16 novembre 2011 01h29
modifiée
16 novembre 2011 01h52

DAME Miette
Pour quoi que ce soit (pour vivre)j'ai un mal fou à me motiver,mais il y a 1 bouquin que je lis QUAND MÊME avec passion: les 2000 pages des MISERABLES

quel monument génial !


moi je ne sais pas parler politique
alors je me contente de vous lire
Dans les Misérables aussi, il y a de la politique

Il y a de tout, d'ailleurs..

au fait ne finissez pas votre vie sans avoir lu L'HOMME QUI RIT
THE chef d'oeuvre absolu de Totor ( que 5 ou 600 pages, crois-je me souvenir )
écrit à la fin de sa vie

VH, immense romancier .


c'est pour causer un peu ....

'nne nuit

.

16 novembre 2011 01h47
modifiée
16 novembre 2011 01h50

DAME Miette
Robert MERLE, je ne m'y suis mise que très tard

je le trouve génial
et pourtant, je ne sais pourquoi, je n'ai pas l'intention d'en relire

trop tard

connais pas l'autre
( ps : ah si, tu veux dire Cirulnik? un truc comme çà- le mec de la résilience ( pas convaincue par cette fameuse résilience, moi ,...)
je verrai
mais je ne lis ou relis que les "anciens"

bise, j'éteins tout
à demain p'têt'
.

16 novembre 2011 01h53

DAME Miette
....
miaou
....

16 novembre 2011 02h20

Freedom
Et bien je vais les lire, merci!

16 novembre 2011 06h58

Jean-Pierre ♫
Les misérables, c'est avant tout un roman politiquement incorrect et très critiqué à l'époque par tout bon bourgeois.
N'ayant les moyens de l'acheter, les ouvriers se le prêtaient avec délectation.

Dans un autre style, il y a aussi Germinal.

16 novembre 2011 11h18

Pépé le Moko
Je n'ai jamais vraiment accroché sur "les misérables". Je ne sais pas pourquoi...
En revanche, il faut que je me procure "l'homme qui rit"... depuis le temps que tu nous en parle, il faut que j'essaye.

Bisous

16 novembre 2011 11h51

maurice
Bonjour Miette,la cigalie

Parler politique n’est pas la panacée de la culture.
Quand j’échange avec les cigales De l’auberge espagnole
je n’ai pas l’impression de dialoguer avec des politicards
J’ai en face de moi des gens qui cherchent à comprendre le monde dans lequel ils vivent
Comprendre les autres c’est aussi parvenir à se comprendre
Je suis sûr que si les allemands du troisième reich n’étaient pas persuadés
Qu’ils appartenaient a la race supérieure du mythe aryen ils ne se seraient pas laissés
Embobinés par un politicien spychopathe qui les a poussé a commettre les pires atrocités
D’un monde soi disant civilisé .
Moi aussi j’apprecie Victor Hugo ,c’est un des romanciers les plus doués de la chose
Politique .son œuvre l’atteste.
Victor Hugo (1802-1885)

REVOLUTION

Quand je sortis du college,du theme,
Des vers latins,farouche,espèce d’enfant blème
Et grave,au front penchant,aux membres appauvris,
Quand tâchant de comprendre et de juger,j’ouvris
Les yeux sur la nature et sur l’art ,l’idiome,
Peuple et noblesse ,était l’image du royaume ;
La poésie était la monarchie ;un mot
Etait un duc et pair ,ou n’était qu’un grimaud.
Les syllabes pas plus que Paris et que londre
Ne se mêlaient ;ainsi marchent sans se confondre
Piétons et cavaliers traversant le pont-neuf ;
Les mots,bien ou mal nés ,vivaient parqués en castes.
Les uns,nobles hantant les phèdres,les jocastes,
Les méropes,ayant le décorum pour loi,
Et montant à Versaille aux carrosses du roi ;
Les autres ,tas de gueux,drôles patibulaires,
Habitant les patois ,quelques uns aux galères
Dans l’argot ;dévoués à tous les genres bas ,
Déchirés,en haillons,dans les halles ;sans bas,
Sans perruque ;créés pour la prose et la farce
Populace du style au fond de l’ombre éparse
Vilains ,rustres,croquants,que Vaugelas leur chef,
Dans le bagne Lexique avait Marqués d’une F ;
N’exprimant que la vie abjecte et familière,
Vils ,dégradés,flétris,bourgeois ,bons pour Molière.
Racine regardait ces marauds de travers ;
Si Corneille en trouvait un blotti dans son vers,
Il le gardait ,trop grand pour dire : qu’il s’en aille
Et voltaire criait ;Corneille s’encanaille !
Le bonhomme Corneille ,humble,se tenait coi.
Alors ,brigand ,je vins ;je m’écriai :pourquoi
Ceux –ci toujours devant ,ceux-là toujours derrière ?
Et sur l’Académie,aieule et douairière,
Cachant sous ses jupons les tropes effarés,
Et sur les bataillons d’alexandrin carrés,
Je fis souffler un vent révolutionnaire.
Je mis un bonnet rouge au vieux dictionnaire :
Plus de mot sénateur !plus de mot roturier !
Je fis une tempête au fond de l’encrier,
Et je mêlai ,parmi les ombres débordées,
Au peuple noir des mots , l’essaim blanc des idées ;
Et je dis : pas de mot ou l’idée au vol pur
Ne puisse se poser ,tout humide d’azur.

16 novembre 2011 12h17

Djabali
ici, c'est moi qui suis totalement out, je ne supporte pas Victor Hugo

16 novembre 2011 12h26

gonzo
je lis rarement des classique, mais j'aime bien en lire parfois.
bel ami ou des souris et des hommes que j'ai trouvé génial.
y'a de quoi faire..

et c'est comme ça que je préfère la lecture, plutot qu'une réflexion déja faite
Asimov étant pour moi un génie dans le domaine.

mais y'a aussi dans les littératures qui n'ont pas pour réflexion premiere certains sujets
, mais néanmoins sont de vraies mines.
rapport entre bien et mal et la religion et les sociétées.
j'ai trouvé les "chronique de la compagnie noir" de glen cook , génial

17 novembre 2011 11h24

Tinou70
""Pour quoi que ce soit (pour vivre)j'ai un mal fou à me motiver""... d°...

Le Rêve d'Emile Zola... à plus j'espère, Dame Miette........

20 novembre 2011 01h51
modifiée
20 novembre 2011 01h53

Djabali
Emile Zola, une truelle à merde disait Nietzsche .... non, je préfère Proust, Gary, Cossery...

21 novembre 2011 16h29

maurice
Emile Zola, une truelle à merde disait Nietzsche .... non, je préfère Proust, Gary, Cossery.
rassure moi Djab c'est bien toi qui a écrit ça
j'espère que tu n'approuves pas le psychopathe de Nietzche quand il dit que zola est
une truelle à merde?.

21 novembre 2011 17h23

Djabali
bah si ... à 100% ... je me souviens de ma prof de français en seconde, elle nous a lu un extrait de je ne sais quel ouvrage commis par Zola, c'était la description des émois vulgaires d'une paysanne dans sa grange, si j'avais eu une arme, je crois que j'aurais tiré, insupportable...

21 novembre 2011 17h53

gonzo
ba, je comprend pas cette hargne sur la vulgritée d'une paysanne.





21 novembre 2011 18h15

abra
Ben moi j'aime Zola et Proust pas du tout. Il me tombe des mains C'est lent et chiant

21 novembre 2011 18h59
modifiée
21 novembre 2011 19h12

maurice
tu peux t'interresser à Céline il est pas mal ou même brasillac
c'est des bons mais
il semblerait que ces jeunes du chili du lycee degaulle
avaient plus de conscience politique que toi à ton époque
le peu que je connais d'emile Zola est suffisant même
en dépit des critiques sévères sur son parcours pour
le considérer comme un vrai revolutionnaire
peu d'auteurs ont mis en pratique leurs théories aux actes
je ne sais pas si il est au panthéon des anti-racistes mais il devrait figurer
en haut de la pyramide surtout pour son action dans l'affaire Dreyfus

Vidéo YouTube

http://fr.wikipedia.org/wiki...

21 novembre 2011 19h29

Djabali
les goûts et les couleurs, ça se discute mais ça ne se juge pas ou alors ...

Je me moque de savoir si Zola était ou non révolutionnaire, je parle de l'écrivain, son style, ses thématiques, son univers.

Chacun va chercher son inspiration où il peut, pour moi un écrivain n'a aucun devoir vis à vis de sa société, il en a vis à vis de son art et c'est déjà assez. J'ai d'ailleurs du mal avec Ala al Aswani, comme écrivain j'adore, comme passionaria de la révolution beaucoup moins.

Quand à avoir une conscience politique, franchement, vu les heures, les efforts et le pognon passé pour la cause, je crois ne pas avoir de leçon à recevoir en la matière

21 novembre 2011 21h28

maurice
C’est bien toi et non un troll
Qui a affirmé dans le suivisme avec nietzche
Qu’un de nos plus grands écrivain Emile Zola était à 100% une truelle à merde
Comprends que je ne pouvais rester de marbre face à de tels blasphèmes
Toi ou un autre ma réaction aurait étè la même
Le tort que j’ai eu fut de te mettre en face de ces incohérences
Nous sommes dans un forum dont la particularité est le dialogue
Le respect et l’échange des idées
Quand j’échange avec quelqu’un il n’a pas de sinuosités
Et apposer un jugement de valeur à ton égard je me le serais pas
Permis dailleurs je ne l’ai pas fait c’est vrai qui suis je ?
J’ai le droit d’admirer un homme qui a mis toute sa force
Toute son energie pour sauver du peloton d’exécution
un homme victime d’un antisémitisme Barbare, le capitaine d’armée ,
dreyfus ,un juif
la particularité d’un être humain est de faire des erreurs
c’est pourquoi il est perfectible
son œuvre l’atteste emile zola etait un authentique révolutionnaire
J’aurais eu la même attitude que toi et si tu
M’avais repris je t’en aurais pas fait grief
Pour ma part l’incident est clos est tout peut continuer comme avant
Point barre .
Je termine en rendant hommage à Mr Dubois prof d’histoire et déconomie
Pour m’avoir éveillé la conscience sur cet aspect sombre de l’histoire de
France

21 novembre 2011 22h13

Djabali
Je ne te juge pas, je juge Zola, l'écrivain, je trouve son odeur insupportable, tout simplement. Mais j'aurais pu parler de mon mépris pour Rousseau le niaiseux, de mon incapacité congénitale à lire la prose grandiloquente de Chateaubriand, ou bien de l'envie de vomir qui me prend instantanément quand je pense à Lamartine ( ). C'est mon avis, je pourrais entrer dans les détails, mais je n'ai jamais empêché qui que ce soit d'aimer ce que je ne pouvais tolérer, en littérature toutefois.

Alors rien ne t'interdit de l'admirer, surtout si cette admiration se fonde principalement sur le fait qu'il a été dreyfusard. Pour moi il n'y a tout simplement aucun incident à clore.

22 novembre 2011 17h01

maurice
Avoir la boulimie de la connaissance c’est bien. S’inspirer de la pensée de ceux
Qui savent, pour mieux grandir c’est mieux

maurice –Auberge-espagnole-nov 2011

Je pourrais à la limite ne pas rechigner sur les coups de griffes sur Rousseau
Et Alphonse de lamartine Si j’avais la certitude
que tu maitrises leurs œuvres littéraires
Effectivement je crains que tu te fourvoyes dans la critacaille car tu n’apportes
Aucunes justifications a tes critiques
Néanmoins je suis rassuré car maintenant j’ai la certitude que tu es sûr que mes
Propos ne sont ni moralisateurs ni agressifs d’autant plus que
tu sais combien l’estime que j’ ai pour la symbolique que tu representes dans l’auberge
je t’ai déjà dit combien j’apprécie tes gesticulations et ton franc-parler qui fait de toi
un membre à part de notre communauté
Et j’invite aussi les autres cigales ou les passants de passage sur ce site
bien sûr si le cœur leur en dit de prendre part à la Discussion

Donc tant que tu ne m’aurais pas dit pourquoi J.Jacques Rousseau est niaiseux
Ou m’expliquer pourquoi Lamartine te donnes envie de vomir je me réserve
Le droit d’en réfèrer à Jean-Piètre docteur es-lettre en linguistique
en attendant je soumets à l’assemblée Quelques extraits de jean jacques Rousseau
et un poème sublime
deux grands maîtres de notre chere belle langue Française qui lui donne le bling bling
d'un monde globalisé anglophone
Alphonse de Lamartine (1790-1869)

Je dédicace ce poème à une femme libre et digne
Danielle Mitterand décèdé aujourd’hui


Le Lac
Ainsi ,toujours poussés vers de nouveaux rivages,
Dans la nuit éternelle emportés sans retours,
Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges
Jeter l’ancre un seul jour ?

O lac ! l’année à peine fini sa carrière ,
Et prés des ilots chéris qu’elle devait revoir,
Regarde !je viens seul m’asseoir sur cette pierre
Où tu la vis s’asseoir !

Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes ;
Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés ;
Ainsi le vent jetait l’écume de tes ondes
Sur ses pieds adorés.

Un soir ,t’en souvient-il ? nous voguions en silence ;
On n’entendait au loin sur l’onde et sous les cieux
Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence
T es flots harmonieux.

Tout à coup ,des accents inconnus à la terre
Du rivage charmé frappèrent les échos ,
Le flot fut attentif ,et la voix qui m’est chère
Laissa tomber ces mots :

« O temps ! suspends ton vol ;et vous ,heures propices
suspendez votre cours :

Laissez-nous savourer les rapides délices
Des plus beaux de nos jours !

« Assez de malheureux ici-bas vous implorent,
Contez ,coulez pour eux :
Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent
oubliez les heureux. »

O lacs !rochers muets ! grottes ! forêt obscure !
Vous que le temps épargne ou qu’il peut rajeunir
Gardez de cette nuit ,gardez belle nature.
Au moins le souvenir !

Qu’il soit dans ton repos ,qu’il soit dans tes orages
Beau lac ,et dans l’aspect de tes riants coteaux
Et dans ces noirs sapins et dans ces rocs sauvages
Qui pendent sur tes eaux !

Qu’il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe
Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés
Dans l’astre au front d’argent qui blanchit ta surface
De ses molles clartés.

Que le vent qui gémit ,le roseau qui soupire
Que les parfums léger de ton air embaumé,
Que tout ce qu’on entend,l’on voit ou l’on respire,
T out dise : ils ont aimé

Premieres Meditations alphonse de Lamartine

Jean Jacques Rousseau (1712-1778)


Il est important de noter que Jean Jacques rousseau à étè pendant une grande
Partie de sa jeunesse un chemineau (un routard,une sorte de hippie) qui passe
Sa vie sur les grandes routes et couche à la belle étoile,il a aimé cette vie
Cette formation fait comprendre en partie son caractère et son œuvre
Dans confessions le sentiment de la nature en ferait un écolo de nos jours

Extrait (Sur les Grandes Routes)
La chose que je regrette le plus dans les détails de ma vie dont j’ai perdu la mémoire,
Est de n’avoir pas fait des journaux de mes voyages,
Jamais je n’ai tant pensé ,tant vécu,tant éxisté ,tant étè moi si j’ose ainsi dire,que dans ceux
Que j’ai fait seul et à pied .
La marche a quelque chose qui anime et avive mes idées :
Je ne puis presque penser quand je reste en place il faut que mon corps soit en
Branle pour y mettre mon esprit .
La vue de la campagne ,la succession des aspects agréables ,le grand air ,
Le grand appétit ,la bonne santé que je gagne en marchant la liberté du cabaret ,l’éloignement
De tout ce qui me fait sentir ma dépendance ,de tout ce qui me rappelle à ma situation ,
Tout cela dégage mon âme ,me donne une plus grande audace de penser ,me jette
En quelque sorte dans l’immensité des êtres pour les combiner ,les choisir ,me les
Approprier à mon gré ,sans gêne et sans crainte.je dispose en maître de la nature entière ;mon cœur errant d’objet en objet ,s’unit s’idenfie à ceux qui le flattent ,s’entoure d’images
Charmantes ,s’enivre de sentiment délicieux…………..
C’était souffrir assurément que d’être réduit à passer la nuit dans la rue ,et c’est ce qui
M’est arrivé plusieurs fois à Lyon .
J’aimais mieux employer quelques sous qui me restaient à payer mon pain que mon gite
Parce qu’apres tout je risquais moins de mourir de sommeil que de pain.
Ce qu’il y a d’étonnant c’est que dans ce cruel état ,je n’étais ni inquiet ni triste .
Je n’avais pas le moindre soucis sur l’avenir ………………………………..


Jean Jacques Rousseau (Ecrivain Politique)


Preface de l’émile
« quand mes idées seraient mauvaises ,si j’en fais naître de bonnes à d’’autres,
je n’aurai pas tout a fait perdu mon temps. »


Citation (pour les cigales qui aiment les chats)

Le chat ,ennemi de la contrainte ,achève de caractériser la liberté


« Les leçons que les écoliers prennent entre eux dans la cour du collège leur sont
cent fois plus utiles que tout ce qu’on leur dira jamais dans la classe.
Voyez un chat entrer pour la première fois dans une chambre :
Il visite ,il regarde ,il flaire ,il ne reste pas un moment en repos,
Il ne se fie à rien qu’après avoir tout examiné ,tout connu
Ainsi fait un enfant commencant à marcher et entrant ,pour ainsi dire,dans
L’espace du monde. »
(emile ou l’éducation,livre 2)

« un père ,quand il engendre et nourrit des enfants,ne fait en cela que le tiers
de sa tâche.
Il doit des hommes à son espèce ,il doit à la société des hommes sociables ;
Il doit des citoyens à l’état .
T out homme qui peut payer cette triple dette et ne le fait pas est coupable,
Et plus coupable quand il la paye à demi . »

« Considérons ,d’abord les femmes privées de leur liberté par la tyrannie des
hommes ,et ceux-ci maitre en toute choses.car les couronnes ,les charges,les
emplois ,le commandement des armées ,tout est entre leurs mains ,ils s’en
sont emparés dés les premiers temps par je ne sais quel droit naturel que
je n’ai jamais bien pu comprendre et qui pourrait bien n’avoir d’autre
fondement que la force majeure.
Considérons aussi le caractère de l’esprit humain ,qui ne veut que du bling bling (brillant)
Qui n’admire la vertu qu’au milieu des grandeurs et de la majesté ,qui méprise tout
Ce que peuvent faire de plus grand et de plus admirable dans leur état de personnes
Soumises et dépendantes
Toutes proportions gardées les femmes auraient pu donner de plus grands exemples
De grandeur d’âme et d’amour de la vertu et en plus grand nombre que les hommes
N’ont jamais fait si notre injustice ne leur eût ravi avec leur liberté toutes les
Occasions de les manisfester au yeux du monde .

Et enfin
Comme disait Stendhal
Jean jacques rousseau est un de ces auteurs insolites qui forcent les lecteurs
A penser
A ceux qui voudraient s’en tirer à bon compte et faire l’éloge de l’écrivain
Pour mieux meconnaitre le penseur et pour escamoter ses messages en les
Traitant de paradoxe Jean-jacques d’avance répondait par la préface de ses
Lettres écrites à la montagne .
« je prie les lecteurs de vouloir bien mettre à part mon beau style,et d’examiner
seulement si je raisonne bien ou mal

22 novembre 2011 18h15

Djabali
Lamartine : moi, toute cette nature qui pleure, soupire, se lamente et gémit me donne envie de lui filer une bonne claque et de lui dire d'arrêter de pleurer ainsi comme une chiffe molle.

Rousseau : dans ses mémoires, j'ai lu un passage où au cours d'un voyage, alors qu'il était jeune homme, dans une auberge, il décrit son étonnement devant un gars, assis devant la cheminée. Il le voyait de dos, en train de bouger de manière étrange, comme un tremblement. Puis, quelques minutes plus tard, il a vu une chose blanche tomber dans la cheminée. Il s'en étonnait parce qu'il ne savait pas ce que faisait ce monsieur et moi, un gars qui à 20 ans ne sait pas ce que c'est une branlette, franchement, il repassera pour venir me parler de la condition humaine !!! c'est tout ce que j'ai lu de lui alors que son bouquin était à l'épreuve du bac de français, je me suis dit que je refusais de lire un tel crétin.

23 novembre 2011 14h58

maurice
Lamartine : moi, toute cette nature qui pleure, soupire, se lamente et gémit me donne envie de lui filer une bonne claque et de lui dire d'arrêter de pleurer ainsi comme une chiffe molle.

Rousseau : dans ses mémoires, j'ai lu un passage où au cours d'un voyage, alors qu'il était jeune homme, dans une auberge, il décrit son étonnement devant un gars, assis devant la cheminée. Il le voyait de dos, en train de bouger de manière étrange, comme un tremblement. Puis, quelques minutes plus tard, il a vu une chose blanche tomber dans la cheminée. Il s'en étonnait parce qu'il ne savait pas ce que faisait ce monsieur et moi, un gars qui à 20 ans ne sait pas ce que c'est une branlette, franchement, il repassera pour venir me parler de la condition humaine !!! c'est tout ce que j'ai lu de lui alors que son bouquin était à l'épreuve du bac de français, je me suis dit que je refusais de lire
un tel crétin.

Bonjour la cigalie bonjour lisa
bienvenue dans cette auberge, haut lieu de la culture dont
Je suis incapable de situer l’endroit tellement il est banal
Et oui comme tu peux le constater sur la photo l'auberge c’est des tables et des chaises en face d’une Porte de garage longeant un quai ou un fleuve tranquille
certainement pollué mais qui lui donne
Un caractère original
tu verras chère lisa tu prendras goût à l’auberge en réalité une arêne ou tous les jours
jusqu'à tard dans la nuit on a la chance d’assister à un concert
de chants ou de cris dont l’enjeu est de briller en octave

a nous Djab
d’abord je te remercie cette discussion sur les auteurs classiques ont provoqué
chez moi un intèrêt croissant pour les auteurs que tu n’apprécies pas
admiration est un terme exagéré mais certainement de la considération
je comprends enfin pourquoi l’enseignement en France tient beaucoup
à ce que les élèves digerent les connaissances des œuvres classiques
tellement l’univers qu’il offrent à nos consciences est vaste
Djab je reste quand même surpris car entre montesquieu et Jean-jacques
Rousseau le plus proche de toi c’est bien jean jacques


http://culture-et-debats.ove...


Le texte de Rousseau(extrait des confession)
« Il n’y a point d’âme si vile et de cœur si barbare qui ne soit susceptible de quelque sorte d’attachement. L’un de ces deux bandits qui se disaient Maures me prit en affection. Il m’accostait volontiers, causait avec moi dans son baragouin franc, me rendait de petits services, me faisait part quelquefois de sa portion à table, et me donnait surtout de fréquents baisers avec une ardeur qui m’était fort incommode. Quelque effroi que j’eusse naturellement de ce visage de pain d’épice, orné d’une longue balafre, et de ce regard allumé qui semblait plutôt furieux que tendre, j’endurais ces baisers en me disant en moi-même : le pauvre homme a conçu pour moi une amitié bien vive ; j’aurais tort de le rebuter. Il passait par degrés à des manières plus libres, et tenait de si singuliers propos, que je croyais quelquefois que la tête lui avait tourné. Un soir, il voulut venir coucher avec moi : je m’y opposai, disant que mon lit était trop petit. Il me pressa d’aller dans le sien : je le refusai encore ; car ce misérable était si malpropre et puait si fort le tabac mâché, qu’il me faisait mal au cœur.
Le lendemain, d’assez bon matin, nous étions tous deux seuls dans la salle d’assemblée : il recommença ses caresses, mais avec des mouvements si violents qu’il en était effrayant. Enfin, il voulut passer par degrés aux privautés les plus malpropres et me forcer, en disposant de ma main, d’en faire autant. Je me dégageai impétueusement en poussant un cri et faisant un saut en arrière, et, sans marquer ni indignation ni colère, car je n’avais pas la moindre idée de ce dont il s’agissait, j’exprimai ma surprise et mon dégoût avec tant d’énergie, qu’il me laissa là : mais tandis qu’il achevait de se démener, je vis partir vers la cheminée et tomber à terre je ne sais quoi de gluant et de blanchâtre qui me fit soulever le cœur. Je m’élançai sur le balcon, plus ému, plus troublé, plus effrayé même que je ne l’avais été de ma vie, et prêt à me trouver mal.
Je ne pouvais comprendre ce qu’avait ce malheureux : je le crus saisi du haut mal, ou de quelque frénésie encore plus terrible, et véritablement je ne sache rien de plus hideux à voir pour quelqu’un de sang-froid que cet obscène et sale maintien, et ce visage affreux enflammé de la plus brutale concupiscence. Je n’ai jamais vu d’autre homme en pareil état ; mais si nous sommes ainsi dans nos transports près des femmes, il faut qu’elles aient les yeux bien fascinés pour ne pas nous prendre en horreur.
Je n’eus rien de plus pressé que d’aller conter à tout le monde ce qui venait de m’arriver. Notre vieille intendante me dit de me taire, mais je vis que cette histoire l’avait fort affectée, et je l’entendais grommeler entre ses dents : Can maledet ! bruta bestia ! Comme je ne comprenais pas pourquoi je devais me taire, j’allai toujours mon train, malgré la défense, et je bavardai si bien que le lendemain un des administrateurs vint de bon matin m’adresser une assez vive mercuriale, m’accusant de faire beaucoup de bruit pour peu de mal et de commettre l’honneur d’une maison sainte.
Il prolongea sa censure en m’expliquant beaucoup de choses que j’ignorais, mais qu’il ne croyait pas m’apprendre, persuadé que je m’étais défendu sachant ce qu’on me voulait, et n’y voulant pas consentir. Il me dit gravement que c’était une œuvre défendue, ainsi que la paillardise, mais dont au reste l’intention n’était pas plus offensante pour la personne qui en était l’objet, et qu’il n’y avait pas de quoi s’irriter si fort pour avoir été trouvé aimable. Il me dit sans détour que lui-même, dans sa jeunesse, avait eu le même honneur, et qu’ayant été surpris hors d’état de faire résistance, il n’avait rien trouvé là de si cruel. Il poussa l’impudence jusqu’à se servir des propres termes, et s’imaginant que la cause de ma résistance était la crainte de la douleur, il m’assura que cette crainte était vaine, et qu’il ne fallait pas s’alarmer de rien.
J’écoutais cet infâme avec un étonnement d’autant plus grand qu’il ne parlait point pour lui-même ; il semblait ne m’instruire que pour mon bien. Son discours lui paraissait si simple qu’il n’avait pas même cherché le secret du tête-à-tête : et nous avions en tiers un ecclésiastique que tout cela n’effarouchait pas plus que lui. Cet air naturel m’en imposa tellement, que j’en vins à croire que c’était sans doute un usage admis dans le monde, et dont je n’avais pas eu plus tôt occasion d’être instruit. Cela fit que je l’écoutai sans colère, mais non sans dégoût. L’image de ce qui m’était arrivé, mais surtout de ce que j’avais vu, restait si fortement empreinte dans ma mémoire, qu’en y pensant, le cœur me soulevait encore. Sans que j’en susse davantage, l’aversion de la chose s’étendit à l’apologiste, et je ne pus me contraindre assez pour qu’il ne vît pas le mauvais effet de ses leçons. Il me lança un regard peu caressant, et dès lors il n’épargna rien pour me rendre le séjour de l’hospice désagréable. Il y parvint si bien que, n’apercevant pour en sortir qu’une seule voie, je m’empressai de la prendre, autant que jusque-là je m’étais efforcé de l’éloigner.
Cette aventure me mit pour l’avenir à couvert des entreprises des Chevaliers de la manchette, et la vue des gens qui passaient pour en être, me rappelant l’air et les gestes de mon effroyable Maure, m’a toujours inspiré tant d’horreur, que j’avais peine à la cacher. Au contraire, les femmes gagnèrent beaucoup dans mon esprit à cette comparaison : il me semblait que je leur devais en tendresse de sentiments, en hommage de ma personne, la réparation des offenses de mon sexe, et la plus laide guenon devenait à mes yeux un objet adorable, par le souvenir de ce faux Africain.
Pour lui, je ne sais ce qu’on put lui dire ; il ne me parut pas que, excepté la dame Lorenza, personne le vît de plus mauvais œil qu’auparavant. Cependant il ne m’accosta ni ne me parla plus. Huit jours après, il fut baptisé en grande cérémonie, et habillé de blanc de la tête aux pieds, pour représenter la candeur de son âme régénérée. Le lendemain il sortit de l’hospice et je ne l’ai jamais revu. »

23 novembre 2011 19h41

Pépé le Moko
Désolé mon gars Momo mais je suis un peu d'accord avec Djab'
Je ne me sens pas non plus obligé d'aimer ça (en tout cas, pas tout en bloc) sous prétexte que ce sont de grands classiques.
Il y en a qui sont particulièrement chiants à lire, tant par le style (qui a un peu vieilli quand même) que par le contenu.
Il faut aussi admettre qu'on se les est enfilés à l'école dans des conditions de lecture qui n'étaient pas forcément optimales (enfin... pour ma part)

23 novembre 2011 22h14
modifiée
23 novembre 2011 22h15

Djabali
c'est exactement ce que je disais, une oie blanche affreusement ridicule, dégoûté de rien, l'image même de l'hétéro plus hystérique qu'une grande folle, le faux naïf, l'hypocrite dissimulateur... pour ma part je pense que le plus proche de ce que j'ai dans la tête, c'est Voltaire (le défenseur de Calas, puisque tu es sensible aux grandes causes), qui n'appréciait pas vraiment Rousseau et qui ne mâchait pas ses mots...

24 novembre 2011 15h59
modifiée
24 novembre 2011 16h13

maurice
Bonjour la cigalie
Bonjour pépé,bonjour djab
Je ne suis pas dans la posture de l’offensè ,nous discutions moi et djab sur
L’apport bénèfique des grands auteurs classiques de la littérature française
Il n’y a aucune vanité intellectuelle dans nos échanges et si tu es entré
Tu as parfaitement compris que ce ne sont pas les précieuses ridicules

Il y a un proverbe africain qui dit
Quand un viellard meurt ,c’est une bibliothéque qui disparaît
Les auteurs des œuvres classiques sont morts mais grâce à la découverte
De l’imprimerie ils sont encore présents.
Ils sont vivants et combien présent leurs livres l’attestent. les grands penseurs
D’aujourd’hui ont pu goutér aux miels de leurs pensées ils ont étè formés et
Structurés par la pensée intellectuels de leurs maîtres de nos maîtres
En quelque sorte notre éducation a plus ou moins été teintée .c’est un
Héritage dont la révolution française garde toujours les traces
Ce que je voulais surtout relever c’est la désinvolture vis a vis de ces apports
Enrichissants
L’auteur du 18 eme ou du 20 eme s’exprime dans son langage et il
Faut plus que de la lecture pour partager son univers
Combien de fois j’ai été ennuyé et rétamé par ses écrits que je ne pouvais
Parvenir à décoder vois tu ils me font le même effet que la lecture de la
Bible ou du coran bien souvent pour trouver la clef il faut plusieurs lectures
Le poéme de guillaume de lorris sur la viellesse que j’ai posté à l’auberge
Dèmontre bien que notre langue a évolué les gens du moyen-age ressentaient
De l’emotion quand ils entendaient la prose récitè par les troubadours
De l’époque.
Jean de meung

Jean de meung est plus dans la satire son cheval de bataille c’est la diatribe
Contre l’aristocratie et l’origine du pouvoir .


Meauz pourrait uns ribauz de Grieve
Seurs e seus par tout aller
E devant les larrons baler
Senz douter aus ne leur afaire
Que li reis o sa robe vaire….
Si serait il,ce crei ,tuez
Ainz que d’eileuc fust remuez

Traduction
Mieux pourrait un ribaud de Grève
Allez seul partout en sécurité
Danser devant les larrons
Sans rien redouter de leurs procédés
Que le roi avec sa robe fourrée
Le roi serait ,je crois ,tué
Avant d’avoir remué d’un pas



Il est évident qu’ A leurs lectures aujourd’hui nous ne pouvons que fondres en larmes
. d'hilarité car Le progrés ,la modernisation est passé par là

Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes ;
Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés ;
Ainsi le vent jetait l’écume de tes ondes
Sur ses pieds adorés.

Un soir ,t’en souvient-il ? nous voguions en silence ;
On n’entendait au loin sur l’onde et sous les cieux
Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence
T es flots harmonieux.


Maintenant tu as raison de dire que ces alexandrins de Lamartine
Ne te font aucun effet je vous demande juste un peu d’indulgence
Vous êtes à une période ou la photo n’existe pas ou la télévision
Et le cinéma ne sont que fiction les hommes pour exprimer leurs émotions
N’ont que les mots et quand ’ils parviennent si sublimement a décrire ou
A peindre dame nature avec les mots moi .le lac je le vois avec toutes les nuances
Du camaieu. la brise du vent Me fait frémir
nous sommes tous héritiers de quelqu’un de quelque chose .oui je trouve
injuste que l’on souflète d’un revers de main la mémoire et l’œuvre de ces
auteurs qui a dose infinitésimale sont aussi nos parents spirituels

voici un lien une émission sorti des archives de l’ina Pierre Desgraupes qui n’est plus
proposait une émission sur la littérature il voulait partager la culture et ouvrir
des horizons dans une France prolétaire encore paysanne . faire partie de la gauche pensante
ne nous dispense pas de grandir elle requiert aussi
une ouverture à la culture
pierre Desgraupes avait invité Paul Claudel presque parkinsonien
mais encore entier
ce qui m’a touché c’est la déférence du journaliste vis à vis de l’écrivain
quand il s’adresse à lui il l’appelait maître

http://www.ina.fr/art-et-cul...
tout compte jean pierre a raison l'auberge-espagnole
lnest pas le temple du crétinisme
je suis entré un peu abêtit mais plus renforcé bonne continuation
o on a rien a se reprocher même l'élysée fait des fautes d'orthographes
http://www.ladepeche.fr/arti...

24 novembre 2011 16h10

Djabali
à Jean de meung je préférais sans conteste Guillaume de Loris, l'auteur de la première partie du Roman de la rose. Une courtoisie idéale, parfaite, lumineuse, détachée de toute critique sociale.

Quand l'écrivain s'insère dans la société, j'attends au moins qu'il m'élève un peu au-dessus de la réalité triviale. J'apprécie ainsi sans aucun problème la prose de Stendhal. Comme Baudelaire, Jean Genet a su faire du beau avec du trivial, je me demande si cela n'est pas du, chez l'un comme chez l'autre, à une très haute idée de leur art. J'admire évidemment le style incisif, la critique pointue et la langue flamboyante de Voltaire, là encore quelqu'un pour qui la forme ne devait pas être jetée avec l'eau du bain...

24 novembre 2011 16h14

maurice
Dieu soi loué je retrouve notre linguiste adoré

24 novembre 2011 16h30

Djabali
ce n'est pas parce que je n'aime pas Zola ou Rousseau que je n'ai personne ! Au contraire, d'ailleurs, si je devais faire la liste des auteurs que j'apprécie, je n'en finirai pas ! J'ai une bibliothèque (dans des cartons) qui couvrait à l'époque un pan de mur entier, beaucoup de littérature médiévale, pas mal de littérature de la renaissance, de la littérature classique et un peu de littérature moderne ; quelques auteurs latins ou grecs, un peu de littérature étrangère

25 novembre 2011 14h10

Jean-Pierre ♫
Et Barbara Cartland ?

http://fr.wikipedia.org/wiki...

J'échange Comtesse Natacha (que j'ai en double ) contre Au péril de l'amour, le seul qui me manque encore !

25 novembre 2011 17h14

Djabali
où est-ce que je peux aller vomir ? la seule véritable erreur que j'ai commise au cours de ma vie, jusqu'à présent, c'est l'achat de deux ouvrages commis par Christian Jacq. Bon, il faut dire pour ma décharge que j'étais adolescent...

25 novembre 2011 18h09

Pépé le Moko
Je sui d'avis que JP nous fasse un résumé des 723 "ouvrages" de la dame afin de nous faire partager sa passion.

A ce propos, j'organise un dîner entre potes mercredi et chacun doit venir accompagné d'un ami passionné. J'aimerais assez que ce soit toi JP.

26 novembre 2011 09h13

Jean-Pierre ♫
Résumé de 722 des 723 ouvrages de Barbara Cartland (à l'exception de Au péril de l'amour que je n'ai toujours pas lu... ) :

Elle est jeune et orpheline.
Il est plus âgé qu'elle.
Ils se rencontrent au travail (lui est par exemple médecin et elle infirmière) et tombent amoureux au premier regard.
Malheureusement, elle le surprend embrassant une autre et lui la surprend enlaçant un autre.
Ils se tournent autour, furieux mais toujours amoureux, pour découvrir, à la dernière page, que celle qu'il a embrassé est sa belle-fille, que celui qu'elle a enlacé est son frère.
Le malentendu enfin dissipé ils tombent dans les bras l'un de l'autre.

26 novembre 2011 11h45

Djabali
pas de description d'une relation sexuelle comme dans les ouvrages de Valéry Giscard d'Estaing ?

26 novembre 2011 20h56

Jean-Pierre ♫
Bah non.
Le sexe commence à la page n+1...

27 novembre 2011 00h07

Djabali

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