu'il y a de choquant ou de faux la dedans -Le troisième:Le fait que ce soit un pervers sexuel est difficilement contestable et il fumait des joints Ce sont des faits, vérifiables Et je ne vois pas en quoi relater des faits n'est pas le travail d'un journaliste (ni en quoi d'ailleurs, cette phrase apporte un rapport de cause à effet entre l'un et l'autre) -Le Quatrième:Le fait que les experts de la PJJ n'ait pas décelé la dangerosité de ce gamin, c'est aussi un fait. Et pareil, à priori, rapporter des faits, c'est le travail des journalistes. -Le cinquième:Peut tu me dire exactement ce qui dans la phrase que tu cite apporte un rapport de cause à effet entre écouter du rock et perversion sexuelle? -Quant à ton sixième paragraphe, une élève donne son avis sur ce gamin:elle en a, que je sache, parfaitement le droit J'ai en fait l'impression que, quand les faits te dérangent, tu préférais que les journalistes s'abstiennent de les rapporter | |||
25 novembre 2011 11h37
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Djabali |
tu imagines bien Valéry que ce n'est pas ce genre de petit joueur qui va me démonter, encore un qui a besoin de se prouver quelque chose... Une analyse ne se base pas sur des sentiments ou des impressions, je ne donne pas mon avis comme on parle de la pluie ou du beau temps. Un journaliste, lorsqu'il écrit un article, choisi un angle, une perspective, puis des mots. Pourquoi a-t-il dit qu'il fumait des joins alors qu'il ne parle pas par exemple de son habitude de mâcher du chewing-gum ? Toute information est sélectionnée avant d'être présenté et cette sélection répond à un objectif. Lorsqu'on analyse d'un texte, l'important est de voir quels mots sont utilisés pour savoir où le journaliste a voulu en venir. Une analyse de texte littéraire ce n'est pas autre chose. Le jour où tu auras besoin d'une assistance à ce sujet, je suis là... | |||
25 novembre 2011 12h17
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Jean-Pierre ♫ |
alea jacta est ! (Le sort en est jeté...) |