24 mars 2014 15h17

armand
Qui veut se joindre à moi pour souhaiter la bienvenue à AZALEE ?

Qui veut se joindre à moi pour souhaiter la bienvenue à AZALEE ?

si on m'avait dit qu'un jour j'écrirais des vers.
j'aurais considéré cela comme de l'ennui.
mais je t'ai lu ,et compris ton univers,
d'amitiè. a travers tes mots,j'ai vu la vie.

si on m'avait dit ,qu'au désert la beauté luit,
je n'aurais pas vu en la poésie une addiction.
ne me demandez ,plus .j'en suis assujeti.
la solitude parti ,je vis l' ELEVATION.

satisfait, mais non génie, je pleure le verbe.
quand,l'inspiration n'est pas là ,fini la joie
alors je te lis en voyant cette fleur superbe
mon azalée les mots valsent sur de la soie

L AMITIE RECUE

L'AMITIE RECUE
A L ODEUR DU JASMIN
SUR SA PROPRE TERRE
LA BEAUTE D UN CYGNE
SUR UN LAC D AIGUE MARINES
LA GRANDEUR D UN SOMMET
UNI AUX NUAGES CRISTALLINS

L AMITIE RECUE
EST UN UNIVERS
PERCE DE PETALES DE ROUGES CHRYSANTHEMES
APPAUVRI PAR LA ROUTINE
DES PAS ENFUMES
ENFONCES SOUS UN SOL
DE MOTS HUMIDES

L AMITIE RECUE
S ENTASSE COMME LES TILLEULS
SOUS LES DECOMBRES
JAILLIT COMME UN TROISIEME OEIL
POUR ELOIGNER LE DESESPOIR
CRIE COMME LA SOLITUDE
DANS UNE GROTTE

LAMITIE RECUE
DESHABILLE LES MOTS
POUR SORTIR SES AMIS

L AMITIE RECUE
CONNAIT LAIR ET LE RENFERME

L AMITIE RECUE
SE LAISSE APPROCHER CARESSER SECOUER
TUER POUR UNE COURTE DUREE
DANS L AMITIE RECUE
IL Y A L AMI IMMORTEL
AUSSI INVISIBLE
QUE L AU DELA
DE TOUS LES MIROIRS

SANDRA JAYAT

pardon à Segel d'avoir copiè sa question
le premier poeme est de moi que je dédicace bien sur à la cygale
azalée azalée qui m'a beaucoup appris dans la prose
je profite de l'auberge pour lui dire combien je lui suis reconnaissant

et le second vous vous en doutez bien je le dédicace à tous et toutes
les cygales qui a travers leurs discussions consécutives ont des coeurs gros gros comme
l'amour de l'amitié

Vidéo YouTube

24 mars 2014 15h23

Segel
Le plagiat est tout excusé Armand !

Bienvenue à toi Azalée !

24 mars 2014 15h38
modifiée
24 mars 2014 15h40

Tinou70
... 2 à tes pieds !!! Tu les connais ? Bienvenue ma Belle

24 mars 2014 15h41

Azalée
Merci Armand pour ton beau poème de bienvenue !

24 mars 2014 15h47
modifiée
24 mars 2014 15h48

Azalée
Un petit poème printanier, ça vous dit ?

La clé de mon coeur

Dans le parc endormi là-bas sous la rosée,
les premiers bourgeons et feuilles cachent la clé,
Il te faudra encore marcher pour la trouver,
Ne le dis à personne, ils pourraient l'enlever.

Je t'ai tant attendu qu'elle est toute rouillée,
Les frimas, la froidure l'ont toute souillée,
C'est comme un mauvais rêve où le temps est perdu,
La clé de mon coeur tu ne la trouveras plus.

Soudain je me réveille et je sens un frisson,
Aurions-nous fait le même songe à l'unisson,
Eloignant enfin de nous barrières et pleurs,
Tu me rendais ma clé dans un bouquet de fleurs.

Azalée

24 mars 2014 19h07

MAMIE BONHEUR
bienvenue aux nouvelles cigales j'aime beaucoup la poésie géniale!!

24 mars 2014 19h11

armand
c'est un bonheur mamie de découvrir une supportrice j'ai hâte de vous lire
mais si c'est pas les votres j'en serais fan toujours

24 mars 2014 19h26

MAMIE BONHEUR
plus trop le temps d'en écrire mais par contre j'adore en lire le soir au coucher ca me permet de m'évadée de mes longues et dure journéés!

24 mars 2014 22h16
modifiée
24 mars 2014 22h19

Emma
On dirait que notre Auberge s'agrandit et de manière fort joli!! Bienvenue a ces deux nouvelles cygalles, alors!!

25 mars 2014 01h50

Mag
Hello, welcome!

25 mars 2014 01h52

jamydefix
Coucou
Bien venu à vous deux

25 mars 2014 09h10

Jean-Pierre ♫
Bienvenue à toi et à ton fort bel avatar !

25 mars 2014 09h40

Pépé le Moko
Bienvenue Azalée

25 mars 2014 11h36

Lili ...

Armand et Azalée

25 mars 2014 12h34

Segel
Magnifiques les avatars des nouveaux !

25 mars 2014 15h16

Azalée
Allez, un poème d'amour et d'amitié en ce début d'après-midi

A nous deux.

On continue d'avoir un tendre sentiment
Bien plus proche de l'amitié que de l'amour,
Dont nous nous sommes éloignés tout doucement,
Tout devient plus clair, on est amis pour toujours.

Plus de jalousie ni de tracas inutiles,
Du bonheur et une complicité intacts,
Faits de tendres apartés, de paroles futiles,
Le tout avec beaucoup de respect et de tact.

Nous resterons pour toujours ces adolescents,
Qui ne sauront jamais ce que vieillir veut dire,
Nous assumerons tous nos flirts incessants,
De notre amour avons su éviter le pire.

Azalée

25 mars 2014 20h10

armand
bonsoir lili

tu sais Azalée c'est comme Pépé chez vous
à savoir la :<< mesure avant toute chose .>>

ces deux là sont de véritables magiciens qui sont
dotés d'un pouvoir extraordinaire en effet par un
simple mot ou une phrase élèmentaire celui de transformer
un écran banal ombragé en couleur féérique
ou défile à profusion des images et des sons
venus des profondeurs de l'humanité qu'ils ont gardés eux
ma foi cet univers du sensible vous l'avez aussi vous
albertgeois
même si vous vous en défendez toi et Ségel vous faites
de la poésie tous lles jours
ouvre donc une rubrique poésie eet tu verraas plus besoin de
pourr s''éévadder
je ne ddéconne pas c''estt mon clavvier qui fait dess siiennes

26 mars 2014 01h18

Pépé le Moko
tu sais Azalée c'est comme Pépé chez vous
à savoir la :<< mesure avant toute chose .>>


Qui c'est ce Pépé que je ne connais pas ?

26 mars 2014 21h30

Azalée
Oui, Armand ce serait bien qu'il y ait une sorte de club des poètes !
On y retrouverait peut-être nos amis, qui sait

27 mars 2014 05h03

armand
Qui c'est ce Pépé que je ne connais pas ?

tu comprends pourquoi j'ai dit
la phrase de baudelaire : je est un autre
je m'adressais en fait au baudet Burridan
qui malheureusement contrairement à pépé
n'avait pas lui le sens de la mesure


Connaissez-vous cette histoire frivole
D'un certain âne illustre dans l'école?
Dans l'écurie on vint lui présenter
Pour son diner deux mesures égales,
De même force, à pareils intervalles;
Des deux côtés l'âne se vit tenter
Également, et, dressant ses oreilles,
Juste au milieu des deux formes pareilles,
De l'équilibre accomplissant les lois,
Mourut de faim, de peur de faire un choix.

(Voltaire, La Pucelle d'Orléans, œuvre en 21 chants, chant XII, vers 16 et sq.
Œuvres complètes de Voltaire, t. XI, Paris, 1784)

Le paradoxe de l'âne de Buridan est la légende selon laquelle un âne est mort
de faim et de soif entre son picotin d'avoine et son seau d'eau,
faute de choisir par quoi commencer

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