14 février 2013 11h40	Segel	Ils ne voulaient plus de la Fiducie monétaire, donc ils eurent la Fed ... A ceux qui n'auraient pas le courage de lire "Les secrets de la Fed" que m'a conseillé l'excellent QRiste Decrolier, je conseille ce petit texte sur l'origine de la Fed : ActuWiki - L'essentiel de l'actualité en France A quoi bon discuter encore 'politique' quand on réalise que guerres, crises, révolutions, terrorisme, sont contrôlées depuis longtemps par la haute finance ?
14 février 2013 11h42	Jean-Pierre ♫	Segel, tu as tout à fait raison comme toujours. Tu es le phénix des hôtes de ces lieux, notre Maître à penser à tous. Que deviendrions-nous sans toi ?
14 février 2013 12h01	Hélène	"Faîtes l'amour, pas la guerre"
14 février 2013 13h37 modifiée 14 février 2013 13h38	Paddy et maddy	bonjour Segel c est pas facile a lire et heureusement paddy pas seul pour lire tout n ai pas faux mais paddy a bien aimer la fin """Il y a également une bonne nouvelle : nous pouvons encore y arriver. Il nous reste du temps. Nous sommes encore libres. Nous pouvons encore parler librement. Nous pouvons encore élire les représentants de notre choix. Rappelez-vous : notre liberté en dépend. Merci !""" mais bon dépèchons nous de sauver notre liberté
14 février 2013 15h04	R.WOLF	A quoi bon discuter encore 'politique' quand on réalise que guerres, crises, révolutions, terrorisme, sont contrôlées depuis longtemps par la haute finance ? Conclusion, allez manifester à Francfort, Londres ou NY ou restez chez vous ; vous gagnerez un temps précieux.
15 février 2013 21h01 modifiée 15 février 2013 21h02	Arsène Lupin	A quoi bon ? http://www.mondialisation.ca... Sans vouloir déconsidérer le message humaniste du film de Chaplin, on peut quand même regretter que la caricature qu’il donne d’Hitler n’aide pas à comprendre pourquoi et comment un mouvement aussi répugnant que le nazisme soit parvenu au pouvoir légalement dans un pays considéré comme un des fleurons culturels de l’Europe. On peut même penser que le succès qu’a rencontré ce film en Occident doit beaucoup au fait qu’il a contribué à faire oublier qu’Hitler et le nazisme n’ont dû leur victoire qu’à l’appui politique et financier des représentants des firmes les plus puissantes du capitalisme allemand. Soutenu seulement par certains cercles de l’armée, Hitler et le parti nazi ont longtemps été marginalisés. Au point que leur putsch de Munich en novembre 1923 tournera à la farce lamentable.

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